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La Maison de la Nuit Tome 8 : Libérée

Image par Comfreak de Pixabay

Le résumé :

« Enfin libre ! Zoey a trouvé refuge sur l’île de Skye, auprès de la reine Sgiach. Là-bas, elle semble en sécurité… Mais le danger n’est jamais loin : disculpée par le Conseil Supérieur, Neferet a repris sa fonction de Grande Prêtresse de la Maison de la Nuit. Déçue par Kalona, elle invoque les Ténèbres… et décide de se venger elle-même de Zoey. Si elle ne peut pas la tuer, pourquoi ne pas s’en prendre à l’un de ses proches ? »

« Le calme avant la tempête »

Voici ce qu’il me vient pour exprimer les sentiments que m’ apportés ce livre.

Le calme : Les deux tiers du livre sont passés avec une lenteur ! Même si la découverte de la magie de l’île est intéressante et reposante, et que la reconstruction de Zoey est importante, celui ne m’a pas empêché de trouver le temps long. Disons que j’ai un gros problème de concentration qui – j’ai l’impression – empire avec le temps. Et, à cause de cela, s’il n’y a pas assez d’avancer ou d’actions dans ce que je lis, mon cerveau va se mettre à penser à autre chose pendant dix ou un quart d’heure la plupart du temps, et je serais toujours sur le même paragraphe, à  essayer de comprendre ce que je lis. C’est ce qui m’est arrivé pour ces deux premières parties de l’ouvrage.

La tempête : la dernière partie est passée à une vitesse ! Des actions ! Des rebondissements ! Il n’y avait que ça. Et il y a d’ailleurs une scène très émouvante vers la fin. Le pardon est très mis en avant pour le coup, et une phrase en particulier est restée gravé dans ma mémoire : « Le pardon est un cadeau que l’on a mérité. » C’est tellement vrai ! J’ai remarqué que certaines personnes avaient des facilités à pardonner. C’est beau.

 » Bon, je rappelle que Neferet est ignoble. C’est plus que de la manipulation de la part de l’Obscurité, elle aime sincèrement faire du mal aux gens, elle y prend beaucoup trop de plaisirs. Effectivement, les sévices reçus dans son enfance et son adolescence l’ont marquée à vie. Mais je suis persuadée que, quel que soit le passé que l’on a eu, il n’excuse en rien les actes présents et futurs. Il peut certes, influencer nos décisions, nous faire prendre de mauvais choix, mais il ne peut pas être un argument de valeur sur la balance du pardon.

Dans tous les cas, je lirai la suite avec plaisir pour le moment. En espérant que ma concentration ne me fasse plus faux bond !

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