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La maison de la nuit : « La promesse de Dragon »

Image par Iván Tamás de Pixabay

Se replonger dans une série que l’on a terminée il y a quelque temps déjà rend nostalgique. Je l’ai dégusté comme s’il s’agissait d’un bon vin. D’ailleurs, je l’ai terminé sur ma nouvelle liseuse. Étant donné qu’il s’agissait d’un e-book, je le lisais seulement sur téléphone, et j’ai bien failli le laisser tomber pour cette raison. Bien que le livre papier restera toujours mon support premier, il faut bien avouer que la liseuse a ses avantages aussi. Par exemple, je n’aurais plus à me trimballer toute une pile de livres dans mes voyages, pour ensuite me casser le dos. Seulement un ou deux subsisteront, et plus entre cinq et dix, comme je le fais souvent.

Juste pour vous remettre dans le contexte, La Maison de la Nuit est une série de romans fantastiques basée sur les vampires. L’histoire principale suit les aventures de Zoey Redbird, une jeune fille de seize ans, marquée au beau milieu de son lycée, l’obligeant à quitter ses ami(e)s et sa famille, pour commencer un nouveau cursus de la Maison de la Nuit de Tulsa. Elle devient donc novice, ce qui correspond à la première étape avant celle du vampire accompli.

La 4e :

« 1830. Après avoir été désavoué par son père et Marqué par un Traqueur, Bryan Lankford quitte Londres pour les Amériques. Désormais baptisé Dragon, le novice devient maître d’armes à la Maison de la Nuit de Tower Grove. Mais alors qu’il développe un amour interdit pour Anastasia, le nouveau professeur de Charmes et Rituels, voilà qu’une terrible menace s’abat sur la Maison de la Nuit. Face à ce danger, Dragon doit choisir : faire confiance à ses sentiments pour Anastasia ou céder à ses instincts de combattant… »

Dragon est un personnage de la série que j’ai fortement apprécié. C’est pourquoi le premier dérivé de la série La Maison de la Nuit que j’ai choisi de lire s’est porté sur lui. Et de découvrir comment la relation entre Dragon et Anastasia s’est construite est touchante. Je ne suis pas déçue par cette lecture ; cela m’incitera peut-être à en lire d’autres, qui sait ?

Et vous, l’avez-vous lu ?