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Anita Blake, Tome 2 : « Le cadavre rieur »

Image par Soledadsnp de Pixabay

Bonjour tout le monde ! Cela fait un petit moment que j’ai lu ce livre, mais les souvenirs sont toujours frais, ce qui est plutôt une bonne nouvelle n’est-ce-pas ? Qu’est-ce-que je peux vous dire… Je suis fatiguée. J’ai fait un stage de sport de quatre jours et je suis claquée ! M’enfin, c’est normal, il s’agit d’un stage de sport après tout. Je l’avais bien cherché.

La 4:

« Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires… »

Ce tome-ci est quand même assez gore, dans le sens où les scènes de crimes sont pratiquement toutes imprégnées de sang, avec des membres dispatchés dans tous les coins. Mais pas que. L’autrice a décidé de nous donner une image du vaudou assez négative. Anita se retrouve toujours impliquée dans des affaires farfelues et dangereuses. Mais j’ai l’impression que c’est ce qu’elle cherche un peu. Sa vie ne serait-elle pas plus ennuyeuse s’il ne lui arriver pas des choses pareilles tout le temps ?

J’ai écrit cette chronique un peu tard je pense, ce qui m’empêche d’explorer plus en profondeur ce livre. J’en suis navrée. Cependant, je peux l’enlever de ma pile à lire, et c’est justement pour cette raison (en grande partie du moins), que je fais ces chroniques. Elles m’incitent à lire.

Prenez soin de vous. Bisous !