Parce que je t’aime, de Guillaume Musso

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Bonsoir à tous ! Je continue sur ma lancée. Cette dynamique me permettra, sans aucun doute, de programmer suffisamment de chroniques pour être sereine cette année. Cela me laissera également l’opportunité de m’adonner à d’autres activités pendant ce laps de temps, telles que l’écriture de mon roman, par exemple…


Je souhaite partager avec vous « Parce que je t’aime ! », un livre audio que j’ai découvert sur Audible durant mes heures de travail. L’histoire se déroule autour de l’enlèvement de Layla, une fillette de cinq ans, dans un centre commercial de Los Angeles, sous la supervision normale de sa baby-sitter. Son père, Mark, est plongé dans une douleur sans nom. Dévasté par cette absence, il se referme sur lui-même, repoussant tout ce qui pourrait lui apporter du bonheur, car ressentir une once de bonheur lui ferait éprouver une culpabilité qu’il n’est pas prêt à recevoir.


Sur ces belles paroles, je vous laisse et je vais me replonger dans l’écriture, car une autre chronique m’attend… Excellente soirée à tous !

J’ai avalé un arc-en-ciel, de Erwan Ji

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Bonsoir tout le monde ! Récemment, je me suis plongé dans la lecture de « J’ai avalé un arc-en-ciel ». Tout d’abord, réfléchissons à la signification de l’arc-en-ciel dans notre société. Il représente le symbole du mouvement LGBTQIA+. À l’origine de ce symbole se trouve Gilbert Baker, un graphiste américain. Ce drapeau, devenu emblématique, offre une voix à tous ceux qui ne se conforment pas aux normes rigides de la société, leur permettant de s’exprimer librement et de vivre leur vérité en toute légalité.


Je souligne ce point pour une raison précise. Le livre que j’ai lu illustre parfaitement la signification de ce drapeau. La quête de soi est cruciale pour une vie épanouie, affranchie des contraintes sociales. Mais la découverte de soi n’est que le commencement. Assumer qui l’on est représente un autre défi. C’est une aspiration qui nous tenaille, nous consume. Une vérité que l’on souhaite proclamer haut et fort, mais qui reste coincée dans notre gorge. Ce sentiment peut être une torture à vivre, entre les regards désapprobateurs, les chuchotements et le harcèlement ajouté à cette liste de souffrances. Aimer quelqu’un du même sexe, ressentir de l’attirance pour plusieurs personnes simultanément, se sentir différent ou vouloir être quelqu’un d’autre pour un moment, tout cela est parfaitement naturel. La vie est courte, et elle mérite d’être vécue pleinement, sans retenue… Dans ce livre, c’est Puce, une adolescente de dix-sept ans, qui entreprend cette exploration intérieure.


L’histoire se déroule dans un lycée. Après le départ de son petit ami pour une autre ville, elle se retrouve célibataire, le cœur brisé, mais avec des rencontres captivantes qui l’attendent. C’est un livre qui procure un sentiment de bien-être, parfait pour une pause émotionnelle. Pour ceux d’entre vous qui l’ont déjà lu, qu’en avez-vous pensé ? Personnellement, je ne le considère pas comme exceptionnel en lui-même, mais il aborde des thématiques intéressantes ! À la prochaine !


Le principe du petit pingouin, de Denis Doucet

Bonjour à tous ! Je suis désolée d’avoir manqué une chronique récemment. J’ai eu beaucoup de choses à gérer ces derniers temps, notamment un déménagement. J’espère ne plus en manquer à l’avenir, ce serait vraiment dommage…

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Aujourd’hui, je vous présente un tout petit livre – il mesure seulement 14 cm de hauteur sur 9 cm de large : vraiment petit, mais il compte quand même 224 pages, donc il y a beaucoup à découvrir. L’histoire suit Little Boy, un jeune pingouin qui cherche à s’adapter à son environnement et à avoir plus que les autres. Cela nous amène à réfléchir à notre société où l’on cherche toujours à en faire plus, à prouver notre insatisfaction en pensant que posséder davantage nous rendra plus heureux. Mais en réalité, ça ne fonctionne jamais. Pourquoi ne pas simplement apprécier ce que l’on a et trouver le bonheur dans la simplicité ? Pourquoi rendre les choses plus compliquées qu’elles ne le sont déjà ? C’est quelque chose que nous oublions souvent…

Ce petit livre nous rappelle cette leçon, une leçon dont nous avons tous besoin, moi la première. J’ai envie d’avoir une maison, de l’argent, des livres. Je suis sûre que ces choses contribueraient à mon bonheur. Mais quand j’y pense, je suis déjà bien installée dans mon appartement, je gère mon argent et j’ai des livres, et je suis très heureuse comme ça. Mes désirs sont juste des objectifs à long terme qui ne devraient pas affecter mon bonheur actuel. Et c’est quelque chose que nous avons tendance à oublier.

Sur ce, je vous souhaite un très bon week-end de pâques !

Changer l’eau des fleurs, de Valérie Perrin

Bonjour à tous 😊. Aujourd’hui, je rédige cette chronique depuis chez moi, seule, tandis que mon compagnon est à des kilomètres d’ici. C’est précisément cette solitude qui m’a incitée à écrire ces lignes maintenant. Elle résonne étrangement avec le livre dont je vais parler.

L’histoire présente plusieurs perspectives, mais celle qui retient principalement notre attention est celle de Violette Trenet, épouse Toussaint. Elle se retrouve à exercer la fonction de gardienne de cimetière à Brancion-en-Châlon. Malgré la chaleur humaine de l’équipe des fossoyeurs, son quotidien demeure monotone. Son passé se dévoile en parallèle de son présent. Et à mesure que les pages se tournent, les doutes se dissipent pour laisser place à une compréhension déroutante.

Ce livre, je l’ai trouvé tout simplement extraordinaire. Il oscille entre une douceur envoûtante et une violence profonde. Honnêtement, il m’a profondément émue, au point qu’il m’a fallu un certain temps avant de me plonger dans un autre ouvrage. Qu’en avez-vous pensé ?

Night World Tome 9 « La flamme de la sorcière », de L. J. Smith

Bonsoir à tous ! Il fait déjà nuit c’est triste. Malgré les prévisions ensoleillées, le ciel s’est obstinément teinté de gris, quelle déception…

Ce soir, je vous emporte dans les aventures palpitantes de Keller, une jeune métamorphe missionnée pour dénicher la toute dernière puissance sauvage. Ces personnes sont au cœur d’une prophétie captivante :



Ces puissances, une fois réunies, détiennent le pouvoir de sauver le monde du chaos. La dernière parmi elles semble être la sorcière égarée, répondant au nom d’Iliana. Elle est censée épouser le fils de la première famille des métamorphes, les leaders de leur espèce. Cependant, les choses ne se dérouleront probablement pas comme prévu… Imaginez-vous quelqu’un surgir de nulle part pour vous annoncer que vous devez épouser un parfait inconnu : pas vraiment engageant comme proposition.

J’ai pris un réel plaisir à plonger dans cette histoire, d’autant plus qu’il s’agit du dernier tome paru. Le seul regret est que la suite n’a jamais vu le jour en version imprimée. Pour ceux d’entre vous qui auraient espéré découvrir la suite, il existe un dixième tome en anglais. Malheureusement, je ne pourrai pas le lire, mais n’hésitez pas à m’en donner des nouvelles. Je suis vraiment curieuse de connaître le dénouement !

Je vous souhaite à tous une excellente soirée !

Hachi & Maruru Chats des rues

Bonsoir tout le monde ! Ce soir, je vous rejoins avec un cœur fatigué, mais je suis comblée d’avoir consacré toute mon énergie à achever un ouvrage, afin d’avoir quelque chose à écrire. La rédaction de chroniques est une activité qui réchauffe mon âme. Le fait de ne pas pouvoir publier à l’heure me frustre, mais je suis convaincue qu’à chaque trait de plume qui marque ces pages, je guéris un peu plus.

Ce scénario captivant nous transporte au cœur de la vie de ces félins intrépides, les chats des rues. Dans leur quotidien, ils font face à d’innombrables défis pour assurer leur survie dans un environnement urbain souvent hostile. Ils se battent pour trouver de la nourriture, un abri et établir leur place au sein de la hiérarchie complexe qui règne parmi leurs congénères.

Ce qui rend leur situation encore plus poignante, c’est l’interaction ambiguë avec la société humaine. Parfois, ces chats, par leur charme naturel, parviennent à attirer l’attention des passants qui les caressent, leur offrent de la nourriture ou de l’affection, pour un court moment de réconfort mutuel. Cependant, cette interaction est souvent éphémère et superficielle. La société humaine, souvent obsédée par ses propres préoccupations, finit par les ignorer, les laissant à nouveau à leur sort précaire.

Ce récit explore la résilience de ces créatures souvent négligées, tout en nous offrant une perspective inédite sur la complexité de la vie urbaine à travers les yeux de nos amis à quatre pattes.

« Chats des rues » est une histoire qui vous touchera en plein cœur et vous fera sûrement réfléchir à la coexistence entre les êtres humains et les animaux dans nos villes. Et puis, soyons sincères, une histoire avec des chats, est la meilleure chose qui puissent exister dans ce monde !

Pucelle, de Florence Dupré La Tour

Bonsoir tout le monde ! Je vous écris cette chronique à peine dix minutes avant sa sortie, et j’ai les doigts frigorifiés. Nous avons été nous promener, et mes mains ne se sont pas encore réchauffées. D’ailleurs, j’irai jouer à Zelda après ! J’espère avoir terminé cette chronique à temps.


Florence, le personnage principal et autrice de Pucelle, traverse une période de sa vie fortement influencée par son éducation prude et religieuse. Elle ressent un manque de liberté dans ses choix et dans sa manière de vivre, éprouvant de la honte lorsque confrontée aux règles qui semblent s’imposer à elle. Cette situation la rend difficile à saisir pour certains, et suscite en eux un certain malaise face à ses actions jugées extrêmes. Pour ma part, je n’ai jamais considéré ces sujets comme tabous, et j’ai pu facilement en discuter ouvertement. C’est pour cette raison que le caractère extrême de certains comportements du personnage m’a semblé aller un peu trop loin à mon goût.

En effet, il est crucial de reconnaître l’importance de remettre en question les perceptions dépassées concernant les règles et de travailler à rendre la discussion plus ouverte et inclusive. Malheureusement, les stigmates persistants associés aux menstruations continuent d’avoir un impact négatif sur de nombreuses femmes à travers le monde. En outre, il est impératif de promouvoir l’éducation et la sensibilisation pour que les préjugés et les idées fausses sur ce sujet soient éradiqués. En fin de compte, il est essentiel que les mentalités évoluent afin que toutes les personnes, indépendamment de leur genre, puissent aborder ce sujet de manière transparente et sans crainte de stigmatisation ou d’humiliation.


Pour en revenir au livre, il nous montre des états d’esprit que beaucoup de personnes ont eu, et qui perdurent encore de nos jours. À un degré différent heureusement. Je ne pas spécialement aimé le livre, mais il aborde un sujet que l’on devrait tous abordé. Ce que j’ai écrit est un peu brouillon, je m’en excuse et vous souhaite une excellente soirée !

La revue de la SCIENCE n°27 « Ces maladies que l’on va guérir »

Je sais, je sais. Mais d’abord, bonjour les amis ! Aujourd’hui, je vous présente quelque chose d’un peu particulier à d’habitude. Je n’ai encore jamais chroniqué de magazine. Mais à chaque fois que je me rends à l’hôpital, j’ai pour coutume d’acheter un magazine. Et celui-ci est le tout premier que j’ai acheté.


Ce magazine traite de sujets comme le vieillissement, l’hypnose en médecine, les avancées biologiques, microélectroniques, et des expériences effectuées dans l’ISS. Il s’agit du numéro sorti en février dernier, autant dire que cela date un peu. Néanmoins vous pouvez vous le procurer sur le site lafontpresse.fr.


Saviez-vous que les chauves-souris vivent près de 30 ans, en comparaison avec les souris (de corpulence égale) qui n’en vivent que 3 ? Pensez-vous que la longévité d’une personne se répond en gènes ou de par le mode de vie ? Si vous aviez un doute, sachez que le mode de vie y est pour beaucoup. C’est fou quand on y pense. Tout le monde a peur des meurtriers (avec raison), mais personne n’a peur de lui-même. Alors que l’on réduit nous-mêmes notre espérance. On doit être maso sur les bords quand même. Qu’en dites-vous ?

Deuxième sujet qui m’a beaucoup plu, c’est le Blob. Ce n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. Mais alors qu’est-ce-que c’est ? À bord de l’ISS, un projet a été réalisé sur le développement de cette espèce composée d’une seule cellule ! Et, fait plus étonnant encore, cette espèce ne possède pas de cerveau, mais se déplace pour se nourrir, et transmet ses connaissances à leurs congénères. Sans cerveau ! Mais du coup, a-t-on vraiment besoin d’un cerveau maintenant XD.


Il est assez délicat de vous en dire plus. Ce qu’il faut retenir, est que je l’ai trouvé très intéressant. Maintenant je vais pouvoir me consacrer à un autre magazine (c’est la surprise hihihi). Je vous fais des bisous ! Bon week-end !