Arriverai-je à écrire l’article sans me laisser distraire ? On va faire de son mieux…
Alors, j’ai mis deux semaines pour lire les quarante premières pages du livre, je n’arrivais pas à me mettre dedans. Passé ces pages, je l’ai terminé en trois jours. J’apprécie beaucoup la relation presque inexistante entre Séléné et Thomas. Pourquoi inexistante ? Mais parce qu’ils ne sont pas en couple. Je vous rappelle la fin du tome 1 ? Thomas pense que Séléné à sauter de la falaise, sauf qu’elle revient quelques semaines plus tard comme si de rien n’était. Évidemment, on sait tous pourquoi Séléné est partie sans prévenir, mais pour Thomas, la douleur créée par la perte d’une personne qui lui est chère est bien là. Encore plus, la douleur de s’être fait dupé.
Je vous mets la 4e et je continue après :
« Sur la photo du blog, Thomas souriait. Il avait l’air heureux, c’était la seule chose qui me réconfortait un peu. Il m’avait crue morte pendant toutes ses semaines. Un message sur mon répondeur m’avait brisé le cœur : il ne voulait plus me voir, me parler. Avec le recul, c’était mieux comme ça.
À quoi bon lui expliquer que ma mère n’avait refait surface que pour trouver la mort par ma faute ? Qu’en me transmettant la pierre, qui contenait la mémoire de son peuple, elle m’avait condamnée à un destin que je ne voulais pas ?
J’avais une mission à accomplir. Il ne fallait prendre aucun risque. Les ennemis d’Ishtar rôdaient peut-être encore autour de nous. »
Une relation commence aussi à se créer entre Séléné et sa cousine Alexia, bien qu’elle ait été très toxique pendant les trois-quarts du bouquin (si on ne compte pas le premier tome évidemment). Il me tarde de savoir si cette relation évolue positivement dans le troisième tome, et si oui, serait-ce parce que Séléné lui a sauvé la vie ? Ou bien serait-ce tout simplement parce qu’Alexia mûrie et essaye de voir plus loin que ce que ses yeux ne lui permettent ?
Quoi dire de plus ? Ah oui, je n’aime pas spécialement le monde dont sa mère vient – le royaume d’Ishtar. Tout est fait sous les ordres de leur déesse : les mariages, donc l’amour ; les guerres ; les alliances… Tout est régi par cet être que l’on nomme Ishtar, et que l’on ne voit que sous les traits d’une lune mauve. Tout comme Séléné, je ne m’y sentirai pas très bien.
Bien, le tome 3 m’attend sur le lit… Mes cours aussi d’ailleurs. Bisous tout le monde et bonne fin de semaine !
Chronique d'Ange 