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  • Parce que je t’aime, de Guillaume Musso
    Image par Orna de Pixabay

    Bonsoir à tous ! Je continue sur ma lancée. Cette dynamique me permettra, sans aucun doute, de programmer suffisamment de chroniques pour être sereine cette année. Cela me laissera également l’opportunité de m’adonner à d’autres activités pendant ce laps de temps, telles que l’écriture de mon roman, par exemple…


    Je souhaite partager avec vous « Parce que je t’aime ! », un livre audio que j’ai découvert sur Audible durant mes heures de travail. L’histoire se déroule autour de l’enlèvement de Layla, une fillette de cinq ans, dans un centre commercial de Los Angeles, sous la supervision normale de sa baby-sitter. Son père, Mark, est plongé dans une douleur sans nom. Dévasté par cette absence, il se referme sur lui-même, repoussant tout ce qui pourrait lui apporter du bonheur, car ressentir une once de bonheur lui ferait éprouver une culpabilité qu’il n’est pas prêt à recevoir.


    Sur ces belles paroles, je vous laisse et je vais me replonger dans l’écriture, car une autre chronique m’attend… Excellente soirée à tous !

  • J’ai avalé un arc-en-ciel, de Erwan Ji
    Image par InspiredImages de Pixabay

    Bonsoir tout le monde ! Récemment, je me suis plongé dans la lecture de « J’ai avalé un arc-en-ciel ». Tout d’abord, réfléchissons à la signification de l’arc-en-ciel dans notre société. Il représente le symbole du mouvement LGBTQIA+. À l’origine de ce symbole se trouve Gilbert Baker, un graphiste américain. Ce drapeau, devenu emblématique, offre une voix à tous ceux qui ne se conforment pas aux normes rigides de la société, leur permettant de s’exprimer librement et de vivre leur vérité en toute légalité.


    Je souligne ce point pour une raison précise. Le livre que j’ai lu illustre parfaitement la signification de ce drapeau. La quête de soi est cruciale pour une vie épanouie, affranchie des contraintes sociales. Mais la découverte de soi n’est que le commencement. Assumer qui l’on est représente un autre défi. C’est une aspiration qui nous tenaille, nous consume. Une vérité que l’on souhaite proclamer haut et fort, mais qui reste coincée dans notre gorge. Ce sentiment peut être une torture à vivre, entre les regards désapprobateurs, les chuchotements et le harcèlement ajouté à cette liste de souffrances. Aimer quelqu’un du même sexe, ressentir de l’attirance pour plusieurs personnes simultanément, se sentir différent ou vouloir être quelqu’un d’autre pour un moment, tout cela est parfaitement naturel. La vie est courte, et elle mérite d’être vécue pleinement, sans retenue… Dans ce livre, c’est Puce, une adolescente de dix-sept ans, qui entreprend cette exploration intérieure.


    L’histoire se déroule dans un lycée. Après le départ de son petit ami pour une autre ville, elle se retrouve célibataire, le cœur brisé, mais avec des rencontres captivantes qui l’attendent. C’est un livre qui procure un sentiment de bien-être, parfait pour une pause émotionnelle. Pour ceux d’entre vous qui l’ont déjà lu, qu’en avez-vous pensé ? Personnellement, je ne le considère pas comme exceptionnel en lui-même, mais il aborde des thématiques intéressantes ! À la prochaine !


  • Protégé : Un chez soi
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  • Protégé : Adoption et désillusions
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  • Le principe du petit pingouin, de Denis Doucet

    Bonjour à tous ! Je suis désolée d’avoir manqué une chronique récemment. J’ai eu beaucoup de choses à gérer ces derniers temps, notamment un déménagement. J’espère ne plus en manquer à l’avenir, ce serait vraiment dommage…

    Image par Anna Neuenschannder de Pixabay

    Aujourd’hui, je vous présente un tout petit livre – il mesure seulement 14 cm de hauteur sur 9 cm de large : vraiment petit, mais il compte quand même 224 pages, donc il y a beaucoup à découvrir. L’histoire suit Little Boy, un jeune pingouin qui cherche à s’adapter à son environnement et à avoir plus que les autres. Cela nous amène à réfléchir à notre société où l’on cherche toujours à en faire plus, à prouver notre insatisfaction en pensant que posséder davantage nous rendra plus heureux. Mais en réalité, ça ne fonctionne jamais. Pourquoi ne pas simplement apprécier ce que l’on a et trouver le bonheur dans la simplicité ? Pourquoi rendre les choses plus compliquées qu’elles ne le sont déjà ? C’est quelque chose que nous oublions souvent…

    Ce petit livre nous rappelle cette leçon, une leçon dont nous avons tous besoin, moi la première. J’ai envie d’avoir une maison, de l’argent, des livres. Je suis sûre que ces choses contribueraient à mon bonheur. Mais quand j’y pense, je suis déjà bien installée dans mon appartement, je gère mon argent et j’ai des livres, et je suis très heureuse comme ça. Mes désirs sont juste des objectifs à long terme qui ne devraient pas affecter mon bonheur actuel. Et c’est quelque chose que nous avons tendance à oublier.

    Sur ce, je vous souhaite un très bon week-end de pâques !

  • Changer l’eau des fleurs, de Valérie Perrin
    Image par Peter van de Ven de Pixabay

    Bonjour à tous 😊. Aujourd’hui, je rédige cette chronique depuis chez moi, seule, tandis que mon compagnon est à des kilomètres d’ici. C’est précisément cette solitude qui m’a incitée à écrire ces lignes maintenant. Elle résonne étrangement avec le livre dont je vais parler.

    L’histoire présente plusieurs perspectives, mais celle qui retient principalement notre attention est celle de Violette Trenet, épouse Toussaint. Elle se retrouve à exercer la fonction de gardienne de cimetière à Brancion-en-Châlon. Malgré la chaleur humaine de l’équipe des fossoyeurs, son quotidien demeure monotone. Son passé se dévoile en parallèle de son présent. Et à mesure que les pages se tournent, les doutes se dissipent pour laisser place à une compréhension déroutante.

    Ce livre, je l’ai trouvé tout simplement extraordinaire. Il oscille entre une douceur envoûtante et une violence profonde. Honnêtement, il m’a profondément émue, au point qu’il m’a fallu un certain temps avant de me plonger dans un autre ouvrage. Qu’en avez-vous pensé ?

  • Night World Tome 9 « La flamme de la sorcière », de L. J. Smith
    Image par Rudy and Peter Skitterians de Pixabay

    Bonsoir à tous ! Il fait déjà nuit c’est triste. Malgré les prévisions ensoleillées, le ciel s’est obstinément teinté de gris, quelle déception…

    Ce soir, je vous emporte dans les aventures palpitantes de Keller, une jeune métamorphe missionnée pour dénicher la toute dernière puissance sauvage. Ces personnes sont au cœur d’une prophétie captivante :



    Ces puissances, une fois réunies, détiennent le pouvoir de sauver le monde du chaos. La dernière parmi elles semble être la sorcière égarée, répondant au nom d’Iliana. Elle est censée épouser le fils de la première famille des métamorphes, les leaders de leur espèce. Cependant, les choses ne se dérouleront probablement pas comme prévu… Imaginez-vous quelqu’un surgir de nulle part pour vous annoncer que vous devez épouser un parfait inconnu : pas vraiment engageant comme proposition.

    J’ai pris un réel plaisir à plonger dans cette histoire, d’autant plus qu’il s’agit du dernier tome paru. Le seul regret est que la suite n’a jamais vu le jour en version imprimée. Pour ceux d’entre vous qui auraient espéré découvrir la suite, il existe un dixième tome en anglais. Malheureusement, je ne pourrai pas le lire, mais n’hésitez pas à m’en donner des nouvelles. Je suis vraiment curieuse de connaître le dénouement !

    Je vous souhaite à tous une excellente soirée !

  • Hachi & Maruru Chats des rues

    Bonsoir tout le monde ! Ce soir, je vous rejoins avec un cœur fatigué, mais je suis comblée d’avoir consacré toute mon énergie à achever un ouvrage, afin d’avoir quelque chose à écrire. La rédaction de chroniques est une activité qui réchauffe mon âme. Le fait de ne pas pouvoir publier à l’heure me frustre, mais je suis convaincue qu’à chaque trait de plume qui marque ces pages, je guéris un peu plus.

    Ce scénario captivant nous transporte au cœur de la vie de ces félins intrépides, les chats des rues. Dans leur quotidien, ils font face à d’innombrables défis pour assurer leur survie dans un environnement urbain souvent hostile. Ils se battent pour trouver de la nourriture, un abri et établir leur place au sein de la hiérarchie complexe qui règne parmi leurs congénères.

    Ce qui rend leur situation encore plus poignante, c’est l’interaction ambiguë avec la société humaine. Parfois, ces chats, par leur charme naturel, parviennent à attirer l’attention des passants qui les caressent, leur offrent de la nourriture ou de l’affection, pour un court moment de réconfort mutuel. Cependant, cette interaction est souvent éphémère et superficielle. La société humaine, souvent obsédée par ses propres préoccupations, finit par les ignorer, les laissant à nouveau à leur sort précaire.

    Ce récit explore la résilience de ces créatures souvent négligées, tout en nous offrant une perspective inédite sur la complexité de la vie urbaine à travers les yeux de nos amis à quatre pattes.

    « Chats des rues » est une histoire qui vous touchera en plein cœur et vous fera sûrement réfléchir à la coexistence entre les êtres humains et les animaux dans nos villes. Et puis, soyons sincères, une histoire avec des chats, est la meilleure chose qui puissent exister dans ce monde !

  • Pucelle, de Florence Dupré La Tour

    Bonsoir tout le monde ! Je vous écris cette chronique à peine dix minutes avant sa sortie, et j’ai les doigts frigorifiés. Nous avons été nous promener, et mes mains ne se sont pas encore réchauffées. D’ailleurs, j’irai jouer à Zelda après ! J’espère avoir terminé cette chronique à temps.


    Florence, le personnage principal et autrice de Pucelle, traverse une période de sa vie fortement influencée par son éducation prude et religieuse. Elle ressent un manque de liberté dans ses choix et dans sa manière de vivre, éprouvant de la honte lorsque confrontée aux règles qui semblent s’imposer à elle. Cette situation la rend difficile à saisir pour certains, et suscite en eux un certain malaise face à ses actions jugées extrêmes. Pour ma part, je n’ai jamais considéré ces sujets comme tabous, et j’ai pu facilement en discuter ouvertement. C’est pour cette raison que le caractère extrême de certains comportements du personnage m’a semblé aller un peu trop loin à mon goût.

    En effet, il est crucial de reconnaître l’importance de remettre en question les perceptions dépassées concernant les règles et de travailler à rendre la discussion plus ouverte et inclusive. Malheureusement, les stigmates persistants associés aux menstruations continuent d’avoir un impact négatif sur de nombreuses femmes à travers le monde. En outre, il est impératif de promouvoir l’éducation et la sensibilisation pour que les préjugés et les idées fausses sur ce sujet soient éradiqués. En fin de compte, il est essentiel que les mentalités évoluent afin que toutes les personnes, indépendamment de leur genre, puissent aborder ce sujet de manière transparente et sans crainte de stigmatisation ou d’humiliation.


    Pour en revenir au livre, il nous montre des états d’esprit que beaucoup de personnes ont eu, et qui perdurent encore de nos jours. À un degré différent heureusement. Je ne pas spécialement aimé le livre, mais il aborde un sujet que l’on devrait tous abordé. Ce que j’ai écrit est un peu brouillon, je m’en excuse et vous souhaite une excellente soirée !

  • La revue de la SCIENCE n°27 « Ces maladies que l’on va guérir »

    Je sais, je sais. Mais d’abord, bonjour les amis ! Aujourd’hui, je vous présente quelque chose d’un peu particulier à d’habitude. Je n’ai encore jamais chroniqué de magazine. Mais à chaque fois que je me rends à l’hôpital, j’ai pour coutume d’acheter un magazine. Et celui-ci est le tout premier que j’ai acheté.


    Ce magazine traite de sujets comme le vieillissement, l’hypnose en médecine, les avancées biologiques, microélectroniques, et des expériences effectuées dans l’ISS. Il s’agit du numéro sorti en février dernier, autant dire que cela date un peu. Néanmoins vous pouvez vous le procurer sur le site lafontpresse.fr.


    Saviez-vous que les chauves-souris vivent près de 30 ans, en comparaison avec les souris (de corpulence égale) qui n’en vivent que 3 ? Pensez-vous que la longévité d’une personne se répond en gènes ou de par le mode de vie ? Si vous aviez un doute, sachez que le mode de vie y est pour beaucoup. C’est fou quand on y pense. Tout le monde a peur des meurtriers (avec raison), mais personne n’a peur de lui-même. Alors que l’on réduit nous-mêmes notre espérance. On doit être maso sur les bords quand même. Qu’en dites-vous ?

    Deuxième sujet qui m’a beaucoup plu, c’est le Blob. Ce n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. Mais alors qu’est-ce-que c’est ? À bord de l’ISS, un projet a été réalisé sur le développement de cette espèce composée d’une seule cellule ! Et, fait plus étonnant encore, cette espèce ne possède pas de cerveau, mais se déplace pour se nourrir, et transmet ses connaissances à leurs congénères. Sans cerveau ! Mais du coup, a-t-on vraiment besoin d’un cerveau maintenant XD.


    Il est assez délicat de vous en dire plus. Ce qu’il faut retenir, est que je l’ai trouvé très intéressant. Maintenant je vais pouvoir me consacrer à un autre magazine (c’est la surprise hihihi). Je vous fais des bisous ! Bon week-end !

  • « Le théorème de Cupidon », de Agnès Abécassis
    Image par dozemode de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Est-ce-que vous êtes en manque d’amour ? Êtes-vous, au contraire, au comble du bonheur ? Je pense que vous l’avez compris, ce livre parle d’amouuuuuuuur. C’est une jeune femme de 38 ans, qui a déjà un background derrière elle, qui se retrouve affublée d’une étiquette peu valorisante. Mais, je me pose beaucoup de questions à ce sujet qui m’incite à vous questionner vous, sur votre point de vue.


    Aujourd’hui, les gens ne peuvent pas vivre seul. À partir du moment où une personne est célibataire, tout le monde cherche à la caser avec une autre. Je le sais, je suis si heureuse quand un de mes ami(e)s tombe amoureux(se). Alors que ce n’est pas un but pour tout le monde. D’ailleurs, les aromantiques nous le prouve aujourd’hui. Ce sont des personnes qui n’éprouvent aucune attirance pour les autres, ils ne tombent pas amoureux. Mais dans nos esprits, c’est tellement improbable, que l’on a tendance à blesser les autres avec nos questions. Nous sommes curieux, nous voulons évoluer (et ça évolue, en partie), mais cela les rend différents. Alors que pas du tout.


    Bref, pourquoi je suis partie sur ce sujet ? C’est un peu ce que reflète ce livre. C’est un femme qui n’arrête pas de se prendre des réflexions sur son célibat. Comme quoi, les gens ont  toujours besoin d’une deuxième personne pour être heureux. C’est totalement faux. Si nous en avions tant besoin, nous serions tous des siamois ! Et cette pression est incessante, cela n’en finit pas. Alors qu’au final, elle n’a rien fait mal.

    Et il est vrai que je l’ai vécu, cette situation. Alors que je n’ai que 24 ans ! J’avais une amie, que j’appréciait beaucoup. Mais on se voyait peu,  alors on prenait de nos nouvelles par téléphone. Et après le « Bonjour ça va ? » c’était : « Est-ce-que tu as trouvé quelqu’un ? ». C’était inévitable. Et ça m’a tellement saoulé, que j’ai pratiquement arrêté tout contact. À chaque fois elle me demandait si j’étais triste, et que ça viendrait. Je lui répondais que j’en avais rien à faire et que j’étais très heureuse célibataire. Mais rien à faire, elle n’a était seulement heureuse pour moi le jour où je lui ai annoncé ma vie de couple. C’est insupportable…

    Bref, décidément, c’est un sujet qui me tient à cœur ! Ce livre, c’est mon copain qui me l’a offert et je l’ai adoré. Est-ce-que vous connaissez cette autrice ? Apparemment, elle a écrit plein de livres. Si vous aimez les histoires d’amour du destin, ce livre est fait pour vous ! Je vous fais plein de bisous et vous mets le résumé juste en dessous 😉 :

    « THEOREME DE CUPIDON (Déf) : deux lignes parallèles ne se croisent jamais. Sauf si elles sont faites l’une pour l’autre.

    Adélaïde est exubérante, directe, rigolote, mais fuit les histoires d’amour.
    Philéas est timide, maladroit, sérieux, et ne pense qu’à conclure.
    Ils ont le même âge, travaillent tous les deux dans le cinéma, pourtant ils ne se connaissent pas. …
    Enfin, c’est ce qu’ils croient.

    Entre situations pétillantes et rebondissements irrésistibles, une savoureuse comédie-romantique à deux voix, l’une féminine, l’autre qui a mué. »

  • La Sélection Tome 4 : L’Héritière, de Kierra Cass
    Image par Pexels de Pixabay

    Bonjour ! Ah ! Je vous retrouve aujourd’hui… Mais attendez, comment allez-vous d’abord ? Un peu de politesse nom de nom ! Donc je disais : je vous retrouve aujourd’hui pour la suite de la Sélection, une trilogie que beaucoup connaissent. Cette suite se situe vingt ans après la Sélection d’America. Aujourd’hui parents, Elle et le roi décide de donner le pouvoir au premier né, c’est-à-dire, Eadlyn.

    La 4e (C’est fou, je ne l’a présente plus cette 4e) :

    « Vingt ans après la Sélection d’América Singer, et malgré l’abolition des castes, la famille royale d’Illéa doit à nouveau faire face au mécontentement du peuple : l’heure est venue de lancer une nouvelle Sélection.

    À dix-huit ans, la Princesse Eadlyn se sent prête à devenir reine. Elle l’est beaucoup moins à trouver un mari, au point que cette idée ne l’a même jamais effleurée. Quand elle consent finalement à ce que ses parents organisent une Sélection, Eadlyn voit son quotidien bouleversé par l’arrivée de ses 35 prétendants et la folie médiatique qui l’accompagne. Mais entre les raisons du cœur et la raison d’État, la Princesse va devoir faire des choix, et, au fil des semaines, se prendre à ce jeu dont dépend l’avenir d’Iléal… »

    Eadlyn est une femme avec l’envie et l’ambition de régner seule. Seulement, la société lui impose un autre choix. Le mariage avec un homme les rassureraient. Le peuple la voie comme une personne froide et sans cœur, et cela ne paît pas du tout aux gens qui ont connu et qui connaissent encore la misère, la soumission par rapport aux riches, etc. Donc l’attitude que donne Eadlyn leur laisse un goût amère, bien qu’ils ne se rendent pas compte de ce qu’elle donne pour son peuple : elle leur donne son corps, son intimité même. C’est gravissime car il faut pas oublier que l’histoire se déroule à notre époque.

    Et pourtant, quand on y pense, il y a toujours quelqu’un pour nous dire que l’on est pas assez bien ou que l’on peut trouver mieux. Le cœur en monarchie n’existe pas, ou s’il existe, est assassiné par son propre peuple, sa famille, et même par des inconnus du bout du monde.

    Eadlyn est critiquée pour Dieu sait toutes les raisons, et je n’aimerai vraiment pas me retrouver dans sa position. Sur ce, je vous laisse, bisous !

    Écrite le 18/11/2022

  • Nains Tome 1

    Il y a quelques semaines, je me suis installée sur le canapé avec cette BD à la main, et je l’ai ouverte. Tout de suite, j’ai été frappée, emportée par les dessins. Pour ceux qui ne sont pas familiers, cette série de bandes dessinées est un peu particulière. Elle comprend des séries telles que « Mages », « Nains », « Orcs et Gobelins », et « Elfes ». Chaque catégorie est divisée en plusieurs « clans ».

    Et par exemple, une personne peut choisir de lire uniquement les tomes de la série Nains ; ou bien commencer par le tome 1 des nains, puis le tome 1 des Elfes, etc. On peut également se concentrer sur les tomes d’un seul et même clan au sein d’une catégorie. En résumé, si vous êtes un peu perdus, j’en suis désolée mais c’est tout à fait normal. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre dans quel ordre les lire.

    Celui que je vous présente aujourd’hui est consacré à Redwin, un nain absolument merveilleux, qui ne rêve que d’une seule chose : être reconnu. Il aspire à créer des armes runiques, mais le seul moyen d’y parvenir serait de devenir un seigneur des runes. Cela signifierait tourner le dos à son père, qui refuse catégoriquement de lui enseigner cet art. Pourquoi un père aimant autant son fils refuserait l’apprentissage de quelque chose qu’il maîtrise si bien ? Je ne vous en dis pas plus, ce serait de la triche :P.


    Je vous souhaite à tous un bon week-end. Il faudrait laver ma voiture, cependant, ça caille dans le Doubs ! Bisous

  • Harry Potter à l’école des sorciers Tome 1, de J. K. Rowling
    Image par Manuel Schäfer de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Il fait beau en ce lundi de pâques, vous ne trouvez pas ? Je suis très heureuse de vous parler d’Harry Potter aujourd’hui. Ayant été à Troyes ce week-end, je me sens légère, comme si pour la première fois depuis des lustres, le repos me guettait. Reposant, voilà comment a été ce week-end – pourtant bien fourni en visites culturelles, en promenades, et en restaurants. Cela a eu pour conséquence bénéfique de me replonger intégralement dans mes livres, ce qui fait tellement de bien.

    Toute personne un minimum connecté avec le monde ne se pose plus la question de savoir qui est Harry Potter. Une figure culte et légendaire dans le monde du cinéma et de la littérature. Tout comme son autrice J. K. Rowling : son parcours, son histoire, beaucoup en ont entendu parler, même ceux n’ayant aucun attrait pour cette œuvre.

    La lecture du roman s’est révélée être une agréable découverte, à l’exception des remarques peu flatteuses de notre chère Hermione Granger, pour qui l’assiduité et le savoir scolaire sont ses principales préoccupations, voire les seules… Dans ce premier tome, j’ai fait la connaissance de ce fameux Charlie. J’avais entendu parler de lui dans mon entourage, et heureusement, je n’ai eu aucun spoiler. Le livre reste très fidèle au film, bien que certaines scènes diffèrent légèrement.

    Je tiens également à souligner que Ron Weasley est plus méchant envers Hermione dans le livre que dans le film. J’ai eu très envie de lui donner des claques à plusieurs reprises.


    Je vous montre la 4e de couverture de mon tome, bien qu’elle ne dépeigne pas l’histoire, étant donné que j’ai acheté le premier tome d’Harry Potter aux éditions Serpentard (oui, j’ai décidé que c’était une édition à part entière) :


    PS : J’étais à Serpentard durant mes années de jeunesse, maintenant je parcours les couleurs spectaculaires de Serdaigle !

  • Le patient, de Timothé Le Boucher

    Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui, je vous présente un roman graphique absolument fantastique. Après 47 cordes, je suis très heureuse de retrouver cette patte graphique. À chaque fois, ce sont les yeux qui m’interpellent. Aucune pupille, seulement le cercle de couleur de l’iris. Et puis, ils sont si expressifs. Timothé Le Boucher arrive, non pas à nous transmettre les émotions des personnages, mais à nous faire ressentir des sensations liées à ces regards. Honnêtement, en lisant certains passages, je ne me sentais pas très bien. J’avais une sensation de peur et de malaise qui s’installait.

    Comme toujours, j’aime terriblement ses ouvrages, et espère bientôt acheter « Ces jours qui disparaissent ». C’est le dernier manquant à ma collection, et ce manque se fait véritablement ressentir. Cette œuvre est un roman et un film en même temps. Je vous le conseille très fortement, bien que ce soit son livre le moins bien noté apparemment. Il faut avouer que 47 cordes est excellent…

    M’enfin ! Dites-moi ce que vous en avez pensé, et si vous les avez tous lus, celui que vous préférez 😊. Des bisous.

  • « Les loups de Riverdance », de H. V. Gavriel
    Image par Yuri de Pixabay

    Bonjour la compagnie ! J’aurais mis un peu de temps à l’écrire celle-là, mais je n’étais pas très inspirée. Je trouvais toujours autre chose à faire. Alors que je l’ai bien aimé. D’ailleurs je compte bien acheter la suite sur ma liseuse 😊.

    La 4:

    Nous suivons Lucas, un jeune homme au passé trouble et tortueux, dans une romance fantastique gay. J’ai un peu de mal à lire des romances comme celle-ci parce que je n’arrive pas très bien à m’identifier. C’est comme une fois, j’ai lu une histoire sur un trans (une trans ?), et tout long du livre, je m’imaginais un garçon, alors que, pas du tout. C’était assez perturbant. Ce qui ne m’empêche pas d’aimer ces livres heureusement ! Cela me permet d’agrandir ma pile à lire (hihihi !).

    Revenons à nos moutons… enfin, à nos loups. Lucas se cherche beaucoup. Et bien qu’il ait vécu beaucoup d’expériences traumatisantes pendant son enfance et son adolescence, il est à la fois, très conscient du danger extérieur, et à la fois très immature concernant les sentiments familiaux ou amoureux. D’un certain côté, c’est toujours un enfant. Lucas apprend à s’ouvrir avec beaucoup de difficultés.

    Je déconseille ce livre aux âmes sensibles. L’auteur fit mention de maltraitance, de prostitution, de viol, de torture, etc. De ce côté-là, j’ai eu du mal à terminer ces passages. Je continuerai de lire les prochains tomes, et je vous ferais un retour évidemment.

    Il est bientôt l’heure d’aller manger raclette alors je vous laisse, bisous !

  • Lizy Vaudou : Le fragment d’âme

    Bonjour à tous ! Ça fait un bail. Je n’ai pas énormément lu ces derniers temps. J’en étais triste, mais cela revient petit à petit. Forcé d’admettre que mon rythme de publication va s’en retrouver touché. Je ne sais pas quel sera ce rythme, mais je compte bien en avoir un tout de même.

    Aujourd’hui, je vous présente une bande dessiné conçue par Maxime Fontaine et Robin Guillet. Cette BD raconte une aventure de Lizy Templet, une jeune sorcière vaudou, qui, en débarquant en Louisiane, se retrouve à devoir aider sa famille. Il existe notre monde, composé d’êtres humains, et celui des morts, habité par des esprits… enfin presque.

    Je ne vais pas vous en dire plus, ce serait du gâchis. Je vous laisse le découvrir, ou le faire découvrir à vos enfants. Cependant, je ne vous laisse pas à votre sort. Je tiens à vous faire découvrir les dessins qui l’anime. Les couleurs vont extrêmement bien ensemble. Et je revérifiais à l’instant mais, dans le livre ne se trouve aucune image où le soleil se lève. Je me demande comment les couleurs se seraient assemblées. Dites-moi ce que vous en pensez 😊.

  • Là où chantent les écrevisses, de Delia Owens
    Image par Peter H de Pixabay

    Bonsoir les ami(e)s. Aujourd’hui… Enfin ce sera un autre jour pour vous, mais passons – j’ai terminé un livre audio formidable. Vous savez, quand la voix de la narratrice/eur s’accorde tellement bien avec l’ouvrage que l’on pense que l’un ne peut exister sans l’autre.

    Catherine Danielle Clark – Alias Kia nous fait voyager dans le marais, son marais. Ce serait difficile à d’écrire et d’expliquer les émotions ressenties, mais je vais faire de mon mieux. Encore une fois, je ne vous mettrai pas le résumé et vous conseille fortement de ne pas le lire avant la lecture. Certaines choses sont dites et sous-entendues, alors qu’elles mériteraient d’être découvertes sur le vif. Ce que je peux vous dire pour vous convaincre de le lire maintenant et peut-être le parcours de l’autrice.

    Delia Owens est diplômée en zoologie et biologie aux États-Unis. Après cela elle vivra vingt ans en Afrique. Ayant déjà publiée des ouvrages dédiés à la nature et aux animaux avant d’entamer ce roman, tout son parcours fournira un panel de paysage tous plus magnifiques les uns que les autres. Ce n’est pas de la description pure, mais plutôt un envoi de couleurs et de sensations qui passent en nous par cette lecture. Comme dit auparavant, il est difficile d’expliquer comment je l’ai aimé. Cet ouvrage est splendide et plein de suspens harmonieux et déclinant.

    Ce que je peux également faire , c’est vous transmettre les ressenties des journalistes :

    Un très beau livre que je recommande aussi en audio 😊.

    Très bonne journée à vous, bisous !

  • Nés à minuit, Tome 6 : « Frissons »
    Image par Lorri Lang de Pixabay

    Bonjour à tous ! Vous m’aviez manqué. Cela faisait quelques mois que je n’avais rien posté, mais maintenant ça revient peu à peu à la normale. Je vais essayer de garder le rythme d’une chronique toutes les deux semaines. Nous verrons bien.

    J’ai continué, et terminé cette saga. Il y en a une autre de sortie, mais centrée sur Della, la vampire. J’ai d’ailleurs le premier tome en ma possession, donc peut-être pourrais-je vous la faire découvrir. 😊

    La petite 4e de couverture comme d’habitude, et c’est parti !:

    J’ai apprécié que l’histoire soit racontée du point de vue d’un personnage secondaire, bien qu’elle ne fasse pas forcément partie de mon top 3 ^^. Miranda parcourt un sentier initiatique dans ce roman. Elle apprend à connaitre sa dyslexie et à ne pas se dévaloriser par rapport aux autres. Ce qui me fait plaisir, c’est qu’elle réfléchit un peu plus avant d’agir. Pas comme l’ancien personnage principal qui avait tendance à m’exaspérer.

    Je serai peut-être plus heureuse de suivre l’évolution de Della, la vampire. Elle est plus terre à terre, et de plus, elle travaille (pardon : SPOIL) à l’URF – un bureau d’enquête spécialisé dans le surnaturel. On verra bien.

    Je vous dis à dans deux semaines ! Bisous !

  • Sapiens : Une brève histoire de l’humanité
    Image par Gerd Altmann de Pixabay

    « Une brève histoire de l’humanité » : c’est exactement ça. De la préhistoire à nos jours, cet auteur nous expose ses questions. Pourquoi les Homosapiens plutôt que les Néandertals ? Comment cela se fait-il que ce soit eux qui soient restés sur terre ? Comment nos croyances ont évolué vers un seul et même dieu ? Pourquoi rejeter en bloc toutes autres formes de religions bien qu’en place depuis des millénaires ? La découverte de l’Amérique, les conquêtes de territoires, l’association de la sociologie, de la politique, mais aussi de l’écologie, nous sont décrites à travers ses yeux.


    C’est une thèse effectivement brève mais très bien construite. Des sujets dont j’avais déjà connaissance, et qui se sont étoffés. J’ai passé un excellent moment en sa compagnie, et si vous-mêmes êtes friands d’histoire et de mystères, plongez dans ce livre qui – j’en suis certaine – vous apportera pléthore de réponses ou de compléments au savoir qui jonche déjà votre esprit.


    Ce livre est constitué de 4 parties majeures, lesquelles sont « La révolution cognitive », « La révolution agricole », « L’unification de l’humanité », et « La révolution scientifique », qui me parle bien plus que les trois premières parties. Et c’est amplement compréhensif : Chaque jour, j’ai cette impression que la science se développe bien plus vite que notre propre existence. Et pourtant, cette idée me paraît insensée. C’est l’homme qui fait avancer la science, elle ne peut donc pas aller plus vite. 😊


    Je suis très heureuse de mettre lancer dans cette aventure, et attends avec impatience votre retour sur celui-ci ! Bonne semaine !

  • Night World Tome 8 : Le Royaume des Ténèbres
    Image par Pexels de Pixabay

    Nous arrivons presque à la fin ! Plus qu’un tome et j’aurais terminé une nouvelle fois cette saga. Pour les tomes précédents, je me souvenais les avoirs déjà lus. Cependant, celui-là était tout simplement une découverte. JE ne me souvenais de rien.

    J’ai adoré le lire ! Je vous le jure. Il y a une scène en particulier où le personnage principal Maggie se retrouve dans un placard en train d’écouter aux portes. Et pendant ce passage, j’ai eu envie de me gratter le front. Quelle galère ! J’y suis allée très lentement pour faire le moins de bruit possible, j’arrêtais de respirer parfois. Et je ne vous dis pas quand il a fallu que j’éternue : une catastrophe…

    Ce livre, je l’ai lu en un temps record. J’ai profité de mon temps en arrêt maladie pour le faire (sinon quand ?). D’habitude, quand le rhume ou la maladie survient, je n’arrive alors plus à lire, pourtant, cela à l’air d’être le cas aujourd’hui (et vu que je n’arrive pas à faire grand-chose d’autre, comme ça, je n’aurais pas eu l’impression de ne rien faire).

    Je vous mets le résumé bien sûr comme d’habitude, mais je vais l’écourter. Sinon il spoilera bien trop :

    « Maggie s’est juré de le retrouver à tout prix. Sa quête la conduit chez Delos, un prince vampire réputé pour sa cruauté, qui tient toute une communauté d’humains en servitude. À son arrivée, ce sombre individu la capture et en fait son esclave. Mais peu à peu, une irrésistible attirance les consume. Maggie se retrouve alors face à un douloureux dilemme. »

    Vous n’en saurez pas plus ! Non, non, non, pas la peine de protester, c’est perdu d’avance.

    Je souhaite un bon rétablissement à tous ceux qui en ont besoin 😊. Bisous !

  • Nés à Minuit, Tome 5 « Crépuscule »
    Image par Sven Lachmann de Pixabay

    Nous sommes enfin arrivés au tome 5 ! Après réflexion, je pense l’avoir déjà lu. Vous savez, ces sensations de déjà-vu quand vous parcourez les pages d’un livre, dont vous n’êtes pas sûr qu’il ne soit pas déjà passé entre vos mains. C’est une sensation que j’ai ressentie quelquefois. Elle est agréable de par sa familiarité, et déconcertante car tu te rends compte que tu connais la suite, tu l’as déjà lue, mais tu ne t’en rappelle pas.

    La 4:

    « Coupée de Shadow Falls et de ses amis, Kylie découvre enfin l’étendue de ses dons surnaturels et la communauté des caméléons à laquelle elle appartient. Mais la jeune fille est menacée par le retour de Mario, son plus maléfique adversaire, et n’a qu’une solution : rentrer au centre pour trouver des alliés. Elle va alors devoir affronter les plus grands dangers… et faire un ultime choix entre les deux hommes qu’elle aime. »

    Quels sujets abordés cette fois-ci ? Je dirais le pardon (quand l’amour est en jeu) ; Les promesses non tenues ; Et l’acceptation des différences.

    Donc pour commencer, vous vous rappelez la partie sur le mariage dans le précédent tome ? Eh bien, que décideriez-vous de faire, si la personne que vous aimez, épouse une de son clan pour accomplir sa quête ? D’une part, je comprends que cela soit important pour lui, mais on ne devrait pas se marier pour être accepté. Pardonneriez-vous cet acte, qu’il ait été accompli ou presque ? Dans mon cas, c’est hors de question. Comme je vous les dis dans mes articles précédents, je ne veux pas me marier parce que c’est quelque chose de très fort, et que la plupart des gens d’aujourd’hui le font avec trop de légèreté. Pas tous heureusement.

    Avec ça on en vient à l’acceptation des différences, car en refusant, à la fin, de signer le contrat de mariage, cette personne se met toute la colonie de loup-garou à dos. Tout simplement parce que son cœur ne bat pas pour une personne de son espèce. En y repensant, c’est exactement ce qu’il se passe dans le monde encore maintenant…

    Pour finir, Kylie, en tant que protectrice, n’hésite pas à se mettre en danger, alors qu’elle-même promet de ne pas faire de choses insensées, sans prévenir au préalable une autre personne. Ce qui me peine beaucoup dans cette série, est que Kylie est chiante. Voilà c’est dit. Elle a un nouveau pouvoir, et pour elle cela va être une malédiction. Elle va agir comme une enfant et ça m’horripile ! Des fois, elle a de bonnes réflexions, mais pas assez…

    Et vous, l’avez-vous lue ? Qu’avez-vous pensez du personnage de Kylie ?

    Bonne semaine tout le monde !

  • La Faucheuse Tome 1, de Neil Shusterman
    Image par Dorothe de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ?

    J’ai terminé le tome 1 de La Faucheuse et j’adore ! Alicia, une amie et autrice de Cette nuit, souviens-toi m’en avait parlé, de ce bouquin.

    J’écris cette chronique moins d’une heure avant sa sortie. Et ayant fait tout un tas de choses ce week-end, je vous prierai de m’excuser pour les fautes éventuelles.

    La 4e est attrayante alors je vous la mets au début :

    « Les commandements du Faucheur :

    Tu tueras.

    Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.

    Tu accorderas une année d’immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.

    Tu tueras la famille de ceux qui t’ont résisté.

    « MidAmérique, milieu du 3e millénaire. Dans un monde où la maladie a été éradiquée, on ne peut plus guère mourir qu’en étant tué aléatoirement (« glané ») par un faucheur professionnel. Citra et Rowan sont deux adolescents qui ont été sélectionnés pour devenir apprentis-Faucheurs ; et, bien qu’ils aient cette vocation en horreur, ils vont devoir apprendre l’art de tuer et comprendre en quoi cette mission est bel et bien une nécessité.

    Mais seul l’un des deux adolescents sera choisi comme apprenti à part entière, et lorsqu’il devient clair que la première tâche du vainqueur sera de glaner la vie du perdant, Citra et Rowan se retrouvent dressés l’un contre l’autre bien malgré eux… » »

    Le monde post mortem fonctionne bien différemment du nôtre. Celui que nous conte Neal Shusterman – l’auteur du livre – est dirigé par une intelligence artificielle (IA) qui a pour nom Thunderhead. Diriger n’est peut-être pas le verbe qui convient… c’est difficile à dire. Comme il le dit lui-même, il est omniscient et omnipotent, il est programmé pour régir avec bienveillance. Régir n’est pas bon non plus. Le monde entier se fit à lui et fait tout ce que le Thunderhead leur dit de faire, tout en prenant garde à leur laisser le libre arbitre. Il est 23 heures actuellement et je tombe de sommeil, ne m’en veuillez pas si votre compréhension en est confuse.

    La mort est arbitrée par des Faucheurs, des êtres immortels dont leur devoir est celui de diminuer la population mondiale, qui bien-sûr, ne fait qu’augmenter. Si la mort est accidentelle, le Thunderhead permet la reprogrammation de la personne décédée, et la ranime, tout simplement. Allez savoir comment ils font pour rapiécer les corps…

    J’aime beaucoup cette saga composée de trois tomes (il me semble avoir vu des hors-série). Pour ne rien vous cacher, j’en suis déjà au troisième (hi hi hi). Sur ce, je vous laisse et vous souhaite une bonne nuit. Bisous !

  • Night World Tome 7 « Chasseresse »
    Image par Robin Cox de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ?

    Ah Night World, ça faisait longtemps. J’ai eu beaucoup de mal à enclencher le mode liseuse-tueuse, vous savez, le mode qui fait que rien à part la fatigue et le boulot ne peut arrêter. Je l’ai retrouvé ! Et ça fait super plaisir, j’ai l’impression que ma force revient dans le même temps. J’ai siphonné les 200 dernières pages et j’en suis ravie !

    La 4e de couverture :

    « À la tête d’une dangereuse armée, la flamboyante Jez est l’héritière d’une des plus illustres lignées de vampires. Son avenir semble tracé dans le sang. Ce monde parfait qu’elle dirige d’une main de fer s’effondre pourtant le jour où elle apprend que sa mère biologique est une humaine. Désormais tiraillée entre ses deux origines – ombre et lumière  –, Jez cherche la rédemption auprès du cercle de l’Aube, le puissant ennemi du Night World. Mais quand ses nouveaux alliés mettent sa loyauté à l’épreuve en lui ordonnant d’anéantir le séduisant Morgead, son ancien bras droit et premier amour, le doute s’empare de la chasseresse. Pourra-t-elle se liguer contre sa famille d’autrefois ? Les choix que Jez s’apprête à faire scelleront définitivement son appartenance à un clan. Déchirée entre devoir et sentiments, trouvera-t-elle enfin sa véritable identité ? »

    L’histoire est centrée autour de Jez, une jeune femme tourmentée par le passé, qui se découvre et se construit au fil des pages. Autour d’elle gravitent des personnes qui l’a tireront vers le haut d’une manière ou d’une autre. Apprenant son héritage familial, elle décide de fuir ses ami(e)s, la peur de l’abandon la tenaillant vivement. Abandonner quelqu’un est bien plus facile que de se faire abandonner, car celui qui abandonne connaît la raison. Évidemment, il y a des exceptions, mais de mon point de vue, c’est comme cela que ça se passe.

    Comme je vous l’ai dit précédemment, relire cette saga me fait beaucoup de bien, je la redécouvre doucement. Cependant, et j’ai peine à le dire, mon rythme de lecture s’est atténué. Je ne sais combien de temps je pourrais tenir cette cadence d’un livre par semaine, mais j’espère le plus longtemps possible.

    J’alternerai peut-être avec des BDs et des mangas, de temps en temps. Je vous souhaite un très bon week-end les ami(e)s ! À bientôt ! (Je vais retourner lire dans mon coin moi…).

  • Nés à minuit tome 4 : frémissements
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    Image par Scott Webb de Pixabay

    Ouuh, aïe aïe aïe aïe aïe !  J’ai eu du mal à me replonger dans l’histoire deux mois après la lecture du troisième tome, mais pas impossible.

    Le résumé : (J’ai failli oublier 🤗)

    « Alors qu’elle est sur le point de percer l’énigme de son étrange nature, Kylie est poursuivie par un fantôme qui ressemble trait pour trait à sa confidente Holiday. Serait-ce le signe que son amie est en danger de mort, ou cela cache-t-il un secret, plus sombre encore ? Kylie devra tout mettre en œuvre pour faire la lumière sur ce nouveau mystère. Car le changement est inévitable, et tout a une fin, peut-être même son séjour à Shadow Falls… »

    Déjà, je vais exposer mon point de vue par rapport à un événement particulier de l’histoire : le mariage. Pour ma part, je n’ai pas spécialement l’envie de me marier dès le début. Si je pouvais le faire quelques années seulement avant le décès de l’un des deux, je choisirais cette option. Malheureusement, même si j’ai envie de mourir à tel âge, tout arrive, et ma fin peut arriver prématurément. De plus, je ressens véritablement le mariage comme quelque chose de sacré, de fort, quelque chose qui crée un lien entre deux personnes de façon imperméable et permanente. Alors, si j’en arrivais un jour à me marier, cela me serait irréversible. Même si la personne à laquelle je serais liée venait un jour à vouloir divorcer, je l’accepterai évidemment, mais je ne pourrais plus jamais me remarier une seconde fois. Car quoi qu’il arrive je ressentirai toujours ce lien indéfectible, qu’un seul bout de papier n’aura pas le pouvoir de défaire. Voilà mon point de vue.

    Hm, je crois qu’avec tout ce que j’ai à dire sur le mariage, j’écrirai une page dédiée rien qu’à ça ! Quand j’aurai la bonne photo, peut-être 😊.

    Tout ça pour dire que je suis un peu outrée d’un certain comportement, et que j’en comprends terriblement un autre. Bon par contre, Kylie m’énerve un peu à mentir à tout va, sans s’occuper des conséquences que cela peut avoir sur elle et sur les autres. C’est une protectrice ? Va peut-être falloir me donner la définition dans ce cas. Idem, le fait que son cœur balance entre le beau ténébreux qui snob notre fifille en la convainquant que c’est le seul moyen pour qu’ils soient ensemble, et l’autre, qui est absolument adorable et qui accepte Kylie comme elle est… à 200 % ! Je me demande comment son cœur s’y prend pour faire le tri sélectif…

    Quoi qu’il en soit, je serai ravie de continuer la série avec le tome 5, mais je l’ai prêté à une amie donc je vais devoir faire mon choix entre quatre livres… rah, quel dilemme ! Je vous fais des bisous 😘.

  • L’âme du violon, de Marie Charvet
    Image par Syaibatul Hamdi de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Je suis tout d’abord navrée de n’avoir publié aucun article il y a un mois, je ne m’en suis même pas rendu compte. Cela dit, il est vrai que j’avais d’autres chats à fouetter, cependant je m’en excuse.

    Ce n’est pas pour rien que ce livre se nomme ainsi. Quand un objet prend de la valeur jusqu’à nous faire ressentir des émotions ; quand cela nous donne l’impossibilité de s’en séparer, alors nous autres humains donnons une âme à cet objet : la seule chose que l’on ne peut vérifier physiquement, et pourtant le plus précieux des dons. Un doudou à une âme, donnée par l’enfant ; une guitare héritée de son père en a également une ; comme une voiture adoptée au cours de sa vie qui en a forcément une.

    Techniquement, ce sont seulement les êtres qui peuvent survivre sans nous, qui sont véritablement vivants, et qui alors, possèdent une âme. Et à contrario, ce qui est créé des mains de l’Homme, et est manipulé par celui-ci, en est dépossédé, de cette âme, car inanimé sans lui.

    Une voiture, on la démarre pour aller au travail ou pour faire ses courses. Elle s’anime à notre contact. Ne pourrait-on pas considérer qu’elle ait aussi une âme avec une période de sommeil indéterminée ? bien que, si laissée trop longtemps sans surveillance, celle-ci finisse par s’éteindre définitivement, ne laissant derrière elle des débris, des pièces servant à réparer d’autres voitures. Mais, à notre mort, ne donnons-nous pas nos organes à cette même fin ?

    Ce livre, c’est ça. Un violon unique qui parcourt le temps et l’espace, qui passe d’une paire de mains à une autre. La vie de Guiseppe au XVIIe siècle, un luthier pour qui sa vie ne tourne qu’autour de ses violons ; Lazlo, un gitan éperdu d’amour pour les gens qui l’entoure et qui le raconte à travers sa musique ; Lucie, une jeune artiste en manque de moyen et d’envie ; et Charles, un PDG financier et économique, qui ne ressent des émotions seulement à l’écoute du son des instruments de musique. Toutes ses vies sont reliées d’une manière ou d’une autre. C’est le violon qui les réunit ; son âme.

    Un roman fantastique qui met l’accent sur la musique, ce n’est pas commun. Le seul autre livre qui m’y fait penser est « Si je reste », de Gayle Forman. Un très bel ouvrage soit-dit-en-passant, qui m’a émue jusqu’aux larmes, du début à la fin. Je ne vous mets pas le résumé, ce n’est pas la peine. Belle journée à vous !

    Petit aparté : Je pense faire un article tous les samedis ou les dimanches à partir de maintenant :).

  • Anne de Green Gables, de Lucy Maud Montgomery
    Image par kordula vahle de Pixabay

    Bien le bonjour ! Que se passera-t-il quand cet article sortira ? J’en écris les lignes bien des mois avant sa publication. Fera-t-il beau ? Le soleil et ses couleurs se reflétant sur les collines de ma ville feront-ils concurrence aux paysages d’Avonlea, vu par les yeux émerveillés d’Anne de Green Gables ?

    « Âme de feu et de rosée,

    Elle ressentait les plaisirs

    Et les peines de la vie

    Avec une intensité décuplée. »

    Cette seule phrase illustre parfaitement ce que Lucy Maud Montgomery nous a écrit. Oui, car écrire une telle œuvre est forcément faite pour être lu et gardé précieusement sur nos étagères, toujours à la portée de nos mains et de nos yeux. Ce livre, je l’ai dégusté, prenant deux ou trois chapitres de temps en temps. Vous comprenez ? Je ne pouvais pas le lire d’une seule traite : cela m’en était impossible. Tellement d’éléments sont présents dans cet ouvrage. Toutes les phrases sont construites élégamment. Impossible de tout lire en une fois, je me serais noyée dans cette douceur champêtre ubiquiste.

    Et pourtant, quelle a été ma tristesse – quand bien même j’y ai pris mon temps – d’atteindre la fin du livre. Fort heureusement, ce n’est pas la fin. Les aventures d’Anne nous transportent dans une suite de livres qui se comptent au nombre de six, dont le dernier n’est pas encore sorti. Alors, je ne peux qu’être heureuse de savoir qu’au fond de moi, je pourrais continuer de le déguster encore et encore, jusqu’à ce que ce pouvoir me le soit enlevé.

    Comme je prenais mon temps pour le lire, j’ai cru un instant ne pas l’aimer. En effet, pourquoi mettre plus d’un mois pour le lire, alors qu’à chaque lecture, je me rappelle en prendre plaisir ? Je me suis rendu compte de mon erreur, il s’agissait simplement d’une autre façon d’aimer.

  • Nés à minuit Tome 3 : Illusions, de C. C. Hunter
    Image par David Mark de Pixabay

    Eh bien le bonjour à tous ! Le tome 3 est terminé ! Maintenant je vais faire une petite pause avant de lire le quatrième. Bien sûr, vous vous en fichez peut-être, étant donné que cela ne vous changera pas grand-chose. Eh oui, cet article sort aujourd’hui – le 16 février 2023 – alors qu’en vérité, je l’ai écrit bien plus tôt : le 17 juin 2021 exactement.

    Que dire sur ce tome-là ? Kylie est beaucoup trop vigilante avec ses sentiments, et pas assez pour ce qui est de sa survie. Elle refuse catégoriquement sa garde rapprochée, quitte mettre ses propres amis en danger, alors qu’elle est censée être une protectrice. C’est bien beau de leur venir en aide, mais en même temps, si elle avait un peu plus de jugeote, elle n’en aurait pas besoin. Kylie est une gamine puérile et pourrie gâtée, ce qui rend l’histoire difficile à lire, surtout pour une personne de 22 ans.

    4e de couverture :

    « De retour à Shadows Falls, Kylie n’a qu’une idée en tête : trouver l’origine de ses pouvoirs capricieux. Elle cherche alors une aide auprès de Lucas, le ténébreux loup-garou qui obsède ses pensées. Mais quand un nouvel esprit vient lui délivrer un inquiétant message, « L’un vit, l’autre trépasse », et que d’étranges accidents se produisent, la jeune fille perd pied.

    Tandis que la survie de tous est entre ses mains, elle devra affronter ses plus grandes craintes pour découvrir enfin sa vraie nature. »

    Je me souviens avoir aimé ce livre, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui… j’ai grandi.

    Je conseille ce livre aux adolescents, sinon, la personnalité du personnage principal risque de vous sortir potentiellement par les yeux… Aller, bonne semaine à tous, je vous aime et pense à vous chers lecteurs 😉.

  • Les petites reines, de Clémentine Beauvais
    Image par Zhivko Dimitrov de Pixabay

    Hello ! Bonjour tout le monde ! J’espère que vous passez tous et toutes une bonne semaine, et que vous n’avez pas de rhume, ce qui est mon cas… Imaginez choper un virus tous les mois quand cela ne fait que quatre mois que vous êtes embauché(e). Eh oui, ce n’est pas fameux !

    La 4e tout de suite et je débrief par la suite :

    « À cause de leur physique ingrat, Mireille, Astrid et Hakima ont gagné le « concours de boudins » de leur collège de Bourg-en-Bresse. Les trois découvrent alors que leurs destins s’entrecroisent en une date et un lieu précis : Paris, l’Élysée, le 14 juillet. L’été des « trois Boudins » est donc tout tracé : destination la fameuse garden-party de l’Élysée !!!

    Et tant qu’à monter à Paris, autant le faire à vélo – comme vendeuses ambulantes de boudin, tiens ! Ce qu’elles n’avaient pas prévu, c’est que leur périple attire l’attention des médias… jusqu’à ce qu’elles deviennent célèbres ! Entre galères, disputes, rigolades et remises en question, les trois filles dévalent les routes de France, dévorent ses fromages, s’invitent dans ses châteaux et ses bals au fil de leur odyssée. En vie, vraiment. »

    Ah ! Les petites reines ! Cela fait quelques semaines que je l’ai lu, enfin entendu devrais-je dire. Grâce à Audible. Que ferais-je sans ça ? Le travail me paraîtrait bien fade. C’est avec ce roman que j’ai testé cette application, et que je l’ai adopté. Que ce soit la liseuse ou l’application Audible, il faut bien admettre qu’elles sont toutes les deux pratiques.

    Je dois dire que j’ai pris énormément de plaisirs avec ce livre. Cette histoire qui met en scène la solidarité contre le harcèlement, la force, mais aussi la persévérance de ces jeunes femmes, fraîchement entrées dans l’adolescence, nous transporte dans leur voyage vers Paris. Je pourrais presque dire qu’il s’agit d’un récit initiatique. Ces trois boudinnettes – Mireille, Astrid et Hakima – vont ensemble – accompagnées du Soleil, le frère d’Hakima, se rencontrer, se connaître, et s’aimer.

    C’est un livre que je recommande avec joie. Ce livre est un objet rempli de bonheur agrémenté de légèreté. Et je le relirai probablement. 😊

  • Nés à minuit Tome 2 : Soupçons, de C. C. Hunter
    Image par Adina Voicu de Pixabay

    Que dire ? Déjà, la  plume de l’autrice paraît plus travaillée, ce que j’apprécie beaucoup. Ensuite, la fin est accrocheuse, ce qui peut être un plus, quand on sait qu’il y a six tomes, et une suite avec Della il me semble. Je n’arrive pas à me rappeler si j’ai lu le tome 1 en entier, mais ça ne saurait tarder !

    D’ailleurs, petit aparté : Il m’arrive souvent d’être déconcentrée quand je lis – ce qui fort énervant – et j’ai remarqué que s’il y avait déjà un bruit ambiant, le reste devenait superflu. C’est pourquoi je mets une vidéo ASMR quand je me pose pour lire. Si cela peut aider quelqu’un qui, comme moi, se déconcentre facilement, alors j’en serais très heureuse. 😊

    C’est parti pour la quatrième :

    « Depuis que Kylie a rejoint Shadows Falls, un centre peuplé de créatures surnaturelles, elle est l’objet de toutes les convoitises. Mais le souvenir de Lucas ne cesse de l’obséder. Ce jeune loup-garou à qui elle avait ouvert son cœur a disparu  en lui laissant un étrange message : « Rêve de moi. » Désemparée, elle se tourne vers Derek, un être féerique qui l’attire irrésistiblement depuis leur premier regard.

    Au même moment, ses visions reviennent, lui annonçant la disparition imminente d’un être cher, sans dévoiler son nom. S’ensuit une course contre la montre pour découvrir l’identité du condamné. Prise dans la tourmente, Kylie pourra-t-elle le sauver à temps ? »

    Il y a quelque chose de très énervant dans le personnage. On apprend quelque chose à la fin qui est super, et pourtant tout au long de l’ouvrage, on a l’impression qu’elle se fiche littéralement de ses ami(e)s. Cela a le don de m’énerver. Surtout, qu’il y avait eu beaucoup d’indices sur la personne à aider et, Kylie refusait de les voir.

    Bref, c’est véritablement un roman pour adolescents, mais que je peux tout de même apprécier à 22 ans. Des bisous !

  • Le jeu de la Dame, le vrai du faux
    Image par Steve Buissinne de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Ça faisait looongteemps ! Certes, pour vous cela ne fait qu’une semaine et pourtant, de mon côté il s’agit de plusieurs semaines. Alors pour essayer d’étouffer ma soif de littérature, j’ai testé Audible. Ayant l’abonnement d’essai, je ne me suis pas privée d’utiliser Primevidéo mais aussi Audible. Et quoi de mieux que de récupérer des lectures en retard en écoutant tout simplement quelqu’un le lire pour toi ?

    Beth Harmon est une jeune orpheline qui développe un goût très prononcé pour les échecs. C’est un don qui s’accroît au fur-et-à-mesure des parties qu’elle joue. Ce livre énumère les faits en les comparant à de véritables évènements qui se sont produits dans les années 50 et 60. De qui l’auteur s’est inspiré pour créer le personnage de Beth ? Comment se passent les tournois nationaux aux États-Unis, mais aussi internationaux comme à Moscou ? Être doué(e) en mathématiques influe-t-il vraiment en sa faveur de grande joueuse d’échecs, ou bien l’histoire ou la littérature aurait très bien pu faire l’affaire ?

    Toutes ces questions que l’on s’est posées en regardant la série nous sont répondues par les auteurs et par les témoignages qui viennent vivifier le texte.

    J’ai passé un bon moment à l’écouter. Le plaisir n’est pas le même qu’en lisant le livre mais c’est tout de même agréable sur notre temps de travail 😊.

    Je vous souhaite un bon week-end. Bisous !

  • La maison de la nuit : « La promesse de Dragon », de Kristin Cast
    Image par Iván Tamás de Pixabay

    Se replonger dans une série que l’on a terminée il y a quelque temps déjà rend nostalgique. Je l’ai dégusté comme s’il s’agissait d’un bon vin. D’ailleurs, je l’ai terminé sur ma nouvelle liseuse. Étant donné qu’il s’agissait d’un e-book, je le lisais seulement sur téléphone, et j’ai bien failli le laisser tomber pour cette raison. Bien que le livre papier restera toujours mon support premier, il faut bien avouer que la liseuse a ses avantages aussi. Par exemple, je n’aurais plus à me trimballer toute une pile de livres dans mes voyages, pour ensuite me casser le dos. Seulement un ou deux subsisteront, et plus entre cinq et dix, comme je le fais souvent.

    Juste pour vous remettre dans le contexte, La Maison de la Nuit est une série de romans fantastiques basée sur les vampires. L’histoire principale suit les aventures de Zoey Redbird, une jeune fille de seize ans, marquée au beau milieu de son lycée, l’obligeant à quitter ses ami(e)s et sa famille, pour commencer un nouveau cursus de la Maison de la Nuit de Tulsa. Elle devient donc novice, ce qui correspond à la première étape avant celle du vampire accompli.

    La 4e :

    « 1830. Après avoir été désavoué par son père et Marqué par un Traqueur, Bryan Lankford quitte Londres pour les Amériques. Désormais baptisé Dragon, le novice devient maître d’armes à la Maison de la Nuit de Tower Grove. Mais alors qu’il développe un amour interdit pour Anastasia, le nouveau professeur de Charmes et Rituels, voilà qu’une terrible menace s’abat sur la Maison de la Nuit. Face à ce danger, Dragon doit choisir : faire confiance à ses sentiments pour Anastasia ou céder à ses instincts de combattant… »

    Dragon est un personnage de la série que j’ai fortement apprécié. C’est pourquoi le premier dérivé de la série La Maison de la Nuit que j’ai choisi de lire s’est porté sur lui. Et de découvrir comment la relation entre Dragon et Anastasia s’est construite est touchante. Je ne suis pas déçue par cette lecture ; cela m’incitera peut-être à en lire d’autres, qui sait ?

    Et vous, l’avez-vous lu ?

  • Nés à minuit Tome 1 : Attirances, de C. C. Hunter
    Image par Randy Rodriguez de Pixabay

    Hop hop hop, j’écris ! J’ai mis plusieurs jours à le lire, c’est vrai, je l’avoue. Mais j’en suis heureuse tout de même. Ça m’a fait remonter des souvenirs enfouis depuis des années. Je vous le jure, c’était… revigorant.

    Et c’est parti pour la 4e, on est chaud :

    « L’été s’annonce mouvementé pour Kylie. Après un enchaînement de catastrophes, ses parents l’envoient dans un centre pour adolescents marginaux. Ou plutôt hors du commun : ici cohabitent sorciers et autres créatures de la nuit.

    Aidée de ses nouveaux amis, la jeune fille tente e découvrir sa vraie nature. Mais sa quête est perturbée par l’arrivée de Derek et Lucas, qui semblent tous deux déterminés à la séduire. Prisonnière de dangereuses attirances, Kylie saura -t-elle trouver sa place dans ce nouveau monde ? »

    Je l’avais déjà lu il y a quelques années et je l’avais dévoré il me semble. Aujourd’hui, je remarque le comportement exécrable de Kylie, la façon de dénigrer sa mère sans savoir, d’idéaliser son père sans savoir non plus. En vérité, j’ai fait les mêmes erreurs qu’elle, c’est peut-être aussi pour cette raison que Kylie me sort par les yeux sur 90 % du livre. Heureusement, elle se calme sur les 40 dernières pages.

    Passé 20 ans, je ne conseille plus ce livre, à la limite, lisez le résumé sur Internet, ça suffira. Pour ma part je vais continuer de relire les autres tomes. Je ne peux pas m’en empêcher, ça me rend nostalgique !

    Ah ! Et… L’histoire entre elle, Lucas et Derek, le triangle amoureux… J’ai l’impression de faire pareil et ça ne me plaît pas du tout ! C’est vrai, j’ai ressenti des sentiments très forts pour un garçon, qui se sont révélés d’une non-réciprocité, et il y a un autre garçon, je sais (enfin maintenant : je pense) être intéressé par moi et, j’aimerais bien ressentir la même chose pour lui mais, on sait tous que ça ne marche pas comme ça. Je veux trouver mon soleil, c’est trop demander ?

    Bref, il me semble que cet article sortira très tard, genre… en 2023. Espérant qu’il y ait encore un monde, sinon… Je l’aurais écrit pour rien. Bisous à tous !

  • Monster Allergy tome 5 « Le tuteur étoilé »

    Bonjour, bonjour ! Je viens de relire le tome 5 avec beaucoup de plaisirs. 45 pages ce n’est pas très long, mais ça me met toujours de très bonne humeur de lire Monster Allergy. Une série de bandes dessinées que j’ai commencée quand j’étais assez petite. Le cinquième tome est quand même sorti en 2004 ! Ce n’est pas rien. Ils ont fait partie de mes cadeaux de Noël 😁.

    Dans ce tome-ci, Zick et Elena recherche toujours Barbaruffa, le fantôme noir arrivé récemment dans la ville de Bibbur-Si – ou Bigburg. S’agissant d’un pirate, il écume les eaux environnantes. Peut-être cherche-t-il son casse-croûte 🙄 ?

    Je vous donne un extrait de dialogue que j’apprécie tout particulièrement : « les fantômes ne sont pas des monstres ! Ils appartiennent à l’espèce humaine ! […] Ces damnés sont tourmentés par le désir de revenir à la vie et, pour obtenir ce qu’ils veulent… […] Ils sucent leur substance pour reprendre forme corporelle… mais lorsque le spectre a digéré le monstre, il redevient inconsistant, plus noir et stupide qu’avant ! Il s’éloigne de la purification et finit par se confondre avec l’obscurité. Il n’est plus ni fantôme, ni homme, mais juste un feu obscur ! »

    Et bien sûr la 4e :

    « Un spectre noir affamé est revenu à Odmill Village !

    Peut-être se cache-t-il dans le repaire oublié des Boucaniers, en quête de souvenirs effacés par le temps ?

    Zick et Elena, entre deux siècles, se lancent à la poursuite du terrible pirate Barbaruffa et croisent sur leur chemin de nouveaux monstres et de vieux amis inattendus. »

    En vous souhaitant un très grand week-end les ami(e)s ☺️.

  • Éternels Tome 6 « Pour toujours »
    Image par Mircea Ploscar de Pixabay

    Hello ! Ouh là, nous sommes le 29 décembre ! Bientôt la nouvelle année, et j’espère un nouvel appartement – parce que j’écris cet article bien avant évidemment, histoire que s’il m’arrive des choses qui m’empêchent de lire ou de planifier l’article, que l’article sorte quand même. Enfin, quand c’est possible…

    Donc pour l’avant-dernier article de cette année, je vous présente le dernier tome d’Éternels. Ça y est, j’ai enfin terminé cette saga, je suis très heureuse, parce que cela veut dire que je peux en commencer une nouvelle. Non c’est faux, j’ai cinquante mille sagas de commencer, mais psychologiquement, c’est une étape de franchie.

    Au cours des précédentes chroniques, je vous ai souvent fait part d’un ennui face à certains personnages des livres. Eh bien, le dernier tome est, et sera, probablement le seul que je relirai un jour. Ever décide enfin à communiquer avec son entourage. Les différents voyages qu’elle effectue la rendent un peu plus sereine chaque fois. À chaque nouvelle épreuve, elle rationalise ; se dit que ce n’est pas la fin, mais le trajet qui la précède. Elle apprend à laisser le libre arbitre à chacun, même si leurs actions laissent à désirer. Et surtout, à ne pas s’oublier soi-même. Donc, de tous les tomes, je vous garantis que c’est celui-là que je relirai. Sortie de nulle part, certes.

    Par contre, je tiens tout de même à souligner que le comportement de Damen me dégoute, du début à la fin. Il a cette prise de pouvoir sur Ever qui me met dans une colère noire. Quelque chose ne lui plaît pas, alors qu’il s’agit d’une chose qui ne la regarde qu’elle, il va faire culpabiliser celle qui l’aime réciproquement. Sans demander pardon par la suite, sans compréhension : seulement des sentiments négatifs. La pauvre, Ever se retrouve déchirée de part et d’autre entre l’amour et la vie. Personne ne devrait choisir entre ces deux miracles.

    Vivre toute une vie et les suivantes avec une personne que j’aime, je le désire énormément. Et j’ai très peur en même temps. Je trouve qu’une seule vie est trop éphémère. Et comment être sûr qu’on se retrouvera après. S’il faut, nos chemins ne se recroiseront jamais. C’est pourquoi les choix de Damen dans le livre sont très compréhensifs. Mais il n’empêche que son comportement est exécrable.

    Je vous mets le résumé au cas où :

    « Enfin libérés de leurs ennemis, Ever et Damen se lancent dans une ultime quête : trouver l’élixir qui leur permettrait d’accéder à l’avenir radieux auquel ils aspirent depuis toujours. Mais leurs recherches vont les mener au cœur de l’Été perpétuel, dans un marais sinistre et hostile qui les confronte aux fantômes de leur passé.

    C’est dans ce lieu qu’Ever et Damen découvrent les origines de leur passion et la raison de leur lien si profond : une histoire tragique qu’ils n’auraient jamais pu imaginer… »

    Bon sur ce, je vous souhaite de bonnes vacances, et tout le bonheur du monde, avec l’amour et la vie (pas nécessairement dans cet ordre). Bisous !

  • Night World Tome 6 « Âmes sœurs »
    Image par Stafford GREEN de Pixabay

    Bonjour, bonjour !

    Ça y est ! Noël arrive à grands pas ! Avez-vous prévu quelque chose en particulier ? Fêtez-le vous en famille ou entre ami(e)s ? Allez-vous rester au chaud ou un voyage vous attend ? Pour ma part, le jour où sortira cet article, il ne me restera que 3 heures avant que je ne sois en congé. Croyez-moi, il me tarde !

    Aujourd’hui, je continue avec la saga Night World. Une jeune femme prénommée Hannah qui n’arrête pas de se réincarner depuis des millénaires, et un vampire qui erre sur terre depuis sa première vie à elle. Encore un vampire, certes. Mais celui-là, bien qu’un personnage-phare de ce livre, n’est pas au cœur de l’histoire cette fois. Au contraire, nous suivons surtout la vie d’Hannah, mais aussi celle d’une personne dont l’histoire traverse tous les tomes. À chaque fois, l’on fait mention de cette personne affreuse et de ses envies malsaines.

    La 4:

    « Hannah, seize ans, pense qu’elle est folle. Des notes écrites de sa main la prévenant d’un danger imminent l’entourent : « Morte avant dix-sept ans », « Il arrive » ou encore « Prends garde ». Pourtant, elle ne se souvient pas de les avoir rédigées. C’est grâce à l’hypnose que leur signification lui est enfin révélée : Hannah est une âme ancienne, qui a déjà connu de nombreuses réincarnations. Elle revit alors sa rencontre avec Thierry, le tout premier vampire… qui est son âme sœur. Aujourd’hui maître du Cercle de l’Aube, il tente désespérément de la retrouver.

    Mais pourquoi Hannah a-t-elle disparu avant ses dix-sept ans au cours de ses milliers de vies antérieures ? Maya, un vampire aux intentions malfaisantes, aurait-elle lancé cette malédiction pour séparer à jamais ces âmes sœurs ? Et si la mort prématurée d’Hannah est son destin, le maître du Cercle sera-t-il, cette fois-ci, assez fort pour sauver celle qu’il aime ? »

    Je dois bien admettre que je ne me rappelais pas du tout l’histoire de ce livre. Et vous voulez que je vous dise ? Je ne pense pas m’en souvenir non plus. Mon écriture, ma chronique me trahit comme vous le voyez, mais ce livre ne m’a pas transcendée. Je ne l’ai pas beaucoup apprécié par rapport aux autres… C’est pourquoi je vais m’arrêter là pour aujourd’hui.

    Je tiens à vous faire savoir que je suis malade, d’où le fait que cette chronique n’ait rien d’extraordinaire, j’en suis désolée. À la semaine prochaine ! Ou peut-être avant, qui sait ?

  • Princesse Sakura, Partie 3

    by me.

    AAAAAAAHHH ! Voilà ce que mon cerveau daigne me donner en ce moment. Je viens de terminer la saga Princesse Sakura, et je suis incroyablement surprise. Comme je vous l’ai dit auparavant, j’avais déjà lu les 5 premiers tomes. Mais comme il me manquait la suite, j’ai abandonné la série, et l’ai mise dans l’oubli. Jusqu’à ce que je me décide à compléter ma collection. Quelle ne fût pas ma joie, quand j’ai enfin pu la continuer, tout en sachant que je n’aurais pas à attendre pour le tome suivant.

    Donc, c’est ici que nous mènent ces derniers tomes. Hayate se révèle ; Rurijo se découvre, et Asagiri s’accomplit. La princesse quant à elle, m’apporte beaucoup. Tout son chemin parcouru m’incite à faire plus. À aller au-delà de ce qu’il est capable d’être fait. Princesse Sakura est pour moi un énorme coup de cœur. Il s’agit d’un Shojo que je trouve excellent.


    Comme cette série a été publiée il y a longtemps, je me demande : la connaissez-vous ? L’avez-vous lu ? Avez-vous eu les larmes aux yeux, tout comme moi, sur les derniers chapitres ? Si vous aimez les histoires qui se passent à l’époque Heian (794 – 1185) au japon, la magie, et les histoires d’amour, alors vous serez servis !

  • Le pays des autres, de Leïla Slimani
    Image par Bernd Hildebrandt de Pixabay

    Bonjour ! Qu’il fait froid en ce moment. Je me suis achetée de très bons gants le 3 décembre et ils me sauvent la vie… enfin mes mains en tout cas.

    Je viens de terminer un livre exceptionnel. Un livre qui avait intégré ma bibliothèque il y de ça un bout de temps. J’en avais parlé à mes parents qui m’avaient répondu dans l’instant et avec vivacité, que cette autrice était passée dans l’émission La grande librairie. Je ne me suis décidée à le lire seulement maintenant. Mais quelle beauté cet ouvrage. L’histoire se passe au Maroc pendant l’après-guerre de 1945 à 1956, au moment où la guerre entre les indigènes et les colons s’intensifie. Les marocains veulent reprendre leur terre, leur indépendance. Mais aussi leur façon de vivre et leur croyance – mélangée à l’époque avec la chrétienté. Toute cette époque, ils l’ont vue comme une prison. Les marocains avaient été envoyés pour aider la France pendant la guerre. Parce que la main-d’œuvre là-bas ne coûtait, et ne valait rien. Leur vie était à la merci des français. Alors la haine que les marocains portaient aux français n’était que justice. Le problème, c’est qu’au moment où une guerre éclate, il n’existe ni bons, ni mauvais, ni coupables, ni victimes, seulement des champs parsemés de cadavres.

    Dans ce livre, la guerre est agrémentée de la vie quotidienne. De cette vie que les femmes subissent et de la pression de cette société sur les hommes. Les femmes elles, ne sont ni plus ni moins qu’un outil ; un défouloir pour la société musulmane. Si une femme n’est pas « corrigée », alors le mari qui habite sa maison n’est pas un homme. Les bleus des coups qu’elles prennent, ne sont que la face visible de l’iceberg. La seule chose qu’elles peuvent réellement montrer.

    Ce roman est bouleversant. Je n’ai pas pleuré en le lisant comme je peux le faire avec plein d’ouvrages. Mais celui-là me restera en tête éternellement .Parce que les douleurs de ces personnages semblent plus réelles que nature. Et on ne peut oublier la douleur, pas celle-ci.

    Sur ces paroles, je vous laisse et vous souhaite une bonne fin de semaine, voire de bonnes vacances pour certains !

    Je mets le résumé, mais je pense l’avoir assez bien vendu, n’est-ce-pas ?

    « « “Ici, c’est comme ça.” Cette phrase, elle l’entendrait souvent. À cet instant précis, elle comprit qu’elle était une étrangère, une femme, une épouse, un être à la merci des autres. » En 1944, Mathilde tombe amoureuse d’Amine, un Marocain venu combattre dans l’armée française. Rêvant de quitter son Alsace natale, la jeune femme s’installe avec lui à Meknès pour y fonder une famille. Mais les désillusions s’accumulent : le manque d’argent, le racisme et les humiliations fragilisent leur couple. Dans ce pays ambivalent, qui réclame une indépendance que les hommes refusent pourtant aux femmes, Mathilde réussira-t-elle à poursuivre sa quête de liberté sans heurter ceux qu’elle aime ? »

  • Un obscur désir, d’Anna Vivi
    Image par saving up for a new camera 📸 i will be glad to donate💲 de Pixabay

    Le résumé :

    « En pénétrant pour la première fois dans Nécropolis, la ville où elle vient enquêter sur la mort mystérieuse d’une humaine, Ève Grant est envahie par un mélange de curiosité et d’appréhension. C’est donc ici que cohabitent, à l’écart des humains, les peuples de l’ombre : vampires, loups-garous et autres sorciers. Et c’est avec cet homme, Caine Valorian, vampire aux yeux de glace, qu’elle va devoir collaborer…

    Mais au lieu de la crainte qu’elle devrait éprouver en sa présence, c’est une étrange fascination qu’Ève, désemparée, ressent vis-à-vis de Caine. Une attirance contre laquelle elle doit à tout prix lutter, car les règles de leurs deux mondes sont strictes : pas question pour un humaine de tomber amoureuse d’un vampire. »

    Voici un livre que j’ai lu différemment des autres ! Dans le sens où, quand je terminais un livre, je lisais deux ou trois chapitres de ce livre, et je replongeais dans un autre livre par la suite, et ainsi de suite… Jusqu’à la cent-dixième page à peu près.

    Après ça, je l’ai dévoré entièrement ! Disons que ce n’était pas une mauvaise chose de mettre quelques jours entre les pages. C’est comme si j’avais vu leur amour se concrétiser petit à petit. C’était adorable. Certes, c’est l’histoire d’un vampire qui tombe amoureux d’une humaine, etc. Mais ils sont policiers ! Je vous jure que je suis accro aux histoires fantastiques où se mêlent meurtres et enquêtes. Entre Anita Blake, Charley Davidson, et maintenant ça, je suis servie !

    Ce que j’ai particulièrement aimé dans ce livre, c’est l’ambiance de la ville. Le fait que les créatures fantastiques soient recluses dans une ville fermée, entourée de populations humaines. Et puis, comme je l’ai dit plus haut, je suis une adepte des enquêtes policières. Je serais bien tentée de lire un autre tome, pour avoir un approfondissement des autres personnages du livre. À voir !

    Je dirais que c’est un roman de train. Pas extraordinaire, mais pas déplaisant ; il fait passer le temps. J’ai acheté le tome 2 🤭

  • L’oiseau de Kainis

    Nous voici avec l’histoire de Léa, une amoureuse des lettres, qui vit – au début du XIXe siècle – dans une société qui dénigre (sans forcément penser à mal) le cerveau du sexe féminin. L’esprit d’une femme n’est pas apte à comprendre plus qu’un livre pour enfants. La femme n’est pas capable de capter les nuances des plumes des plus grands écrivains. Dans notre monde, Balzac, Victor Hugo, ou encore Alphonse Daudet, sont bien trop complexes et travaillés pour nos esprits trop « simples ». Voilà comment sont vues les femmes dans ce manga.

    Honnêtement, je n’ai pas grandement accroché à Léa. Le fait de se travestir pour imposer et divulguer ses écrits ne me plaît pas des masses. Je lis beaucoup de Webtoons où le personnage principal change de corps (littéralement). Les premiers ont été extras ! Mais, au fur-et-à-mesure, on se lasse de ce genre d’histoire. J’aimerais des protagonistes capables de s’élever par eux-mêmes, d’avoir du caractère. Ce que je n’ai pas encore trouvé dans ce tome-là.


    À voir ! J’irai lire le tome deux, j’aviserai ensuite 😊.

  • Night World Tome 5 « L’Élue », de L.J Smith

    Image par David Mark de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! L’Élue est le 5e tome de cette série (ça y est j’ai dépassé la moitié !). Nous avons le point de Rashel Le Chat, la chasseuse de vampires à avoir perdu sa mère et son frère sous les crocs d’un de ceux-là ; et Quinn, le vampire intransigeant envers la race humaine depuis le tout premier tome.

    Quinn est le personnage de cette série à m’avoir fait fantasmer. L’homme fort, mais qui cache peut-être une grande tendresse ! Donc je suis heureuse d’avoir eu son Night World à lui…

    Pour ce qui est de l’histoire, on retrouve au fil des livres le Cercle de l’Aube. Pour les sorcières du Night World, elles ont deux cercles dans lesquels elles se retrouvent : Le Cercle de Minuit, et le Cercle du Crépuscule. Le Cercle de l’Aube a été recréé par les personnes ayant trouvé leur âme sœur, souvent entre créatures du Night World et êtres humains.

    La 4:

    « Rashel n’a qu’une obsession : venger sa mère et son frère tués par des vampires alors qu’elle n’avait que cinq ans. Depuis lors, elle hante les ruelles sombres et les entrepôts déserts du port de Boston à leur recherche. Armée d’un pieu de bois, de sa maîtrise des arts martiaux et de sa volonté si puissante qu’elle résiste à tous les envoutements, elle tue les membres du Night World un par un. Avec ses cheveux noirs et ses yeux verts, elle est aussi dangereuse que belle.

    Un jour, alors qu’elle enquête sur la disparition d’une jeune fille, Rashel découvre une porte secrète qui mène à un territoire méconnu des humains : celui où les créatures de la nuit les gardent en esclavage. Quinn en est le gardien. C’est lui qui décide qui peut la franchir. Quand Rashel regarde dans ses yeux, elle ressent un trouble qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Mais elle devine aussi qui il est vraiment : celui qu’elle a toujours voulu détruire. »

    Certaines scènes m’ont dérangée, surtout avec Timmy. Seules les personnes à l’avoir lu comprendront je pense. Le viol et la pédophilie font partie du livre. D’une façon nuancée afin que cela ne choque pas, mais ça m’a mis vraiment mal à l’aise…

    Sur ces paroles, je vous laisse. Je vais continuer mes lectures qui ne se comptent même plus… Bisous !

  • Éternels Tome 5 « Une étoile dans la nuit », d’Alyson Noël
    Image par Gerd Altmann de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! En vérifiant le calendrier des sorties de chroniques, celui-ci sortira le 24 novembre ! Je me doute qu’il fera froid, mais au moins, noël approche ☺️.

    Aujourd’hui, je continue avec le tome 3 d’Éternels, que je trouve fortement meilleur que les précédents.

    La 4:

    « Maîtrisant à présent ses nouveaux pouvoirs d’immortelle, Haven est prête à tout pour venger la mort de Roman, le garçon dont elle était éperdument amoureuse. Tenant Ever pour unique responsable, elle va tenter de briser par tous les moyens le lien éternel qui l’unit à Damen.

    Ever devra alors faire face à une cruelle révélation, et pire, affronter la plus terrible des adversaires : Haven, la personne qui la connaît le mieux au monde. Puisant dans ses dernières ressources pour surmonter cette nouvelle épreuve, elle découvre des pouvoirs qu’elle ignorait posséder… Mais la survie de son couple mérite-t-elle de plonger son ancienne amie dans les ténèbres ? Au cœur de la tourmente, Ever saura-t-elle rester fidèle à ceux qui lui sont le plus cher ? »

    Enfin ! Nous rencontrons des mystères engendrés par notre chère Ever, et non des jalousies et des je-ne-t’écoute-pas qui ne volent pas plus haut qu’un enfant de maternelle.

    Pour ma part je n’ai véritablement apprécié l’ouvrage qu’à la moitié, mais il y a du mieux ! Ever va se poser les bonnes questions par rapport à ses sentiments. Pourquoi cette attirance inexplicable pour Jude alors que son amour pour Damen reste inconditionnel, malgré ses interrogations ? Et surtout, elle va ouvrir les yeux sur son entourage, et perdre en naïveté – ce qui ne lui fait pas de mal !

    De plus, Sabine – la tante d’Ever – ne veut toujours pas ouvrir son esprit à la possibilité qu’il existe en ce bas monde plus de choses que l’on ne veut bien croire. Elle m’insupporte à un point qu’il m’est difficile de lire une scène avec ce personnage. Ne me souvenant pas comment cela se termine, il me tarde toutefois de lire le tout dernier tome de la saga.

    C’est pourquoi je vous laisse, et vous souhaite une bonne fin de semaine ! Bisous !

  • Princesse Sakura Partie 2 (Tome 5 à 8)
    by me

    Bonjour ! Est-ce-que vous connaissez Princesse Sakura ? J’en avais déjà parlé une première fois, avec les quatre premiers tomes. Cette série est beaucoup trop mignonne ! J’aime beaucoup la princesse, qui est très enfantine dans sa façon de voir le monde extérieur. Et c’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles ses ami(e)s l’adorent, mais c’est aussi pour cela qu’elle se fait embobiner par le reste du monde…

    Dans le 8e tome, Sakura rencontre la Princesse Yuri qui se fait passer pour son amie. Venant d’une famille noble, et ayant le même âge que la Princesse Sakura, je n’ai pas l’impression qu’elle sache véritablement dans quoi elle s’engage. De son côté, ça fait plus une chamaillerie entre adolescentes que comme un enjeu politique, contrairement aux désirs de son père et de l’Empereur. C’est l’impression que j’ai, mais je peux me tromper.

    Je n’ai pas grand-chose à vous dire de plus, si ce n’est qu’Asagiri (femme des neiges) est sempiternellement mon personnage préféré de la série. Il n’y a pas photo !

    Je vous fais des bisous ! À la prochaine fois !

  • Chroniques de Bonfire, Tome 1 « Faustine », D’imogen Rose

    Image par Okan Caliskan de Pixabay

    Bonjour ! Comment allez-vous ? Est-ce-que quelqu’un connaît les Chroniques de Bonfire ? Parce que j’avais lu le tome 1 d’Académie Bonfire, qui est une série dans le même univers que Faustine, Et je me suis dit, qu’avant de le relire, j’allais peut-être lire Faustine avant. À ce que j’ai compris, celui-ci se passe avant l’histoire qui se déroule dans l’académie, mais je n’en suis pas certaine… Vérification faite : C’est faux, Faustine devrait se lire après. 😂

    « À cinq ans, Faustine Spencer découvrit un secret qui changea sa vie pour toujours. Quand elle eut douze ans, ses parents l’envoyèrent à l’Académie Bonfire en Suisse pour s’assurer qu’elle reçoive la formation nécessaire pour contrôler ses pouvoirs grandissants.

    Trois ans plus tard, Faustine revient à Manhattan. Tout ce qu’elle souhaite, c’est être une adolescente normale, du moins, une ado appartenant au groupe populaire du lycée de l’Upper East Side. Lorsque Ryker, un garçon beau à en crever pour qui elle a le béguin depuis l’Académie, la remarque enfin, elle est plus heureuse que jamais.

    Toutefois, son désir de mener une vie normale se brise lorsque son père, un souverain important, disparaît après l’avoir nommée comme son successeur. Ses frères et sœurs commencent à disparaître et Faustine se retrouve au milieu d’une lutte pour le pouvoir. Sa vie est en danger et Faustine doit apprendre à suivre l’une des règles les plus importantes de l’Académie Bonfire: Ne faire confiance à personne. »

    L’Académie est une école pour les êtres paranormaux. Celle-ci est composée de trois règles d’or à respecter. D’abord, ne pas parler de l’académie ; deuxièmement, ne faire confiance à personne ; et dernièrement, ne jamais manquer un repas !. Donc là nous sommes à New-York. Faustine est la Princesse démon de Londres. Aidée par ses ami(e)s, elle va devoir élucider qui est ou sont derrière(s) les meurtres et les enlèvements de personnes. D’abord de la famille, puis ensuite, de la simple vermine telle que des humains. Faustine – sortant à peine de l’Académie aux trois règles d’or – ne pense qu’à une chose : Passer du temps avec la personne dont elle est amoureuse. Quoi de plus normal à son âge. Je ne vais pas vous en dire plus, vous avez déjà eu pas mal d’informations dessus. Ce serait bête de vous spoiler plus qu’il n’en faut !

    Je vous souhaite une bonne fin de semaine ! Bisous !

  • Night World Tome 4 « Ange noir », de L. J. Smith

    Image par Наталья Коллегова de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Que faites-vous ce week-end ? Vous avez prévu de partir en vacances ? Pour ma part je ne sais pas encore à l’heure où j’écris : soit je serai à Besançon à me prélasser en compagnie de mes lectures ; ou alors je serai à Mèze, avec pour seule compagnie ma sueur en échange de mes poumons…

    En attendant, je vous présente la suite de la saga Night World (toujours de la relecture). Auparavant, ce quatrième tome ne me laissait pas un goût en bouche incroyable. Et il me semble bien qu’il s’agissait du moins bon de la série. Aujourd’hui, je suis toujours persuadée que le moins prenant et attachant est le premier. L’histoire était bien trop banale pour égayer mes sens.

    La petite 4e avant d’enchaîner :

    « Un soir d’hiver, Gillian trouve la mort dans une forêt. Heureusement, un inconnu nommé Angel est là pour la ramener à la vie. Cet être éthéré aux cheveux dorés et aux yeux violets l’intrigue profondément. Alors que Gillian retourne dans le monde des vivants, ce nouvel ange gardien décide de l’accompagner. Il devient son protecteur invisible qu’elle seule peut voir, et lui murmure à l’oreille les règles de conduite pour qu’elle soit la reine du lycée. En quelques jours, elle a tout l’établissement à ses pieds, et David, le garçon qu’elle aime depuis toujours, la remarque enfin !

    Mais les demandes d’Angel se font de plus en plus étranges… Et bien qu’elle décide de ne plus y répondre, celui-ci ne la laisse pas en paix. Elle doit alors se poser la terrifiante question : qui est cet ange et que lui veut-il vraiment ? »

    C’est pourquoi j’ai été surprise tout au long de l’ouvrage, me sentant septique par le souvenir que celui-ci m’avait laissé. J’ai bien aimé l’histoire. Les personnages sont sympas, intelligents, et plusieurs personnages secondaires paraissent désintéressés par la prise de pouvoir (au sein du lycée par exemple). Et ça fait beaucoup de bien de mettre en avant ces personnes-là, bien que les harceleurs ne soient toujours pas loin…

    (SPOIL) Cependant, j’aimerais savoir ce que vous en avez pensé de ce tome-là en particulier. Parce que je dois bien avouer, qu’il m’a mise mal à l’aise sur certains passages. L’obsession et la manipulation dont fait preuve Angel à l’égard de Gillian sont véritablement malsaines. Donc, à certains moments, j’ai ressenti ce sentiment, et j’aimerais bien savoir si vous l’aviez ressenti ou non ?

    En attendant la suite, je vous souhaite un très bon week-end, et à la semaine prochaine pour la chronique d’Inconnu à cette adresse, un livre porté une correspondance entre deux amis : un juif tenant une boutique d’art aux États-Unis, et un allemand en plein désarroi, cherchant simplement à sauver sa vie, et à protéger sa famille. Bisous !

  • Blue Exorcist Partie 2

    geekgeneration.fr

    Ah ! Que de nouvelles missions pour nos ami(e)s ! Ce que j’en retiens de plus flagrant, c’est qu’ils s’aiment tous plus ou moins fort, mais qu’ils font semblant du contraire. C’est quoi ça, de l’égo ou de l’enfantillage sérieusement ? Je ne dis pas ça négativement. J’espère simplement que cela ne sera pas ça tout le long…

    Alors, que je récapitule la série : Blue Exorcist est un shonen écrit par Kazue Kato. Nous avons deux mondes : celui des démons que l’on appelle la Géhenne, et celui des humains que l’on nomme Assiah. Rin Okumura – le jumeau de Yukio, et fils de Satan – veut devenir exorciste pour prouver sa valeur aux yeux des humains. Son but à lui est de détruire Satan, son père, afin que la peur disparaisse de cette planète. Seulement, comme étant lui-même à moitié démon, il devra cacher ses pouvoirs démoniaques à ses ami(e)s.

    J’en suis actuellement au tome 10, et il faut donc attendre pour que je puisse avoir la suite – qui soit-dit-en-passant est déjà sortie, mais mon argent lui, n’est pas près de sortir… J’aime toujours autant cette série, c’est évident. Elle a bercé mon adolescence donc elle restera (comme beaucoup d’autres) toujours dans mon cœur.

    Dites-moi ce que vous en pensez de ce manga. Le connaissez-vous ? L’aimez-vous ? Et si tel n’est pas le cas, pourquoi ? Je veux tout savoir !

  • L’Empire des Anges, de Bernard Weber

    Image par Luminas Art de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Je vous parle dans le futur : j’ai écrit cette chronique hier soir. J’avais prévu de lire En compagnie de Mrs Dalloway, de Virginia Wolf, mais il se trouve que je ne l’ai pas lu à temps. C’est pourquoi je mets, à la place, L’empire des anges que je viens tout juste de terminer.

    Bernard Weber est connu pour ses livres sur les fourmis. En toute honnêteté, je n’en ai pas lu un seul, et ne sais pas si je le ferai un jour. Attendons d’écouler un petit peu notre PAL (pile à lire) d’origine, avant d’en acheter des nouveaux… Mais l’occasion est si tentante tout de même !

    La 4:

    « Que pensent les anges de nous ? Que peuvent-ils faire pour nous aider ? Qu’attendent-ils de l’humanité en général ?

    Lorsque Michael Pinson (stupidement tué dans un accident d’avion) a passé avec succès l’épreuve de la « pesée des âmes », il a accédé au royaume des anges. Mais, passé le premier émerveillement, il découvre l’ampleur de la tâche.

    Le voilà chargé de trois mortels, qu’il devra désormais guider et aider tout au long de leur vie. Ses moyens d’action : les rêves, les signes, les médiums, les intuitions, les chats. Que faire pour leur montrer la voie du bonheur ?

    Et puis comment s’occuper intelligemment au Paradis, un endroit bien sympathique mais sans cinéma, sans musique, sans restaurant ?

    Après Les Thanatonautes, Bernard Werber nous donne une fois de plus à réfléchir sur notre statut d’être humain, en mélangeant sagesse ancienne, philosophie moderne et humour. »

    J’ai été surprise du plaisir avec lequel j’ai lu ce livre. Dès qu’il m’était possible d’avoir un moment calme, je me ruais dessus en me demandant quels allaient être les prochains bouleversements. À travers cette histoire, j’ai pu approfondir ma culture dans de nombreux domaines. Saviez-vous que ce n’était pas Christophe Colomb qui a découvert l’Amérique ? Certes, il a fait partie du voyage. Mais le terme « Amérique », vient en fait d’Amerigo Vesupucci. Le navigateur de Christophe Colomb, qui lui a mâché le travail et qui lui a fait comprendre qu’en vérité, ce n’était pas l’autre côté de l’Asie, mais un autre continent. Le seul problème d’Amerigo à ne pas être entré dans l’histoire vint du fait qu’il n’avait pas, en sa possession, de scribe personnel. À l’inverse de Christophe Colomb, qui lui, en avait les moyens.

    Outre les faits historiques, Bernard Weber nous parle de la théorie de 4 x 7. Tous les sept ans, une évolution se fait chez l’homme. Je ne serais plus vous dire exactement ce qu’il nous dit, mais je porte une attention particulière à ces informations qui peuplent le roman en fonction de comment l’histoire se développe.

    Je m’arrête ici, j’ai déjà l’impression d’avoir bien trop écrit pour une chronique. Je vous souhaite une très bonne semaine, à plus tard !

  • Inconnu à cette adresse, de Taylor Kressmann
    https://boojum.fr/inconnu-a-cette-adresse-ce-petit-roman-oublie-devenu-un-classique

    Bonjour à tous. J’espère que vous allez bien cette semaine. En ce qui me concerne, je pense que ça le sera. A contrario, le livre que je vous présente aujourd’hui s’éloigne profondément de toute gaieté.

    Il s’agit d’un récit épistolaire entre Martin, un Allemand revenu dans son pays, quittant l’Amérique, où il y reste Max, juif. Tous deux tenaient en Californie une galerie d’art. Ceci se passe dans les années 33 et 34. Si cela est un sujet sensible pour vous, je vous conseille de passer le chemin de ce livre, apportant amertume, navrance, et colère.

    Dans ce récit, nous avons le point de vue des deux parties. Celui de Martin, qui se remplit de fierté petit à petit pour leur dirigeant (je ne peux dire son nom, mais on le connait tous – mon dieu en fait, c’est Voldemort 😱), mais en même temps est transi de peur par les lettres envoyées par son ami.

    Et de l’autre, nous avons Max, celui qui se retrouve indigné du comportement de Martin par rapport à l’injustice que subissent les juifs. Celui qui perd sa sœur, littéralement donnée en pâture par son ami de toujours.

    Que ce soit d’un côté ou de l’autre, leur comportement mutuel révolte et pourtant, je ne peux évidemment pas rejeter la faute sur qui que ce soit. L’un se sentait sauvé, l’autre bafoué.

    Je vous mets tout de même le résumé ici, mais ce livre m’a vraiment retourné. Heureusement qu’il est court.

    « Martin Schulse, Allemand et Max Eisenstein, juif Américain, sont deux galeristes associés, aux Etats-Unis. Ils sont surtout deux amis fervents, deux frères. Malgré l’installation de Martin à Munich, ils poursuivent leur amitié à travers des lettres chaleureuses, passionnées. En juillet 1933 pourtant, les doutes et le malaise de Martin face aux remous du gouvernement allemand font vite place à un antisémitisme que ne tempère plus la moindre trace d’affection. D’une cruauté imparable, sa décision tombe comme une sentence : « Ici en Allemagne, un de ces hommes d’action énergiques, essentiels, est sorti du rang. Et je me rallie à lui. » Max ne peut se résoudre à une telle révolution, sentimentale et politique. »

    L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

  • Complots à Versailles Tome 1

    Voici une BD que je me suis procurée pendant les 48h de la BD ! C’est-à-dire, une BD qui ne m’a coûté que 2€, donc je ne crache pas dessus.

    La 4:

    « 1676. Cécile ne cesse de critiquer les nobles. Mais le jour où elle est convoquée, avec son amie Pauline, à la Cour du roi Louis XIV pour y être demoiselle de la reine, tout change.

    « Ah! vous, les nobles… » Cécile n’a que ce mot à la bouche. Pauline, son amie d’enfance, trouve cela d’autant plus agaçant qu’elle-même est noble. Jusqu’au jour où, nommée demoiselle de la reine, Pauline fait son entrée à la Cour, au château de Versailles. Effarant ! Tous ces nobles rampant devant Louis XIV, manœuvrant à qui mieux mieux, prêts à s’étriper pour les meilleures places… Un véritable tourbillon d’intrigues et de complots qui emporte à leur tour Pauline et Cécile. Mais les deux amies sont bien décidées à ne pas se laisser faire, surtout si elles risquent d’en être les victimes… »

    J’ai lu cette bande dessinée avec beaucoup d’impatience. Vous savez, cette impression que vous allez l’aimer, donc vous attendez le bon moment pour le lire. L’esprit tranquille, le travail fait, etc. Eh bien, j’ai adoré ce premier tome ! Le travail des illustrations est incroyable ! J’ai beaucoup aimé cet effet un peu enfantin dans les pensées des personnages. Et évidemment, j’ai un chouchou dont je vous parlerai probablement dans le tome 2.


    Bref, il me tarde de retourner en librairie pour acheter la suite. En attendant, bonne semaine à vous !

    Photo by me
  • Terre des hommes, de Saint-Exupéry
    Image par jplenio de Pixabay

    Enfin ! J’ai lu mon tout premier livre de Saint-Exupéry. Je me garde le petit prince pour plus tard.

    Je suis un peu déçue. J’ai tellement entendu parler de lui que je m’attendais à plus que ça. Je m’attendais à ce qu’il me bouleverse comme tant d’autres. Mais j’ai mis la barre trop haut. De toutes les nouvelles de ce livre, je n’en ai apprécié qu’une seule (heureusement, il s’agissait de la plus longue). Toutes les autres se sont effacées de ma mémoire. Mais voilà, la plume de l’auteur me dérange. Sa façon de partir dans des élucubrations pour au final, ne parler que d’une seule chose, m’exaspère. Peut-être que si je le relisais, j’y comprendrai un peu mieux. Mais la difficulté que j’ai eue pour finir ce livre ne m’en donne malheureusement pas l’envie…

    Bon, mais peut-être puis-je vous parler de cette nouvelle que j’ai tout de même appréciée. Ne me souvenant plus du titre, et étant un livre qui m’a été prêté, je vais vous raconter l’histoire.

    Deux pilotes se retrouvent échoués dans le désert, avec seulement un peu d’eau, une orange, une carcasse d’avion, et de l’espoir mêlé à son contraire. Nous allons suivre leur épopée. Leurs pensées deviendront nôtres, et leur ascension ne deviendra plus que régression. Que feriez-vous dans un désert ? Personnellement, j’irais toujours tout droit, en me basant sur le soleil et la lune. Mais je ne sais pas combien de kilomètres je pourrais parcourir avant de m’écrouler, ni combien de temps, avant de renoncer.

    Malgré la difficulté de sa lecture (pour moi), je tiens à dire qu’il y a de belles morales dans ces histoires. Pas mécontente de l’avoir lu (un classique d’écouler), mais j’espère accrocher plus facilement à d’autres, comme Balzac… J’ai quand même un problème non ? Je trouve Saint-Exupéry exaspérant, mais Balzac je l’épouserais. Si si, il doit y avoir un problème.

    Je vous souhaite une bonne semaine ! Bisous !

  • Éternels Tome 4 « La flamme des ténèbres »
    Image par Gerd Altmann de Pixabay

    Bien ! On continue cette semaine avec le tome 4 d’Éternels, et je dois admettre que lire ce livre quelques chapitres par-ci, quelques chapitres par-là, c’est une très mauvaise idée. C’est d’ailleurs pourquoi je vais très vite enchaîner avec le cinquième tome, comme ça je suis toujours dans l’histoire, et j’ai ENVIE de la lire. Comme je vous l’ai déjà expliqué, j’ai déjà lu cette série de livres au lycée, et une deuxième fois maintenant. Et n’ayant pas la même façon de penser qu’auparavant, ni les mêmes goûts de lecture, celle-ci m’est difficile à terminer.

    Passons ! Je ne vais pas m’éterniser là-dessus voyons.

    La 4:

    « Dès qu’Ever révèle à son amie Haven sa nouvelle condition d’immortelle, celle-ci devient incontrôlable. Obsédée par ses pouvoirs extraordinaires, elle dévoile leurs secrets, mettant en péril leur monde caché, l’Été perpétuel. Ever doit aussi se concentrer sur le sort qui la lie par erreur à son ennemi de toujours, Roman. Elle se plonge dans la magie pour trouver un antidote à l’irrésistible force qui l’éloigne chaque jour un peu plus de son âme sœur Damen. Mais Roman met en œuvre une machination diabolique pour les détruire…

    À deux doigts de baisser la garde, Ever trouvera-t-elle la force de se libérer de la malédiction avant d’être séparée de Damen pour toujours ? »

    On en parle de Jude ? Je ne sais pas du tout ce qui lui passe par la tête mais l’impulsivité ne faisait pas, je pense, partie de la commande. Mais peut-être s’est-elle infiltrée dans le carton d’emballage ? Jude est la personne qui travaille avec Ever à la boutique. Amoureux de cette fille depuis quatre siècles, à travers l’entièreté de ses vies antérieures, il se condamne tout seul à l’exil. Mais de sa faute, l’est-elle vraiment. Ever détient une bonne part de responsabilité dans l’absence de discernement de Jude. Le pauvre… elle lui en fait voir de toutes les couleurs…

    J’ai bien aimé les cinquante dernières pages du livre, où l’action se développait enfin, et où les émotions se chevauchent d’une page à l’autre. Je termine sur ces mots. En vous souhaitant une très bonne fin de semaine à tous et toutes !

  • The Walking Dead, Tome 3 « Sains et saufs »
    Image par Gordon Johnson de Pixabay

    Bonjour ! On commence à rentrer dans une saison orageuse, pas vrai ? J’espère que vous êtes tous bien préparés : tisanes, plaids, bouquins, et le week-end en prévision !

    D’ailleurs je tiens à vous prévenir, je referai un article seulement sur ça, mais je commence un travail à plein temps dans une société fabriquant des transducteurs à ultrasons, que ce soit dans le domaine de l’industrie, ou du médical. C’est pourquoi je risque de diminuer la cadence des articles. Rien n’est sûr, mais je me dois de l’envisager (ma PAL n’est pas prête de diminuer dans ce cas, mais bon…).

    La 4e comme d’habitude :

    « Aux portes de Washington, Rick et ses compagnons intègrent une communauté visiblement épargnée par l’apparition des zombies. Ce retour au calme et à une vie presque normale ne se fait pas sans heurts et révèle au grand jour les difficultés d’adaptation de la troupe de survivants. Après de longs mois passés sur la route, nos héros entrevoient l’espoir de reprendre une vie normale. En sont-ils seulement encore capables ? Une étape décisive ! »

    Alors, Rick et les autres nous avaient emmenés dans une prison laissée à l’abandon, mais infestée de zombies. Sinon, ce n’est pas drôle. Ce tome-ci va donc être concentré sur l’élimination des personnes « récalcitrantes », et les zombies ne seront pas les seuls au programme. Des meurtres, une scène à la Roméo et Juliette, et Rick et sa bande qui continuent de nous faire voyager à travers leurs péripéties. Sincèrement, je leur souhaite de trouver le bon refuge afin qu’ils puissent une bonne fois pour toutes se reposer. Car je trouve que leur karma s’est un peu emballé, non ?

    (SPOIL) Ce n’est pas pour maintenant qu’ils vont avoir la paix…

    Sur ce je vous laisse, et vous souhaite un très bon week-end et un bon mois d’octobre ! Personnellement, je fête demain le 9 du mois : Une date que j’aime vraiment beaucoup 🥰🥳 (et que je fête donc tous les mois 🤭) !

    Bisous tout le monde !

  • Nigth World Tome 3 « Ensorceleuse »
    Image par Gabriela Asterales de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Je viens tout juste de terminer ce livre dont j’en écris la chronique. Par rapport aux précédentes que je vous ai fait découvrir, je comprendrai parfaitement que celle-ci soit en-dessous en termes d’écriture. Mais comprenez bien qu’il en faut pour tous les goûts. 😊

    La 4e :

    « Blaise a tous les garçons à ses pieds. Sa beauté sombre et incandescente inspire l’envie et la jalousie. Cette cruelle sorcière semble être née pour réduire la gent masculine en esclavage. Alors qu’elle recherche une nouvelle victime à ajouter à son palmarès, elle rencontre Eric Ross. Cet athlète est la proie parfaite. Mais sa cousine Thea qui comprend ses plans machiavéliques la prévient : « Pas touche ! » Or la magie noire de Blaise est puissante. Le seul moyen pour Thea de riposter est d’utiliser sa magie blanche pour ensorceler Eric en premier. Elle se retrouve vite attirée par lui, ressentant des émotions interdites par les lois du Night World : en aucun cas elle ne doit tomber amoureuse d’un humain. Alors qu’arrive Halloween et la nuit des sorcières, Thea pourra-t-elle sauver Eric et elle-même de la vengeance de Blaise ? »

    Si je devais noter ces trois premiers tomes, je dédierais un 8/20 au premier, un 12 pour le deuxième, et un 11.5 pour celui-ci. Je ne dis pas cela pour dénigrer cette série attention, ces livres font partie de ceux qui m’ont bercée pendant ma période lycéenne. Simplement, je vous fais comprendre qu’il y a un petit gouffre entre le premier et les suivants, en termes d’histoire. Le premier, quand j’y pense, était bien trop banal.

    J’ai beaucoup aimé ce livre, surtout parce que, comme vous l’aurez compris, cette série s’agit d’une relecture. Donc, même si un des tomes laissait à désirer, je l’apprécierais quand même – par principe.

    Le personnage que j’apprécie le plus dans ce tome est la grand-mère. Elle ne juge pas et cherche simplement à guider au mieux les gens qui l’entourent. Même s’ils ne font pas partie du Night World. C’est d’ailleurs pour cette raison que la toux de celle-ci me touche particulièrement.

    Qu’en avez-vous pensé ? Je sais déjà que plusieurs chroniqueuses l’ont lue. Étant dans le train, je ne m’appesantie pas plus sur le sujet, et je continue mes lectures du moment. J’espère que vous ne m’en voudrez pas 🙂.

  • Blue Exorcist Partie 1 (Tome 1 à 5)
    Photo by me

    Bonjour tout le monde ! J’espère que vous allez bien ? Aujourd’hui, je vous propose de découvrir la première partie de la série. Nous suivons l’histoire de Rin Okumura prioritairement, même si l’histoire ne tourne pas qu’autour de lui : Nous avons aussi son frère Yukio – formé en tant qu’exorcist depuis ses sept ans ; Shiemi Moriyama – une camarade de classe de Rin rencontrée dans le jardin de la grand-mère de Shiemi alors que celle-ci est décédée.

    Un personnage pour qui je n’ai pas beaucoup de compassion ? Konekomaru. Qu’est-ce qu’il peut être faux-cul ! J’entends bien qu’il ait été traumatisé par la mort de son père au moment de la nuit bleue, mais je ne supporte pas sa façon de penser par rapport à Rin – fils de satan, détenteur des flammes bleues. Mettre en danger d’autres personnes, seulement parce que l’on refuse l’aide d’une personne en fonction de sa parenté. C’est indigne des êtres humains. On ne peut pas juger quelqu’un sur les actes d’une autre personne. Je vais faire du boucan, parce que l’ancienne colocataire en faisait aussi ? Ben non, pas forcément et c’est logique.


    Enfin bref, ayant beaucoup aimé la série, je continue bien évidemment de la lire, et je vous dirai ce que j’en ai pensé 😉.

    Bonne semaine !

  • 24 vues du Mont Fuji. par Hokusai, de Roger Zelazni
    Image par Thiago Regina de Pixabay

    Bonjour ! Cette fois, je vous présente un livre que l’on m’a prêté et recommandé. Connaissiez-vous ce livre ? Il est sorti une première fois en 1985, qui a d’ailleurs été finaliste du prix Nébula, et lauréat de prix Hugo 1986. Le prix Nébula a été décerné pour la première fois en 1966 pour Dune, de Franck Herbert. Il s’agit d’un prix littéraire américain survenant chaque année, porté sur la science-fiction et la fantasy (cf. Prix Nébula). Le prix Hugo a été lui, créé en 1953. C’est l’un des plus prestigieux prix littéraire de science-fiction (cf. Prix Hugo).

    La 4:

    « Son époux est mort. Ou disons qu’en tout cas, il n’est plus en vie… Pour Mari, le temps du deuil est venu. Un double deuil… Armée d’un livre, Les Vues du mont Fuji, par Hokusai, elle se met dans les traces du célèbre peintre japonais afin de retrouver vingt-quatre des emplacements depuis lesquels l’artiste a représenté le volcan emblématique — autant de tableaux reproduits dans l’ouvrage. Un pèlerinage immersif, contemplatif, au cœur des ressorts symboliques de cette culture si particulière, un retour sur soi et son passé. Car il lui faut comprendre… et se préparer. Comprendre comment tout cela est arrivé. Se préparer à l’ultime confrontation. Car si son époux n’est plus en vie, il n’en est pourtant pas moins présent… Là. Quelque part. Dans un ailleurs digital. Omnipotent. Infrangible. Divin, pour ainsi dire… »

    Avez-vous déjà regardé Summer Wars ? C’est un film d’animation sorti en 2009 et créé par Mamoru Hosoda qui raconte l’attaque d’une intelligence artificielle sur une plateforme virtuelle. L’association du réel et du virtuel m’a fait beaucoup penser à ce livre. Alors attention, ces deux œuvres sont et restent diamétralement opposées sur bien des points. Mais si vous aimez ce genre de récits, peut-être bien que ce livre va vous plaire.

    Il me rappelle aussi une autre œuvre – un livre cette fois. Pour ceux qui me suivent, vous vous souviendrez peut-être de Monstrueuses fééries, de Laurent Pépin. Quand j’ai lu, son livre, je ne savais pas du tout où l’histoire menait, ni même si elle allait quelque part. Il a fallu attendre les cinq dernières pages pour le savoir. Voilà, l’auteur m’avait perdue dans son livre, en revanche, il a gagné une lectrice permanente. Eh bien, avec les 24 vues du Mont Fuji, par Hokusai, il m’est arrivée de ressentir la même chose : je n’ai commencé à émerger que bien plus tard dans l’histoire.

    Étant donné que le livre est assez court, je ne peux pas en dire beaucoup, je vous spoilerais bien trop. C’est pourquoi je vous laisse ici. Dites-moi si vous l’avez, et dans ce cas, qu’en avez-vous pensé ?

  • Éternels Tome 3 : « Le pays des ombres », de Alyson Noël
    Image par congerdesign de Pixabay

    Bonjour ! Je continue la série Éternels avec le tome 3 ! Je l’ai d’ailleurs lu en seulement quelques jours, je n’en reviens pas.

    La 4e :

    « Une puissante malédiction menace de séparer Ever et Damen à tout jamais.

    Déterminée à briser ce sortilège, la jeune femme se plonge dans la magie et obtient l’aide inattendue du séduisant Jude, au passé obscur. Alors que son âme sœur s’éloigne d’elle pour la protéger, le lien qui l’unit à Jude devient plus fort.

    Ever croyait qu’elle et Damen étaient faits l’un pour l’autre… mais si le destin leur réservait un sort différent ? »

    Donc, nous avons un nouveau personnage qui risque de faire beaucoup de grabuges dans le cœur de notre petite Ever. Ce nouveau s’appelle Jude. Un très beau garçon à dreads blonds qui travaille dans une boutique ésotérique. Alors pourquoi Damen n’est pas rassuré quand il l’aperçoit ? Pourquoi semble-t-il être jaloux ?

    Attention spoil ! Damen avoue à Ever, qu’à chaque incarnation de celle-ci, il la retrouve toujours dans les bras de Jude, lui-même réincarné. Et qu’à chaque fois que Damen apparaît, Ever se détourne de Jude pour les bras de Damen. Celui-ci étant éternel grâce à sa boisson alchimique, est-il normal que les deux se rencontrent ? Ce serait-il incarné dans les nombreuses vies d’Ever, ou est-il au contraire une gêne au bonheur dont elle est destinée ?

    Plus de spoil : J’ai la sensation que les choix d’Ever sont un peu controversés. Damen a toujours dit qu’il veillait sur elle, mais dès qu’ils se rencontrent, il doit être le seul qu’elle peut aimer. Damen est l’un des personnages que j’aime le moins. Il me donne l’impression d’emprisonner la jeune femme. D’accord, il la laisse choisir à un certain moment. Mais il est toujours là, quelque part. Il ne part jamais vraiment. Donc, lui laisse-t-il vraiment la possibilité de choisir ?

    Bref, J’adore l’histoire, mais je ne supporte pas le comportement de ce garçon. Si seulement Jude y pouvait quelque chose… M’enfin bon, je ne me fais pas trop d’espoir non plus… Je continue de lire la suite, peut-être mon avis sur lui changera-t-il. Bisous tout le monde !

  • Les carnets de l’Apothicaire, Partie 1 (1 à 3)
    Photo by me

    Aaaaaaaaaaah ! Oui, c’est ce que je ressens à l’instant ! Je viens de terminer le troisième tome, et je trouve cette série d’autant plus géniale au fil des tomes.

    Je vous mets la 4e de couverture du 1er tome puis je débriefe ensuite :

    « Intrigues et poisons au cœur du palais impérial !

    À 17 ans, Mao Mao a une vie compliquée. Formée dès son jeune âge par un apothicaire du quartier des plaisirs, elle se retrouve enlevée et vendue comme servante dans le quartier des femmes du palais impérial ! Entouré de hauts murs, il est coupé du monde extérieur. Afin de survivre dans cette prison de luxe grouillant de complots et de basses manœuvres, la jeune fille tente de cacher ses connaissances pour se fondre dans la masse. Mais, quand les morts suspectes de princes nouveau-nés mettent la cour en émoi, sa passion pour les poisons prend le dessus. Elle observe, enquête… et trouve la solution ! En voulant bien faire, la voilà repérée… »

    Jinshi est littéralement mon personnage préféré, aucun doute là-dessus ! De toute façon, à partir du moment où il y a un garçon avec des cheveux longs, je fonds : c’est automatique…

    Et Mao Mao – le personnage principal – est impressionnante avec ses connaissances en herboristerie, mais surtout en poison. Là ! il y a enfin une héroïne intelligente ! Ça fait du bien de le voir dans la littérature japonaise…

    Bref, j’adoooooore ce manga, et il me tarde de lire la suite ! À jeudi !

  • Il était deux fois, de Franck Thilliez
    Image par Tomasz Mikołajczyk de Pixabay

    Je vais faire cette chronique, je vous le promets, mais d’abord, je vais faire quelques trucs avant. Histoire de faire redescendre la pression.

    La 4e pour commencer :

    « En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.

    Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…

    Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu… »

    Connaissez-vous ces livres dont les images se construisent d’elles-mêmes ? Les paysages, les personnes et les émotions transparaissent si facilement dans ma tête et mon corps, qu’il m’est difficile de me souvenir. Les sensations de Gabriel quand il traverse un lieu espérant le mener à sa fille d’une manière ou d’une autre me serrent le cœur. J’avais l’impression que la jeune femme disparue était de mon propre sang ; que la personne recherchée était là quelque part, bien vivante.

    Aujourd’hui, plus de 43 000 disparitions ont été signalées en France. Bien souvent, il s’agit de fugues, et très vite ces personnes sont retrouvées. Mais que se passe-t-il quand cela n’est pas le cas ? La perte d’un enfant, c’est-à-dire la mort de celui-ci est bien souvent ce que l’on entend par la pire chose qu’il puisse arriver aux parents. Mais je ne pense pas que cela soit tout à fait vrai. Je pense que la pire des choses qu’il puisse arriver aux parents, c’est la perte géographique de leurs enfants. Et par perte géographique, j’entends par là la disparition, l’enlèvement de leur enfant. Il est là quelque part, invisible et impalpable. Et la seule chose qui nous est donnée à ce moment-là, c’est l’espoir. L’espoir et le doute. ‘Si notre enfant est encore en vie, que lui font-ils subir à cet instant ?’ S’infliger toutes sortes de douleurs psychologiques en ayant l’impression de vivre ce que l’enfant pourrait subir est, je pense une torture ; une abomination que personne ne devrait connaître un jour. Et qui pourtant doit arriver aux proches de ces 43 000 disparitions.

    Franck Thilliez nous pousse dans un labyrinthe de raisonnements, de questions, et d’angoisses. Il nous laisse livrés à nous-mêmes, savourant à l’avance – j’en suis sûre – la détresse dans laquelle il nous noie dans cet océan de suspense.

    Il était deux fois est le premier roman que je lis de cet auteur. N’hésitez pas à me conseiller des policiers. M’y connaissant très peu, j’explore encore les délires acharnés de ces auteurs à thrillers.

  • Mademoiselle Liberté, d’Alexandre Jardin
    Image par Oberholster Venita de Pixabay

    Si je devais le classer, je le mettrais juste après la tombe des lucioles. Un classement ? Quelle formidable idée !

    Je commence par le résumé 😉 :

    « Liberté a dix-huit ans. Elle refuse ce que la plupart des femmes tolèrent : un amour imparfait, sans folie. Inapte aux compromis, Mademoiselle Liberté ne conçoit pas d’être raisonnable, de se contenter d’une petite part de bonheur. L’infini est sa mesure, l’absolu son oxygène. Animée par un goût prodigieux pour le plaisir, elle bondit vers ses appétits. Horace, le proviseur de son lycée, sait lui aussi vivre la vie : ce furieux ne se repose que dans l’emphase. Mariée à une épouse « professionnelle », il rêve de foncer dans un destin superlatif.

    Liberté décide de chercher avec lui la perfection : elle ne se contentera pas d’un brouillon de liaison, elle exigera la passion intégrale, portée à son comble, fignolée jusqu’au délire. Ces deux forcenés tenteront un amour idéal. Ils veulent un chef-d’œuvre sinon rien. »

    Pour ne rien vous cacher, j’ai ramé. Qu’est-ce-que j’ai sué pour tourner les premières pages du livre, pardon, du Chef-d’œuvre, comme le dit si bien Mademoiselle Liberté.

    « Un Chef-d’œuvre, sinon rien » Cette phrase est dite et redite et pourtant, elle prend une nouvelle tournure à chaque fois ! Les émotions diffèrent, les couleurs changent, s’estompent au fil des pages, reprennent subitement de la lumière, pour ne devenir finalement que poussière. Un livre qui appelle à s’improviser poète.

    Au-delà de la plume de l’auteur, qui me paraît étrange, hors du commun, voire impalpable ; qui me donne parfois la difficulté de m’évader d’un paragraphe pour retomber dans un autre, au-delà de ça, l’histoire est d’une beauté effroyable. Elle me brûle de l’intérieur. Je me suis sentie m’embraser dans ce torrent d’émotions, dans ce tourbillon d’inconnu, qui me prend et me jette sans vergogne.

    Ai-je besoin de vous le conseiller tout de même ? Ce texte sorti de ma tête ne suffit-il pas à vous donner envie de le lire ? Dans ce cas, je ne vaudrais plus grand-chose. Et ne resterai-je alors, qu’une coquille vide…

  • La fille dans l’écran, de Manon Desveaux et de Lou Lubie

    Bonjour tout le monde ! Encore une découverte ? Eh oui, mais celle-ci est quand même un peu ancienne. Ce roman graphique est sorti en 2019,et j’en ai beaucoup entendu parler autour de moi. C’est pourquoi je l’ai acheté dès que j’ai pu ! Certes, j’ai mis plus d’un an à le lire ensuite, mais ce n’est qu’un détail…

    La 4:

    « Coline vit en France et rêve de devenir illustratrice. Ses recherches d’inspiration la conduisent à contacter Marley, une photographe installée à Montréal.

    De son côté, Marley a abandonné sa passion pour la photo pour se laisser porter par une vie sociale trépidante  : un job alimentaire, un amoureux québécois…

    Les deux jeunes femmes que tout oppose vont tisser sur internet un lien plus fort que la distance et le décalage horaire, qui va grandir de façon troublante jusqu’à la rencontre… »

    D’un côté, nous avons Lou Lubie avec ses couleurs claires, douces et agréables ; et de l’autre, nous Manon Desveaux avec son style graphique en noir et blanc. Le début de la lecture a été assez lent à lire. Il m’a fallu un peu de temps pour m’immerger dans ses pages. Et au fil de celles-ci, mon cœur s’est emballé. 😊

    Sur certains points, les émotions que je ressentais face au graphisme se rapprochaient péniblement de celles que j’ai ressenties en lisant Grand silence. Ça me laissait un goût d’amertume et de malaisance quand apparaissaient les scènes de Marley en compagnie de son mari. D’ailleurs, celui-ci est toujours représenté avec des lunettes, et ses yeux ne transparaissent jamais derrière. Je ne sais pas comment Marley a pu rester aussi longtemps avec lui, parce qu’il me fait peur personnellement. Même à travers la patte graphique de l’illustratrice, je ressens une malveillance qui se dégage de lui.

    Si vous l’avez lu, qu’avez-vous ressenti de votre côté ?

    PS : Toute personne écrivant un commentaire portant sur l’homophobie ou sur d’autres thèmes de harcèlement, sera immédiatement bannie ! (sait-on jamais…)

  • Les 7 reliques « Le réveil d’Entropia », de Joffrey Lebourg
    Image par Christel SAGNIEZ de Pixabay

    Helloooo ! Comment allez-vous depuis la semaine dernière ? J’espère que l’air extérieur ne s’est pas trop réchauffé depuis la baisse de température. On verra bien…

    Alors, je vais vous présenter le premier livre d’une saga de sept livres ayant pour nom Les 7 Reliques. Le tome numéro un est « Le réveil d’Entropia ». Vous rappelez-vous de l’auteur qui m’a contacté l’année dernière pour que je lise son livre « Monstrueuses fééries », et que j’en fasse par la suite une chronique ? Eh bien, cette fois-ci, c’est la maison d’édition Des auteurs et des livres qui m’a contactée pour me proposer de découvrir cette nouvelle saga.

    La 4:

    « Cordélia n’avait rien demandé à personne. Alors qu’elle tente simplement de s’en sortir après le décès de ses parents, un messager divin lui annonce que le responsable de cette tragédie est un prince-démon : Entropia. Banni il y a des millénaires, il prépare désormais son grand retour à l’aide d’humains félons. Elle seule peut le contrecarrer, en rassemblant les sept Reliques divines dispersées sur les continents de l’Alkymia. Heureusement, elle pourra compter sur l’aide de magiciennes venues d’un autre monde pour l’épauler. Entre manigances des humains et séides du démon, parviendra-t-elle à mener sa quête à bien ? Après avoir achevé les trois trilogies composant sa « saga gardienne », projet sur lequel il travaillait depuis dix ans, Joffrey Lebourg s’est lancé dans un nouveau projet : les Sept Reliques. Né d’un rêve, où une scène invraisemblable a été le déclencheur réunissant des idées éparses, ce nouveau monde vous offre une quête épique en sept volumes. Au fil des pérégrinations de Cordélia, ses paysages se sont étoffés et ses peuples fantastiques se sont diversifiés. S’y ajoutent des réflexions sur la vie, le genre humain, l’amour, la tolérance, l’avenir… »

    Après la mort de ses parents, Cordélia n’a pas atterri chez les meilleures personnes du monde. Aucun respect pour sa personne évidemment. Maltraitée par sa famille d’accueil, on sent lorsqu’elle s’enfuira pour suivre son destin, elle ne regrettera pas vraiment son ancienne vie. 😅

    Bref, on entre littéralement dans un autre monde, tout en restant dans le même univers. Ils habitent sur une planète différente de la nôtre, et ils possèdent leurs propres dieux et déesses. Simplement, les humains n’ont pas l’air d’être au courant de ces autres planètes, par contre eux savent tous de nous j’ai l’impression. En fait, les êtres humains sont des êtres ignorants 😂.

    Je tiens à dire que la première impression montre des problèmes de mise en page , que ce soit avec l’intérieur ou l’extérieur. Mais je suis certaine que les suivantes seront à la hauteur du monde que nous a créé l’auteur.

    N’hésitez pas à me dire si vous connaissiez déjà cette saga, et sinon, prévenez-moi si elle vous intéresse et si j’ai pu vous donner envie de la lire. Bisous ! 😘

  • Night World Tome 2 « Les sœurs des ténèbres », de L. J. Smith
    Image par Victoria_Borodinova de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Bon j’ai regardé la météo de Besançon, ça se rafraîchit beaucoup dans les jours à venir, n’est-ce-pas merveilleux ? 😁

    Aujourd’hui, je vous fais découvrir le deuxième tome de Night World « Les Sœurs des ténèbres », que je trouve encore mieux que le premier. Il faut dire aussi que je les ai lus de deux manières différentes. Pour le premier, j’ai pris mon temps en ne lisant que quelques chapitres par jour ; alors que pour le deuxième, je l’ai lu d’une traite en seulement 24h. Donc il est vrai que le deuxième tome m’a paru plus immersif…

    Assez blablaté, passons à l’histoire.

    La 4:

    « Il y a quelque chose d’étrange chez les trois filles, Roxan, Krestel et Jade, qui emménagent dans une maison en ruine à côté de chez Mary-Lynnette et Mark Carter. Ces filles à la grâce surnaturelle semblent cacher un lourd secret. Un soir, leurs voisins sont témoins d’un spectacle effrayant : elles sont traquées par un homme impitoyable et terriblement beau. Il ne reculera devant rien pour les emmener dans les ténèbres. Et quand il aperçoit Mary-Lynnette, il décide de la capturer elle aussi… »

    Nous avons comme personnage principal Mary-Lynnette, une personne ayant une fascination extrême pour l’astronomie. Tous les soirs d’été, elle profite des quelques heures où la lune ne fait pas encore partie du décor pour observer les étoiles avec son télescope ou ses jumelles. Son frère Mark l’accompagne de temps en temps. Ayant eu de gros problèmes respiratoires dès sa naissance, sa sœur a pris soin de lui à la place de sa belle-mère Claudine. Mais la tranquillité habituelle de leur hameau va être perturbée par l’arrivée des trois nièces de Mme Burdock, une vieille femme habitant dans une ferme, pas loin de chez Mark et Mary-Lynette. D’ailleurs, celle-ci allait la voir souvent pour prendre de ses nouvelles. C’est pourquoi ne pas la voir pendant plusieurs jours lui paraît suspect…

    Comme je l’ai dit au départ, j’ai beaucoup plus apprécié celui-là que le précédent. Si vous l’avez lu, qu’en avez-vous pensé par rapport au premier ? Je suis curieuse de le savoir. Je vous dis à la semaine prochaine !

  • Les Carnets de Cerise Tome 1 : Le zoo pétrifié

    Bonjour à tous ! Comment allez-vous ? J’ai l’impression que cela fait une éternité que je n’avais pas écrit. Aujourd’hui, il faut (oui, c’est un besoin vital) que je vous fasse découvrir Les Carnets de Cerise ! Je n’ai lu que le premier tome pour l’instant, et j’en suis ravie. Lisez seulement la 4:

    « Il était une fois…

    Quand j’étais petite, je me suis fait la promesse que si un jour,
    j’avais un journal intime, il commencerait comme ça.

    Il était une fois… ben moi, Cerise !

    J’ai onze ans et mon rêve, c’est de devenir romancière.
    Mon truc à moi pour raconter des histoires,
    c’est d’observer les gens, imaginer leur, leurs secrets… »

    Je l’ai lu en deux fois. Je me suis d’abord arrêtée à la moitié, pour en découvrir le reste une seconde fois. Pour ma part, cette bande dessinée est absolument adorable. Il est rempli de joie et d’amour. À la fin, on a juste envie de faire comme Cerise : aider les gens qui en ont besoin ; leur rendre le sourire qui les a désertés au détour d’un rêve oublié. Cette bande dessinée est remplie d’amour, et je la conseille vivement. 😊

    Il me tarde donc de lire le tome 2 !! En attendant, bonne semaine à tous !

  • Demain est un autre jour, de Lori Nelson Spielman
    Image par Khusen Rustamov de Pixabay

    La 4:

    « Qu’avez-vous fait de vos rêves de jeunesse ?

    Brett Bohlinger, elle, a un an pour le découvrir. Pensant hériter de l’empire cosmétique familial à la mort de sa mère, elle apprend que cette dernière, qui avait pour elle de tout autres projets, ne lui a légué qu’un vieux bout de papier : la liste de tout ce que Brett voulait vivre quand elle avait 14 ans. Si elle veut toucher sa part, la jeune femme doit réaliser chaque objectif de cette life list.

    Enseigner ? Aucune envie. Un bébé ? Andrew, son petit ami, n’en veut pas. Tomber amoureuse ? C’est déjà fait, grâce à Andrew. À moins que… »

    Un livre hors du commun. J’ai commencé ce livre avec beaucoup d’appréhension, et presque à reculons. J’ai toute une série de livres qui m’a été pratiquement donnée (moins de 1€ le livre), dont les livres remplis deux étagères à eux seuls. Et je me disais que si elle n’en voulait plus et qu’elle n’ait gardé que ses véritables coups de cœur, c’est que ceux-là ne sont pas géniaux. Donc je m’attendais à un flop.

    Eh bien, il en est autrement. Voilà, nous pouvons dire que je suis mauvaise langue : ça m’apprendra. Tout cela pour dire que j’ai trouvé cette histoire très prenante. Le lien qui unit la mère est sa fille est beau. Même décédée d’un cancer, elle lui apprend grâce à une stratégie bien ficelée à se retrouver elle-même, à se souvenir de ses envies, de ses passions, de ses rêves. Brett – la fille – réapprend ce que c’est que les plaisirs d’une vie. Parce que oui, certains ont beau croire aux vies futures, il n’en reste pas moins que les souvenirs des vies antérieures ne font plus vraiment partie de nous. Alors, on doit se forcer à avancer, parce qu’il n’y aura pas de seconde chance. Vous êtes malheureux ? Donc vous vous privez de choses encore meilleures parce que la tristesse signifie la lâcheté ? Non, vous êtes simplement égoïstes envers vous-mêmes. Mais personne ne vous plaindra comme vous aimeriez que cela le soit, il n’y a que vous qui puissiez y faire quelque chose. Alors même si Brett à l’impression qu’il s’agit de manipulation de la part de sa mère, que tout est planifié, elle comprend qu’au fond d’elle, c’est ce qui la rend vivante.

    C’était une lecture agréable, et finalement je suis assez curieuse de lire le reste des livres qui m’ont été « offerts ». Je vous souhaite une bonne semaine à tous. Bisous !

  • Éternels Tome 2 « Lune bleue »
    Image par 愚木混株 Cdd20 de Pixabay

    Ah ! Ever est immature. Bon, elle a seize ans et généralement, j’ai l’impression que les filles de seize ans dans les livres sont cruches et toutes aussi immatures. Quelle tristesse.

    La 4:

    « Ever apprend à maîtriser ses récents dons d’immortelle avec Damen, son âme sœur, qui l’initie aux pratiques obscures de son nouveau monde, Summerland. Ils vivent ensemble le parfait amour, jusqu’au jour où Damen est frappé d’un mal soudain et inconnu qui détruit peu à peu sa mémoire, son identité… et met sa vie en péril.

    Prête à tout pour le sauver, Ever explore les dimensions mystiques de Summerland, où elle découvre le passé de son grand amour – une terrible histoire qu’il espérait lui cacher… »

    Roman est un personnage qui surgit dans la vie d’Ever, de Damen, et de ses ami(e)s comme une bombe nucléaire. Ever ne sait par où commencer, et va demander de l’aide à Ava, la voyante qui apparaît dans le tome 1, et qui apparemment, peut voir la sœur décédée d’Ever, Riley.

    Alors, j’ai trouvé la fin de l’histoire un peu trop tirée par les cheveux. J’aime beaucoup le côté alchimique de l’histoire : celle de la pierre philosophale ; de changer le plomb en or, etc. Donc l’immortalité grâce à cela me paraît tout à fait plausible. Mais là, c’est trop. Je verrai bien ce que ça donne dans le tome 3, mais je ne me fais pas d’illusion non plus…

    À la semaine prochaine pour un nouvel article !

  • Princesse Sakura partie 1 (Tome 1 à 4)
    Photo by me

    Je pensais faire la chronique à partir de cinq tomes, mais que la série n’en compte seulement que douze, je me suis dit que tous les quatre tomes, ce n’est pas plus mal…


    Alors, c’est une redécouverte. Je ne peux pas dire une relecture puisque je ne me rappelais pas du tout ce que ça racontait ! Et je crois n’avoir pas très bien suivi l’histoire la première fois. Eh bien, qu’elle n’a pas été ma surprise d’accrocher directement au premier tome ! J’ai lu de suite après les tomes 2 et 3 (j’en ai 5 en ma possession… pour l’instant 🤭). Et de ce fait, étant toujours portée par cette histoire de démon et de descendante de la lune, je suis allée commander les tomes manquants – c’est-à-dire du 6 au 12. Oui c’est un peu beaucoup vu comme ça, mais cette série a plus de dix ans, ce qui n’est pas rien. Donc avant que le stock ne soit épuisé, j’ai préféré tous les prendre d’un coup 🙄😆.

    Donc, l’histoire se situe au Japon à l’époque Heian – le Japon médiéval. Sakura est une descendante de la lune. Ceux qui en descendent sont immortels, considérés comme des démons. Elle est aidée de Byakuya, une prêtresse âgée qui veille sur elle en permanence, du moins quand la princesse ne la sème. Sakura est fiancée au Prince Ora – celui censé devenir l’empereur d’Heiankyo.

    Seulement, là où j’en suis, la Princesse est soumise à un dilemme. Pour l’instant, elle n’a que 14 ans, elle est jeune. J’espère donc que dans les prochains tomes, elle saura faire preuve de bon sens, plutôt que chercher à reconstruire ce qui a été volé.


    Il me tarde de lire la suite avec impatience 🥰. Vu que c’est un manga jeune ado, je me dépêche de les déguster avant de ne plus en sentir la saveur 😁.

  • Night World Tome 1 « Le secret du Vampire »
    Image par monicore de Pixabay

    Nous voilà aujourd’hui avec des vampires ! Quoi ? Qu’entends-je ? C’est toujours la même chose ? Noooon. Bon d’accord, un petit peu. Mais attention ! Il n’y a pas que des vampires ce jour-ci : il y a aussi des sorcières, des métamorphes, des loups-garous, tout ça, tout ça.

    La 4:

    « Il n’y a plus aucun espoir pour Poppy. La sentence est tombée : sa maladie est incurable, elle doit se préparer au pire. Jusqu’à ce que James, son meilleur ami, le plus beau garçon du lycée qu’elle aime en secret, lui fasse le plus incroyable des cadeaux : un baiser vertigineux qui lui donne accès à son âme.

    Elle découvre alors que James partage ses sentiments depuis toujours, et lui avoue son terrible secret : il fait partie du Nightworld, un monde effrayant où se retrouvent toutes les créatures de la nuit. Pour garder Poppy, James lui propose de le suivre jusqu’à la mort, et même au-delà. Mais pour cela, il lui faudra renoncer à la vie qu’elle mène… et devenir un vampire. »

    C’est l’histoire de Poppy et de James qui va nous être contée. Une humaine amie depuis l’enfance avec un vampire né dont le lien va se souder petit à petit, et qui va mettre James dans l’incompréhension, quand celle-ci est atteinte d’une maladie grave, voire incurable : un cancer. Que doit-on se dire quand on apprend la date approximative de la mort d’une personne que l’on connaît. Être proche de cette personne n’est pas nécessaire pour que l’on se sente affecté. La douleur des personnes qui nous entourent est parfois bien suffisante. La mort d’une personne est-elle vraiment douloureuse ? Mais douloureuse pour qui ? La personne qui ne ressent enfin plus de douleur, ou bien la personne qui reste derrière en se sentant abandonnée, perdue ? Douloureuse de ne pas savoir si après la mort, les consciences perdurent et s’attirent mutuellement pour se retrouver de nouveau ? Douloureuse de ne pas avoir passé le temps que l’on aurait voulu avec la personne disparue ?

    Ce sont probablement toutes ces questions que James doit se poser en apprenant la maladie qui ronge son amie. Alors, pourquoi ne pas la métamorphoser elle-même en vampire ? Bye-bye le cancer, et bonjour les apéros pointus au goût de cerise !

    J’avais déjà lu ce livre il y a quelques années, et je suis très contente de pouvoir vous en parler après l’avoir relu. Même si la naïveté transpire des pages du livre, j’ai tout de même apprécié de m’éventer avec 😊. J’espère que cela vous aura donné envie de le lire. À samedi (je crois) !

  • La commode aux tiroirs de couleurs, de Olivia Ruiz
    Image par Aga Maszota de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Alors contents du petit refroidissement auquel on a eu le droit cette nuit ? Ça fait du bien n’est-ce pas ?

    Je vous mets la 4e, puis on cause après 😉 :

    « « Parce que c’est ça que je veux que tu retiennes. Nos couleurs. Chaudes, franches. Je veux que ces femmes si différentes, si vivantes, si complexes qui composent ton arbre généalogique puissent t’inspirer et t’aider à savoir qui tu es, le fruit de quels voyages et de quelles passions. »

    À la mort de Rita, surnommée « l’Abuela », sa petite-fille hérite de l’intrigante commode qui avait jadis nourri toute sa curiosité et son imagination enfantines. Le temps d’une nuit, ouvrant ses dix tiroirs, elle découvre les secrets qui ont scellé le destin de plusieurs générations de femmes, entre l’Espagne et la France, de la dictature franquiste à nos jours.

    Dans ce brillant premier roman, Olivia Ruiz révèle son formidable talent de conteuse et nous offre une fresque flamboyante sur l’exil. »

    Est-ce-que vos grands-parents se souviennent de cette période ? De l’exil républicain espagnol. Cette guerre appelée la Retirada qui aura duré trois ans – de 1936 jusqu’en 1939 – et qui a incité, par les avancées des troupes franquistes, les républicains à fuir leur pays, car menacés pour leur vie. Se souviennent-ils de leur accueil ? Du regard que la plupart des français portaient sur les réfugiés, de leur dégout ou de leur condescendance ?

    Ce livre raconte des souvenirs lointains qui ont jadis été enterrés. Des trois sœurs qui ont débarqué en France sans leurs parents, et qui ont dû vivre du haut de leurs 6 10 et 13 ans je crois . Pas facile n’est-ce-pas ? Chaque tiroir renfermera un objet et une lettre contant le souvenir lié à cet objet. Un livre rempli de secrets de grand-mères, mais pas forcément de ceux que l’on connait.

    Je l’ai acheté sur une aire d’autoroute alors qu’il pleuvait à torrent. Et je suis heureuse d’avoir bravé ce temps pour inspecter ces étagères. Alors, qu’en pensez-vous ?

  • Grand silence

    Avant tout, je dois vous prévenir que c’est une bande dessinée pour un public averti. Elle traite le sujet de la pédophilie et de l’inceste. Je vous invite à ne pas lire si cela est un sujet sensible pour vous.

    La 4e :

    « Sur une île inconnue où vivent des humains qui nous ressemblent, une sorte d’usine géante œuvre depuis toujours. Cette étrange usine a pour mission d’avaler les cris rendus muets des enfants.

    Elle s’appelle Grand Silence…

    Dans un conte pour adultes aussi beau que son sujet est délicat, Théa Rojzman et Sandrine Revel livrent un roman graphique puissant qui explore sans brutalité ni complaisance un fléau que l’on préfère ignorer : celui des violences sexuelles commises sur les enfants. »

    Néanmoins, même si c’est un sujet très difficile à lire, je suis très heureuse que les langues se délient à ce sujet. Que sait-on de l’inceste ? En entend-on parler ? Ou est-ce ce genre d’histoire où l’on ferme les yeux et où l’on fait semblant de ne rien voir ? À cela, j’y pense beaucoup. Combien de personnes ont reçus le témoignage de victime – plus ou moins subtile car ces personnes-là n’avaient peut-être pas la possibilité de mettre les bons mots sur ce qu’il s’est passé ? Certains le déclareront à demi-mot, en espérant que la personne d’en face nous incite à en dire plus. Mais ces personnes-là ne le feront pas. Par manque d’écoute, cette oreille s’assourdira. Par peur, cet œil s’aveuglera.


    (SPOIL) Dans l’ouvrage, il y a des violets. Les violets sont d’abord victimes pour ensuite devenir le fruit de leur cauchemar. Ils sont soignés, ce que je peux comprendre. Les monstres qu’ils sont devenus, ont été créés par des créatures similaires. Mais il y a aussi les rouges. Ceux qui se révèlent seulement être les coupables. Et eux aussi devraient-ils être soignés ? Ils/elles ont agressé des enfants, ils leur ont enlevé leur innocence, leur sourire, et une bonne partie de leur vie. Si on enlève évidemment les cauchemars, les angoisses, les terreurs nocturnes, ou les paralysies du sommeil, qui ne disparaîtront jamais. On peut en guérir. Mais on en pleurera toujours. Alors, ces monstres-là devraient-ils seulement être soignés ? J’ai un beaucoup de mal à accepter ça…


    J’ai également lu ce que l’auteure a écrit à la fin, c’est-à-dire les numéros de téléphone que l’on peut contacter en cas de besoin, mais aussi toute la difficulté qu’elle a eu pour que son histoire soit publiée. Elle l’a envoyée pour la première fois en 2015 chez plusieurs éditeurs. C’est fou tous les refus que ce projet a pu subir. Il est vrai que le sujet est difficile. Mais je suis heureuse que le livre soit apparu. J’en ai beaucoup entendu parler, notamment avec la youtubeuse Tiboudouboudou – que je regarde souvent ; et Rendez-vous ASMR – qui m’aide beaucoup à me détendre, et surtout à me concentrer. Eh oui, j’ai besoin d’un bruit de fond, sinon je suis distraite…

    Cette BD peut-être lu par des enfants, je dirais 8 ans au minimum, à condition que les parents soient derrière afin d’expliquer plus posément ces problèmes, mais aussi pour que les enfants puissent avoir des réponses sur certains passages. S’ils sont prévenus, peut-être se protégeront-ils mieux.

  • Éternels Tome 1 : Evermore, de Alyson Noël
    Image par bluebudgie de Pixabay 

    Deuxième chronique (Vous allez comprendre pourquoi) :

    C’est la deuxième fois que je lis ce livre. D’ailleurs, j’avais auparavant écrit une chronique de ce tome-ci. Je vais donc la garder et la mettre à la fin de cet article. Je ne me souviens absolument pas de ce que j’ai marqué la dernière fois, donc les chroniques risquent d’être soit très différentes, soit quasiment pareilles 😅.

    Après une relecture, j’ai redécouvert beaucoup de choses, comment Ever en est arrivée là, quel est le lien avec Damen, sa boisson qu’il prend tous les jours. Bref, plein de choses. La relation qu’elle a avec Raven m’était sortie de l’esprit, et ne m’a pas non plus manquée, soit-dit-en-passant. Comme vous l’avez compris, nous suivons l’histoire d’Ever, une jeune fille ayant perdu sa famille dans un accident de voiture, et qui est donc partie vivre chez sa tante.

    Je l’ai bien aimé, dans le sens où ça m’a rappelé des souvenirs, mais je n’ai pris plus de plaisirs que ça. C’est un livre pour adolescents, et je pense, qu’après avoir terminé la série de nouveau, je ne la relirai plus. Mais elle restera tout de même dans ma bibliothèque, ne vous en faites pas 😉.

    Bisous les ami(e)s !

    Première chronique :

    J’ai connu ce livre à la médiathèque de Cahors pendant un de mes mercredi après-midi de libre (mon emploi du temps change pratiquement tout le temps). je vous écris le résumé comme d’habitude.

    « Quand Ever perd sa famille dans un accident tragique, elle reçoit soudain un don terrifiant : celui de lire dans l’esprit des gens. Elle évite alors tout contact avec les élèves du lycée… Jusqu’au jour où elle rencontre Damen.
    Il est d’une beauté inquiétante. Toutes les filles se le disputent mais c’est à Ever qu’il s’intéresse. Or c’est la seule âme qu’elle ne peut déchiffrer. Damen n’est pas un simple mortel, Ever en est certaine. Elle sait aussi qu’elle est irrémédiablement attirée par lui. »

    Dès que je l’ai lu, j’avais seize ans et j’ai trouvé très peu de suspens et d’action. Je le recommanderai plus à la tranche d’âge 13-15 ans pas beaucoup plus ou alors vous le lisez une fois puis c’est fini. J’ai bien aimé ce livre avec l’histoire et la construction du récit, mais je pense que l’auteur et ceux qui ont travaillé sur ce livre auraient pu faire mieux.. c’est dommage. Après, c’est une version originale de l’immortalité.

    Voilà! Je vous ferai une autre critique la prochaine fois. Bye 😉

  • Anita Blake Tome 6 « Mortelle séduction »
    Image par Florian Kurz de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Pas trop chaud ? Voici probablement le dernier Anita Blake que j’aurais lu cette année. J’en ai déjà relu six, et je trouve ça bien assez ! En toute sincérité, je pensais aller un peu plus loin, mais il y a une maison d’édition qui m’a envoyé des livres, donc il faut que je modifie mon planning. De plus, j’ai déjà pas mal avancé dans la série pour l’instant, et je sais déjà que les prochains tomes seront encore plus gros et long à lire.

    La 4e :

    « À ma gauche, Richard. Le mec le plus adorable du monde : brun aux yeux chocolat, prof de sciences. Seul problème : une fois par mois, il se couvre de poils et hurle à la lune. À ma droite, Jean-Claude. Le mec le plus horripilant du monde : un regard hypnotique, et un magnétisme sexuel démentiel. Seul problème : il a plus de deux siècles. Face à moi, un immortel atteint par une mystérieuse maladie qui le liquéfie sur pattes. Et quelque part derrière moi, un assassin à qui un commanditaire inconnu a promis un demi-million de dollars s’il réussissait à m’abattre dans les vingt-quatre heures. Que dit la sagesse populaire déjà ? « Il vaut mieux être seule que… » »

    Donc, que s’est-il passé dans ce tome-ci ? Anita s’est encore fait des ennemis (un miracle quand cela n’est pas le cas). Un contrat a été lancé sur sa tête, et elle arrive de justesse à rester en vie même avec celui-ci qui vole au-dessus de sa tête comme une épée de Damoclès. Ensuite, Richard fait son macho et essaie constamment de protéger Anita, alors que j’ai fortement l’impression, qu’entre elle et lui, celui qui a le plus de chances de rester en vie, c’est bien elle. Mais ce n’est pas étonnant. Anita a compris que si elle ne tuait pas dès la première menace, elle serait cuite. Et je ne suis pas certaine que les nécromanciennes aient un goût de poulet…

    Bref, tout ça pour dire que je ne comprends pas pourquoi Anita craque tant pour un mec comme ça, personnellement, ce genre de personne m’insupporte. Et Jean-Claude, on en parle ? à force de toujours lui faire des avances alors que sans cesse elle refuse, tout ça parce qu’il sent le désir qu’Anita lui porte, je trouve ça abjecte, ça m’énerve. Au départ, il s’agissait d’un de mes personnages préférés. Mais en relisant je suis outrée.

    D’un côté, je comprends l’attrait que l’on peut lui porter, mais de l’autre, il mériterait qu’on le remette un peu à sa place…

    En tout cas, l’histoire est bien une fois de plus. Ce n’est pas à ce tome-là que l’on pourrait se lasser donc vous pouvez y aller sans problème, lisez-le s’il vous attire 😊. Mais faite-moi plaisir, bottez leur leurs fesses. Bisous !

  • 300 jours avec toi
    Photo by me

    300 jours avec toi est une série de manga en 2 volumes. Ils sont sortis fin avril et je me suis précipitée pour les acheter. Pour une fois qu’il y a des mangas en si peu de tome, c’est agréable. Surtout quand mes principales séries pour l’instant sont One piece, Faire Tail, Naruto, et Blue exorcist 🤣. Ce sont les plus longues que j’ai, et que je termine tant bien que mal les collections !

    Dans ce manga, on se retrouve à suivre un jeune homme avec un don un peu particulier : celui de voir au-dessus de la tête des personnes, le nombre de jours qu’il leur reste à vivre. Et puis le parcours de la jeune femme qui l’accompagne tout le long de l’histoire. C’est une belle histoire mais je suis mi-figue mi-raison. L’histoire me paraît trop courte certaine fois, et au contraire, trop longue dans d’autres. Bref, je l’ai bien aimé, mais je ne la relirai pas. 🙃 Au moins, ça me laisse la possibilité d’en lire d’autres à la place. Ce n’est pas ce qui manque 😅.

    Bisous tout le monde ! 😚

  • Illusions perdues
    Image par sipa de Pixabay

    Deuxième livre lu de Balzac ! En effet, le premier à être passé entre mes mains est Le père Goriot, qui est celui le plus connu de cet auteur, en tout cas pour nous, à notre époque. Après avoir lu la préface et effectué quelques recherches, Illusions perdues était peut-être le roman le plus connu de son époque.

    Après avoir terminé de le lire – et donc les 500 pages du livre dont j’étais certaine de ne pas en voir le bout – déjà, je suis très fière de moi, et ensuite je l’ai trouvé très bien. Je ne dirai pas incroyable, car mon cœur balance plutôt du côté du père Goriot, mais très bien quand même. Surtout que l’histoire va nous conter la fabrication du papier en imprimerie, son prix, etc. En plus de cela, on aura un récit sur les intrigues bourgeoises. Tous ces complots contre une seule et même personne, qui sont en même temps très bien ficelés, sont tout autant grisants que frustrants.

    Et que dire de la plume si ce n’est que je l’adore ! Alors attention, elle n’est pas extraordinaire comme je trouve celle de Lucy Maud Montgomery, dont je lis actuellement le tome 1 d’Anne de Green Gables. Mais l’histoire est si complexe que, se dit-on, la plume devrait l’être aussi. Je suis une fois de plus enchantée d’avoir lu un autre livre de Balzac. Le prochain sera maintenant l’année prochaine, avec normalement : Splendeurs et misères des courtisanes.

    Évidemment, si vous n’avez jamais lu Balzac, je vous conseille tout de même Le père Goriot qui est le plus court de ses romans il me semble. Et celui que beaucoup de monde préfère. En attendant je vous fais des bisous. À la semaine prochaine !

  • Chocolate vampire Partie 1 (Tome 1 à 2)
    by internet

    Bonjouuur ! On se retrouve avec les deux premiers tomes de Chocolate Vampire. Je les avais depuis très longtemps dans ma bibliothèque. Et étant donné que je suis dans une période manga, j’écoule mon stock.

    Je vous mets la 4e du 1er tome, histoire d’avoir un aperçu :

    « Chiyo, simple humaine, et Setsu, issu d’une puissante famille de vampires, ont grandi ensemble et de leur amour est né un pacte du sang. A l’adolescence, leur lien se distend mais la jeune fille accepte toutefois de rester la source de vie de Setsu, en échange de son aide pour retrouver les vampires responsables de la mort de ses parents. Entre complots, rivalités amoureuses et canines aiguisées, Chiyo va tout faire pour regagner son indépendance. »

    Donc Chiyo n’a qu’une seule envie : c’est de venger la mort de ses parents adoptifs. Quand elle est liée à Setsu – le vampire – la force qu’elle a, est démultipliée , ce qui lui permet de combattre plusieurs vampires en même temps, sans se fatiguer. Malheureusement, elle va faire l’expérience sans avoir le pacte ; et va se rendre compte que le corps d’un humain est faible. Il est vrai que par rapport à un vampire, je ne vais pas dire le contraire…

    Ce n’est pas forcément un manga dont j’ai envie de continuer la lecture, mais je vois un peu le genre. Et ce n’était pas non plus une lecture exécrable ! Ça se lit, c’est tout.

    Je ne pense pas continuer la série, mais en attendant, je vous souhaite une bonne semaine à tous ! Bisou 😊.

  • Anita Blake Tome 5 : « Squelette Sanglant »
    Image par JackieLou DL de Pixabay

    Bonjour à tous ! Comment allez-vous avec cette si belle journée que l’orage nous a rafraichie ? Aujourd’hui, nous avons des vampires, des feys, des zombies et (je cherche une seconde, je suis persuadée qu’il y a autre chose)… ah oui Jason – un loup-garou.

    « Bert, mon boss, a encore eu une de ces idées de tarés dont il a le secret : relever tout un cimetière de morts très anciens qui ne demandaient rien à personne. D’accord, c’est probablement un gros contrat qui devrait arranger la comptabilité de la boîte et pour une réanimatrice comme moi, il faut bien reconnaître que c’est plutôt valorisant. Bref, je vais sur place, où mon intervention est censée régler un conflit entre un promoteur et une vieille famille locale. À peine arrivée, je découvre qu’un tueur en série, nécrophile, nécrophage ou je ne sais quoi fait des ravages dans le coin. Sûrement un de mes vieux copains. Il y a des moments où l’on aurait envie de changer d’air ! »

    J’admets avoir pris mon temps pour lire ce livre jusqu’à la fin, mais à ma décharge, je ne lis que très rarement un livre à la fois. Anita se retrouve sur une enquête policière une fois de plus, qui ne se trouve pas sur le territoire de Jean-Claude – le maître de la ville de Saint-Louis. Donc le seul moyen de demander de l’aide surnaturelle, c’est de rencontrer celui ou celle de là où elle se trouve. Seulement, pour rencontrer un maître de la ville, il faut suivre plusieurs règles, ce qui ne facilite pas la tâche d’Anita, loin de là !

    Je me demande pourquoi tout le monde a tendance à la sous-estimer. Bien qu’elle ne fasse que 1 mètre 58 (il me semble), elle a quand même plusieurs vampires et autres créatures à son tableau de chasse. Et on sait tous très bien que sous-estimer une personne, quelle qu’elle soit, n’est pas la meilleure idée du siècle.

    Bref, maintenant que j’ai terminé le livre, je me rappelle enfin quelques scènes, mais les 450 premières pages ont été une découverte plus qu’une redécouverte à mon avis. Bon, je file prendre le tome 6 pour ne pas être en retard la prochaine fois. À la semaine prochaine bisous !

  • Cruelles, de Cat Clarke
    Image par Matthias Schild de Pixabay

    Oh. Mon. Dieu. Cat Clarke étant une de mes autrices préférées, ce livre-là eût été bien compliqué à tourner les dernières pages. Je m’étais donné quatre à cinq chapitres à lire par jour, pour au final m’enfiler les cent cinquante dernières pages d’un coup. (Petite anecdote : j’ai l’image d’un saumon volant se promener dans l’appartement : Tout va bien !).

    La 4:

    « Quatre filles. Un secret partagé. Une montagne de culpabilité.

    Je ne suis pas bête

    au point de penser

    pouvoir réparer

    ce qui lui est arrivé.

    Mais il faut que je redevienne

    celle que j’étais avant,

    quelqu’un qui fait

    les bons choix…

    Entrez dans l’univers de Cat Clarke, la reine du thriller émotionnel ! »

    Nous partageons l’histoire d’Alice, de Cass, de Poly, de Rae, et de Tara principalement. Alice est la fille dont on va suivre les pensées tout au long de l’ouvrage. Et il faut avouer qu’elle possède une force de caractère que personne ne peut lui enlever. Son courage est admirable. Au début de l’ouvrage, Poly ne m’apporte que du mépris. Je crois que de ne pas pouvoir faire une activité que j’aime bien à cause d’une personne qui en a peur, je suis désolée, mais aucune pitié. Oui, c’est peut-être un peu vache, mais tant pis.

    Mon personnage préféré est Rae, sans réfléchir une seule seconde. Elle a beau être emo, porter des écouteurs 24h/24, c’est une perle. Mais comme toute personne sensée, elle a des sentiments, qui se muent facilement en culpabilité.

    J’ai adoré ce livre, et ne suis pas déçue de celui-ci sachant qu’il a été écrit par une autrice qui m’a déjà marquée auparavant. Préférant tout de même Confusion, il me tarde de lire ses autres ouvrages.

  • Luna Kiss
    Image par Comfreak de Pixabay

    Ah ! Un manga ! C’est la première fois que je chronique sur une série complète d’un seul coup, mais je me suis dit que pour un manga, c’était préférable. J’ai envie de faire comme ça pour les mangas – certes, cela prend plus de temps avec la parution échelonnée des tomes, mais ça ne me dérange pas.

    Pour ne pas vous spoiler, je ne mets que le résumé du premier Tome 1 😉 :

    « Luna Amano est une collégienne on ne peut plus ordinaire… ou du moins, c’est ce que tout le monde croit. Car en réalité elle cache un secret pas banal : elle est moitié humaine, moitié vampire ! Tout comme sa mère avant elle, Luna pourra devenir complètement humaine en épousant celui qui lui donnera son premier baiser. Et cet événement pourrait ne pas tarder à se produire suite à l’arrivée des beaux jumeaux Kisaragi dans sa classe… Mais qui de Haruka ou de Taiga fera d’elle une humaine ?! »

    Bon, déjà, le fait qu’il y ait un vampire, c’est un plus. Par contre, je n’ai pas vraiment aimé les premiers tomes. Luna n’arrive pas à choisir entre Haruka et Taiga – ce qui n’est pas un crime – pourtant, Haruka est présenté au lecteur comme quelqu’un de négatif, de manipulateur… Ce qui fait d’ailleurs, que je ne l’aime pas du tout – jusqu’à la fin même. Donc, effectivement, j’ai eu du mal à apprécier les premiers tomes pour ça.

    En revanche, j’ai adoré l’histoire à partir du quatrième (de la moitié environ). L’histoire se centre enfin sur Luna et Taiga. On en apprend plus sur eux deux, et je les trouve très attendrissants, même si une partie de mon cerveau me dit : « Mais ils ne sont qu’au collège !! ». De plus, – et j’ai cru que j’allais faire une crise cardiaque – mais l’autrice a – volontairement ou non – remis une scène qui s’est passé dans Kilari, un autre manga de l’auteur. Je ne vous dirai pas laquelle, mais ça m’a touché et rappelé des souvenirs.

    À lire quand on est jeune, c’est tout de même préférable. On aura moins envie d’étriper les personnages nocifs…

    Des bisous ! Merci d’être là ☺️.

  • Le « Sans » article

    Bonjour ! Aujourd’hui, j’étais censée vous parler du 1er tome de Cinquante nuances de Grey, mais je ne le ferai pas. J’ai essayé de le lire jusqu’à la fin, et j’ai quand même pu atteindre les 250 premières pages ! Mais je n’ai aucune envie de le continuer… J’étais censée vous parler du tome 2 et 3 pendant les deux jeudis qui suivront, mais je ne les ferai évidemment pas non plus.

    Peut-être essaierai-je de vous sortir une chronique d’un autre livre. Sinon ce sera trois semaines sans article de romans. Peut-être n’est-ce-pas plus mal ? Cela me permettrait de faire une pause. Certes, les articles du week-end sont toujours d’actualités, mais cela est bien différent.

    De plus, je ne suis pas en très bonne forme depuis deux semaines. Et avec la fatigue, j’ai tendance à diminuer mes lectures (croyez-moi, ça me fend le cœur). Je posterai peut-être d’autre choses à la place, comme des anecdotes. Je reprendrai très vite mes chroniques du jeudi, mais en attendant, je vais aller donner ces livres qui ne plaisent, mais alors, PAS DU TOUT !

    Bonne fin de semaine à tous, et merci de votre compréhension 😊.

  • Monster Allergy Tome 4 « La ville suspendue »

    Bonjour bonjour ! Nous voici avec le tome 4 de Monster Allergy ! C’est toujours agréable de lire une BD, ce n’est pas long, donc on peut la lire en une traite

    Je vous mets la 4e :

    « Pour Zick, c’est le moment de régler ses comptes.

    Mais le jeune garçon sera-t-il à la hauteur, seul face au terrifiant Magnacat ? Sinon, où devra-t-il tenter de trouver de l’aide ?

    Auprès des cocons de la grande Bibbur-si ou dans les brumes de la Baie Obscure ?

    Mais le jeune garçon ne se doute pas que le véritable danger ne s’est pas encore abattu sur lui… »

    Voilà ! Comme je vous l’ai déjà dit dans mes chroniques précédentes, j’aime énormément cette série parce qu’elle a bercé mon enfance. Même si aujourd’hui, je trouve le comportement de Timothy et de Zick immatures, je ne peux pas m’empêcher de trouver cette BD incroyable. Je ne suis pas objective ? Nooooooon.

    Il n’y a pas grand-chose à dire pour l’instant, donc je vous souhaite une bonne semaine 😊.

  • Anita Blake Tome 4 « Lunatic Café »
    Image par Gerd Altmann de Pixabay

    Le tome 4 ! On avance petit à petit, ce n’est pas mal 😊 !

    La 4:

    « On dirait que je le fais exprès. Je suis tombée amoureuse du chef de meute local. Non, pas un louveteau. Un loup-garou, bien sûr ! Pourtant, il y a des tas de filles dans ma tranche d’âge qui n’arrivent pas à se dégotter un petit ami. Et c’était mon cas avant Richard. Certes, Jean-Claude, mon vampire préféré, ne demandait pas mieux, mais son côté possessif a tendance à me démotiver. Même si c’était un homme ordinaire, j’aurais déjà du mal à imaginer une vie de couple avec lui. Côté sexe, ça oui : no problemo, je vois très bien, mais sortir… Aller au restaurant, au spectacle, fréquenter ses amis. Franchement non ! On a beau être dans une histoire d’horreur, il y a des limites ! »

    Alors, verdict ? Anita continue sa route avec le beau et protecteur Richard. La première fois que je l’ai lu, je le détestais car il était très jaloux et possessif envers sa copine, ce qui m’irritait au plus au haut point. Je ne rêvais que d’une chose, c’est qu’elle se case avec Jean-Claude, le magnifique et ténébreux vampire. Cependant, je ne me rappelle que trop bien qu’il l’a pelotée alors qu’elle se trouvait littéralement dans le coma. Il l’a agressée sexuellement ! La première fois où je l’ai lu, j’ai dû occulter ce passage parce que ça me paraît dingue d’avoir une préférence pour ce type.

    Bref, c’est toujours la guerre de la virilité entre le vampire et le loup-garou (quelle surprise !)

    (ATTENTION SPOIL !) Dans ce tome-ci, Anita a sur les bras plusieurs enquêtes différentes. Des lycanthropes disparus, un mari un peu trop zélé, et des sorciers renégats.

    (PLUS VRAIMENT DE SPOIL) Je ne sais pas du tout comment elle fait pour tout gérer, en ayant à peine que quelques heures de sommeil à son actif… Elle m’épate, mais elle me donne aussi envie de dormir à sa place, histoire d’équilibrer les choses… 🙄

    En attendant de lire le prochain tome, je vous souhaite une bonne semaine ! Bisous !

  • L’honneur d’une viking, d’Anna Lyra
    Image par Clker-Free-Vector-Images de Pixabay

    Wow ! Je n’ai jamais lu un livre dont la recherche avait été autant poussée. J’ai pris plaisir à lire l’histoire certes, mais les notes de l’auteure venant ajoutées la cerise sur le gâteau m’ont ravies !

    Je ne lis pratiquement pas ce que dit l’auteur généralement, je préfère prendre le prochain livre et enchaîner. Cependant, j’ai très bien vu les faits historiques en feuilletant cette partie, les explications par rapport aux termes utilisés dans ses pages. C’est donc pour cette raison que je l’ai lu. Cela m’a appris des faits sur les vikings – dont je ne connais pas grand-chose, si ce n’est le terme – exceptionnel. Je pense relire ce livre un jour, et ce sera un grand plaisir de tourner ces pages une nouvelle fois.

    Assez bavardé, je déroule le résumé (le tapis rouge, vous voyez ? Ok, je me tais) :

    « Dans la chambre austère où elle se remet doucement de ses blessures, Inga couve une sombre colère. Comment son frère d’armes a-t-il pu s’en prendre à elle en pleine expédition ? Bien sûr, en tant que guerrière et fille illégitime du yarl, le chef viking, elle a toujours été la cible d’une certaine hostilité au sein de son clan. Mais rien ne l’avait préparée à une telle trahison ! Laissée pour morte dans un monastère ennemi, elle a été miraculeusement recueillie par un Pacte vivant parmi les moines. Un homme solitaire et ombrageux qui tient à présent sa vie entre ses mains. Inga ignore ce qu’il compte faire d’elle, mais une chose est sûre : dès qu’elle sera rétablie, elle trouvera un moyen de s’enfuir pour rejoindre son clan. Alors, elle réclamera justice ! »

    Ce livre, je vous le conseille vivement. Vous en dire plus serait du spoil en tenant compte du fait que le bouquin fait seulement deux cent cinquante pages, ce qui est peu  donc, je vous laisse découvrir ce coton qu’il m’inspire.

    Bisous les ami(e)s !

  • Fairy Tail (Partie 1)

    Première partie terminée ! C’est-à-dire du tome 1 à 5. Oui, je ne savais pas comment faire. Je ne voulais pas attendre d’avoir fini la série complète sachant qu’il y a tout de même beaucoup de tomes, et en même temps, une chronique par tome, ça faisait beaucoup.

    Donc, pour l’instant, notre équipe est constituée de Grey Fullbuster, Natsu Dragnir, Lucy Heartfilia, et Erza Scarlett. Ils ont été en mission pour détruire un livre dont il n’existe qu’un seul exemplaire ; la Lullaby, une flûte connue des mages pour son rapport au livre de Zeleph ; et là, ils sont sur une île, partis pour faire une S-quest. Il s’agit des missions qui sont réservées à l’élite des mages de Fairy tail. Ceux qui font partis des rang S. Autant dire qu’ils ont fait une belle boulette. Leur maître Makaroff n’est d’ailleurs pas très content. Bref, il sont encore en misssion pour l’instant donc on verra au prochain épisode !

    Au fait, qui est ce bellâtre aux cheveux bleus, qui m’a l’air un peu trop proche de mon Erzanounnette ? On le sera plus tard j’espère 😉 (en vrai je le sais mais chuuttt ! C’est un secret).

    Bisous !

  • Anita Blake Tome 3 « Le Cirque des Damnés »
    Image par Simon de Pixabay

    Je vous donne le résumé, et je m’indigne ensuite, d’accord ? :

    « Je vous le dis franchement : je stresse ! Nous vivons vraiment dans un univers IM-PI-TOY-ABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n’est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s’il a le sens de l’humour, J.-C., lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire… »

    Notre petite Anita se retrouve toujours dans des histoires – plus dangereuses les unes que les autres, c’est une manie. Et, on en parle du consentement ? Non parce que – et je ne vous spoile pas sur ce troisième tome – mais Anita refusait catégoriquement les marques vampiriques de Jean-Claude, et pourtant il lui en a faites quand même !

    Peu importe le fait que Anita soit attirée par lui, ou qu’elle le désir au fond d’elle et qu’il le sente. Elle a dit non. Ça devrait suffire, mais apparemment ça ne l’est pas. Ces passages m’ont beaucoup répugnés. Heureusement qu’il s’agit d’une littérature jeune adulte, parce qu’il manquait plus que les adolescents prennent ça pour une normalité !

    Bref, à part ça, j’adore les aventures rocambolesques d’Anita ; la « promenade » dans la grotte ; les créatures mythologiques qui s’intègrent si bien dans leur réalité. Donc une très bonne histoire quand même (sinon, ce ne serait pas ma deuxième relecture, et je n’aurais pas non plus acheté les 23 autres tomes de la série – oui, pour l’instant j’en ai 26, et la série n’est pas terminée XD).

    Mon personnage préféré reste Edward. Je crois que ça a toujours été lui. Mon bébé psychopathe que j’aime fort 🥰❤️.

    Voilà, voilà. Bisous tout le monde, à samedi ! 👋🏻😊

    PS : Richard, on en parle ? Non ? Hm, oui c’est préférable. Plus tard…

  • L’enfant d’Iroshima
    Image par Markus Spiske de Pixabay

    Qui ne connaît pas L’enfant d’Hiroshima ? Sûrement beaucoup de monde. Pour ma part, c’était une lecture obligatoire au collège. Et j’avoue, je ne l’ai pas lu. Au contraire, je suis allée trouver un assez bon résumé sur internet pour savoir un peu de quoi ça parlait, et j’ai présenté « ces recherches » en cours. Je détestais que l’on m’impose des lectures, surtout que je ne lisais pas des masses à ce moment-là.

    Ah ! J’allais oublié la 4e (ce serait malvenu..) :

    « Les lettres d’Ichirô, élève au lycée de Tokyo, et d’Isoko, sa mère, qui vit à la campagne, tissent un lien unique que la séparation rend encore plus fort. Touchante est la délicatesse maternelle qui respecte la liberté et la sensibilité de son fils à une époque aussi douloureuse que celle d’Hiroshima au temps de la guerre. Touchante est la plume d’Ichirô quand il écrit : « Faites rage, lames et vents du monde impur, moi j’avance dans la vie, aux côtés de ma mère. »

    Eh bien, vous savez quoi ? Je suis très heureuse de ne l’avoir jamais lu auparavant. Tout d’abord, je ne l’aurais pas vraiment apprécié de par sa lecture obligatoire, puis, je ne l’aurais plus jamais lu. Et lire un livre qui comporte une relation épistolaire entre une mère et son fils, c’est difficile. Si je l’avais lu au collège, donc à l’âge d’Ichirô, peut-être aurais-je eu un avis différent sur l’époque, sur la façon de penser de la mère. Certes, j’aurais mon point de vue enfant. Mais je pense tout de même préférer mon point de vue adulte, qui comprend la complexité de la place de la femme dans la société des années 40, de plus au japon.

    C’est le deuxième livre que je lis sur les bombardements au japon. Je pense faire des recherches plus approfondies sur le sujet. Il m’intéresse beaucoup.

    Et vous, le connaissez-vous ?

  • One Piece East Blue (Partie 1)
    by me

    Bonjour tout le monde ! Et bienvenue dans la première partie de l’Arc d’East Blue. Qu’est-ce-que One Piece ? Même si je suis outrée de cette question, je vais tout de même répondre. One Piece est un manga écrit et dessiné par Eiichiro Oda, publié pour la première fois le 24 décembre 1997. Aujourd’hui, la série manga contient 100 tomes en français pour l’instant.

    L’histoire ? On la commence avec Luffy enfant qui, après avoir rencontré l’équipage de Shanks Le Roux ayant accosté depuis un an (il me semble), décide de devenir pirate lui-même. Retour au présent, on le suit dans sa recherche à son futur équipage. Donc pour l’instant, nous avons Luffy, le capitaine ; Zoro, le chasseur de pirate ; Nami, la navigatrice (et chercheuse de trésor) ; et Usopp, le tireur d’élite.

    PS : Mon antagoniste préféré : Baggy Le Clown, évidemment…

    J’ai commencé avec l’animé et j’en suis (pour ceux qui connaissent) à la fin de Dressrosa. Disons que j’ai l’impression d’avoir été très attachée aux personnages grâce aux voix, aux couleurs, etc. Donc je ne sais pas si je dois vous conseiller de commencer avec le manga papier. Ce qui est sûr c’est que, à moins de vouloir vous taper 1000 épisodes, il est évident que je vous conseillerais fortement de passer ensuite au papier. C’est beaucoup plus rapide, et cela vous épargnera des heures de bagarres qui ne servent à rien !

    À la prochaine fois ! bisous !

  • Anita Blake, Tome 2 : « Le cadavre rieur », de Laurell K. Hamilton
    Image par Soledadsnp de Pixabay

    Bonjour tout le monde ! Cela fait un petit moment que j’ai lu ce livre, mais les souvenirs sont toujours frais, ce qui est plutôt une bonne nouvelle n’est-ce-pas ? Qu’est-ce-que je peux vous dire… Je suis fatiguée. J’ai fait un stage de sport de quatre jours et je suis claquée ! M’enfin, c’est normal, il s’agit d’un stage de sport après tout. Je l’avais bien cherché.

    La 4:

    « Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires… »

    Ce tome-ci est quand même assez gore, dans le sens où les scènes de crimes sont pratiquement toutes imprégnées de sang, avec des membres dispatchés dans tous les coins. Mais pas que. L’autrice a décidé de nous donner une image du vaudou assez négative. Anita se retrouve toujours impliquée dans des affaires farfelues et dangereuses. Mais j’ai l’impression que c’est ce qu’elle cherche un peu. Sa vie ne serait-elle pas plus ennuyeuse s’il ne lui arrivait pas des choses pareilles tout le temps ?

    J’ai écrit cette chronique un peu tard je pense, ce qui m’empêche d’explorer plus en profondeur ce livre. J’en suis navrée. Cependant, je peux l’enlever de ma pile à lire, et c’est justement pour cette raison (en grande partie du moins), que je fais ces chroniques. Elles m’incitent à lire.

    Prenez soin de vous. Bisous !

  • Volage, de Desberg et Sandoval

    Bonjour tout le monde !

    Eh oui encore une semaine de retard mais au moins, je peux vous parler de l’illustrateur Tony Sandoval, qui a un talent fou.

    Tout d’abord, le résumé :

    « Pour commencer, je suis mort.

    Pas de chance, je me suis réveillé en enfer.

    Pas de surprise, je l’avais un peu mérité… »

    Pour ma dédicace, il a pris le temps de me dessiner une des créatures que je préférais dans le bouquin. Le démon n’était pas spécialement mon préféré, mais je le trouvais très classe. Je lui ai donc demandé un démon, et il a eu la gentillesse de me rajouter un des chiens de l’enfer : Mes préférés <3.

    Nous avons parlé de ses voyages. Il est passé par la Finlande, la Pologne, l’Italie, l’Espagne il me semble (oui j’ai déjà oublié, enfin bon…). Il y est allé principalement pour le travail, mais il a aussi effectué des randonnées.

    Donc, dans cet ouvrage sont représentées plusieurs personnalités connues de l’histoire comme Locuste, qui fût l’empoisonneuse de Claude et Britannicus au cours du premier après J.-C. ; Jack l’éventreur, dont sa réputation le précède ; ou encore Anne Bonny (ma préférée) – pirate travestie aux mille exploits et liaisons sulfureuses, comme le décrit le livre, qui vécut de 1697 jusqu’en 1782. Et il y en a d’autres.

    Pour le coup, il a aussi représenté des malades, comme la peste, la lèpre, mais aussi le choléra. Ce qui je trouve, est assez original d’humaniser ces maladies qui ont décimé une grande partie des populations touchées.

    En résumé, j’aime beaucoup le style graphique de l’illustrateur, et rechercherai avec plaisir ses autres ouvrages s’il y a. L’histoire en elle-même je pense, manque de précision, des fois, je me perdais un petit peu, je me demandais comment ils avaient atterri dans cet endroit. Mais, de toute façon, il ne s’agit que l’enfer. Doit-on toujours comprendre ce qu’il s’y passe ? Bref, je le garde dans ma bibliothèque. Surtout que maintenant, il est dédicacé XD.

    Bisous tout le monde ! Et je vous promets, que la semaine prochaine, il n’y aura pas de raté :P.

  • La gloire des maudits, de Nicolas d’Estienne d’Orves
    (Pixabay) book-gacefc0f85_1920

    Un récit qui m’a fallu deux semaines pour l’écouler. Nous suivons l’histoire de Gabrielle Valoria, la fille d’Enrique Valoria – un collaborateur exécuté à la Libération. Cette jeune femme, obligée très tôt de prendre le rôle des parents, pour pouvoir s’occuper financièrement de son petit frère Simon. Rattachés à Charles Forneron, l’ami d’enfance de Gabrielle, c’est celui-là même qui a le titre de personne responsable. Ayant une profession libérale, il inspire le respect aux gens qu’il côtoie. C’est pourquoi elle va ressentir chez lui un soutien, et un informateur. Bien que ce ne soit tout…

    La 4:

    « Fille d’un collaborateur exécuté sous ses yeux à la Libération, Gabrielle Valoria doit écrire la première biographie de Sidonie Porel. Mais qui est vraiment Sidonie Porel ? La plus célèbre romancière de son époque ou une imposture littéraire  ? Une grande amoureuse ou une manipulatrice ?

    En plongeant dans le passé de cette femme qu’elle craint et qu’elle admire, Gabrielle découvre un univers où grouillent les menteurs et les traîtres. Ecrivains, politiciens, journalistes, prostituées, grands patrons  : tous cachent un secret qui tue…

    Dans Les Fidélités successives (Prix Cazes-Lipp),Nicolas d’Estienne d’Orves explorait les ambiguïtés de l’Occupation, avec La Gloire des maudits, il s’attaque aux mensonges de l’après-guerre. Ce tableau romanesque d’une France au lendemain du chaos, où l’on croise les grandes figures  du Paris intellectuel et artistique des années 1950, montre que le passé nous rattrape toujours et que les guerres ne se terminent jamais. »

    C’est le jour où Gabrielle reçoit sa première lettre d’une longue série, écrite de la main d’un inconnu, mais qui pourtant, soulève toute sa colère et sa tristesse contre l’injustice, que sa vie va de nouveau continuait. Sidonie Porel, une écrivaine très célèbre, va devenir son monde. Toute la vie de cette femme, Gabrielle va chercher à la décrypter, la disséquer. Tout cela pour des lettres ?

    Mais ce ne sont pas que les lettres. La jeune femme met les pieds dans une société qu’elle n’a pas envie de connaître. Les mensonges, les trahisons : tout cela va devenir source de tourments. Les complots se dévoileront à elle. Va-t-elle en sortir la vérité, ou préfère-t-elle fuir toutes ces duperies ?

    Alors ?

  • Anita Blake Tome 1 : Plaisirs Coupables
    Image par GustavoAckles de Pixabay

    Aaah que de souvenirs ! C’est également un livre que j’ai déjà lu par le passé (oui également, car à chaque fois que j’écris la chronique d’un roman, j’ai la vague impression que cela se passe souvent comme ça…). Je l’avais lu en terminale, je pense, mais je ne suis pas tout à fait sûre – j’ai lu tellement de lire à cette époque ! C’est toujours le cas cette année (2021), certes, mais bon.

    Je vous mets le résumé comme d’habitude :

    « Mon nom est Blake, Anita Blake. Les vampires, eux, m’appellent « l’Exécutrice » et par égard pour les oreilles les plus chastes, je ne vous dirai pas comment, moi, je les appelle. Ma spécialité, au départ, c’était plutôt les zombies. Je relève les morts à la nuit tombée pour une petite PME. Ce n’est pas toujours très exaltant et mon patron m’exploite honteusement, mais quand on a un vrai don, ce serait idiot de ne pas s’en servir. Tuer des vampires, c’est autre chose, une vieille passion liée à des souvenirs d’enfance. Depuis qu’ils sont officiellement reconnus et ont pignon sur rue, ils se croient tout permis. Certes, il y en a de charmants, voire très sexy, mais il y en a aussi qui abusent. Ceux-là je les élimine. Rien de tel pour garder la forme : ça vous fouette le sang ! »

    Et je repars pour un tour avec ma petite réanimatrice qui a un gros blocage avec l’amour, et avec les vampires. J’adore autant l’image de la femme forte mais qui assume quand elle a peur, cela lui redonne ce côté humain, qu’on pourrait avoir tendance à oublier. Après, l’histoire et le caractère du personnage principal me font penser à Charley Davidson, une série de livres composés de 13 tomes. Donc, je dirais quand même que l’histoire est un peu banale, mais tout de même appréciable… pour le premier tome du moins.

    Je suis assez surprise du rapprochement entre Anita et Jean-Claude, je pensais que ça prendrait plus de temps. Je parle des marques hein, pas de l’amouuuur. Cela m’a vraiment étonné, mais ce n’est pas désagréable pour autant. D’ailleurs, son nom me paraît toujours aussi étrange. Bien que Jean-Claude soit français de base, et qu’il soit né il y a plus de deux cents ans et donc, que ce prénom était commun, il me paraît toujours aussi peu sexy. Mais on ne peut pas lui en vouloir pour un nom qu’il n’a pas choisi, n’est-ce-pas ? 😉

    Est-ce-que je suis folle de me retaper toute la série ? hm… Bon, je me suis juste dit que je m’arrêterai au tome 13 en 2022, c’est déjà pas mal, et ça me laisse quand même de la place pour d’autres livres (à découvrir ou à relire…).

    Ps : On en parle du fait que l’autrice a – pour la plupart de ses livres – donné le nom d’un lieu pour le titre : j’ai toujours trouvé ça incroyable !

    Pps : Elle est pas belle l’image ? 🤭😝😁

  • Monster Allergy Tome 3 : Magnacat

    Bon je vous refais un petit récapitulatif de ce qu’est cette série et puis après on verra. Étant donné qu’il n’y a que 40 pages par tome, ça passe très vite.

    Le résumé :

    « Les chats retrouvent toujours le chemin de leur maison… Sauf s’ils sont enfermés dans une prison impénétrable, menacés par le rasoir électrique d’un psychopathe !

    Pour avoir une chance de ramener sains et saufs leurs amis à quatre pattes, Zick et Elena devront emprunter les sombres égouts qui serpentent dans les entrailles de la ville, guidés par rien de moins qu’une plante carnivore, avide de grignoter leurs tendres petits os !

    Les deux jeunes aventuriers pourraient bien réussir, s’ils survivent à leur rendez-vous au sommet de la plus haute pyramide de Bigburg… »

    Elena Patate et ses parents ont emménagé à Oldmill Village, et plus précisément à côté de la maison des parents de Zick, un garçon au premier abord très étrange, puis au centième aussi, si tu ne vois pas les monstres comme lui.

    Dans ce tome, on fait la connaissance du cousin d’Elena, avec un régime alimentaire se réduisant principalement aux croquettes de chats ; de Lardine – une adorable chatte siamoise, ayant un point commun avec Timothy – le chat de Zick ; et pour finir, Magnacat, l’ennemi numéro de Zick, avec une tendance de kidnappeur de chat. Personnellement, j’adore Lardine, le seul personnage sensé dans cette histoire 🙄. Bref, nos amis se sont mis en tête de les sauver. Reste à voir comment ils s’y prennent 😉.

    Je crois que c’est le tome que j’ai le moins aimé de la série donc je passe rapidement. À la prochaine fois les amis ! Cet article est sorti avec une semaine de retard, et j’en suis désolée. J’étais assez fatiguée, avec des devoirs et des partiels à venir, plus un petit copain qui s’est incrusté dans ce train de vie existant, donc voilà. Désolée encore, je me rattraperai 🙇🏼‍♀️. Bisous !

  • Beautiful stranger, de Christina Lauren
    Image par O K de Pixabay

    Voilà un livre porté sur le sexe. Je ne peux même pas dire que le livre est érotique puisqu’il n’est pas assez précis. Enfin bref, je mets le résumé et je vous explique :

    « En rompant avec un petit ami infidèle et en filant s’installer à New York, Sara Dillon a décidé de reprendre sa vie en main. Nouveau travail et nouvelle philosophie : les hommes, c’est fini ! Mais, à peine arrivée, elle tombe sur un superbe spécimen masculin d’origine britannique, Max Stella, connu pour être un véritable tombeur. Aucune femme n’a encore su le retenir. Jusqu’à ce qu’il rencontre Sara, et qu’elle l’autorise à prendre des photos coquines, il n’avait jamais envisagé de construire un couple.

    Tandis que Sara résiste, Max redouble d’inventivité pour devenir son beautiful stranger… »

    Voici l’histoire de Sara atterrissant à New-York pour le travail, mais surtout pour fuir un homme qu’elle n’aimait pas vraiment. Ou peut-être bien que si, en tout cas c’est malsain. Je peux imaginer ce que ça fait de rester dans les bras d’une personne que l’on aime, même si cette personne en vient à nous faire du mal, mais je ne le comprends pas. Tant mieux d’ailleurs ! Mais quand je pense à toutes ces personnes qui se font seulement tromper. Le nombre est inconcevable. Et c’est en y pensant, que je suis persuadée que ces personnes-là ne sont pas assez ouvertes sur les moeurs d’aujourd’hui, et ne savent pas, par conséquent, ce qu’ils veulent réellement. Il y a des gens qui pour eux, la fidélité « sexuelle » se révèlent comme une prison. D’autres, pour qui cela leur sera naturel.

    J’ai bien apprécié la partie liée à sa reconstruction, mais il ne m’a pas non plus convaincue. J’ai été confiante au départ, et me suis retrouvée déçue sur la seconde moitié du bouquin. C’est dommage, mais c’est mon avis. À vous de me le dire 😊.

  • Les complaisances du coeur, de Belva Plain
    Image par Click on 👍🏼👍🏼, consider ☕ Thank you! 🤗 de Pixabay

    Vais-je vraiment devoir me coltiner encore 325 pages ? Voilà ce que je me suis dit après avoir lu le premier chapitre qui en compte seulement 26. Je me suis plaint de cette lecture à deux personnes en me demandant par quel miracle j’arriverai au bout.

    La 4e :

    « À 20 ans, Laura McAllister a épousé Robby, un étudiant en archéologie prometteur dont elle a eu une petite fille, Katie.
    Aujourd’hui, Laura a 30 ans et ne sait plus où elle en est. Elle sent que c’est le bon moment pour réaliser son rêve : créer un service de traiteur près de New York. Robby, dont les échecs s’accumulent, accepte de dépendre de sa femme, même s’il supporte difficilement son succès.
    Le jour où Laura rencontre Nick, elle ne le sait pas encore, mais sa vie va basculer… »

    J’ai continué de lire, et je l’ai trouvé incroyable. J’ai déjà commencé ce livre auparavant, et je me disais qu’il n’était pas de mon âge. Qu’il fallait que j’attende l’âge adulte pour en apprécier l’histoire. Alors, autant je n’ai pas aimé certaines façons de penser, autant son dénouement a été prodigieux. Nous sommes donc au début des années 80, et le divorce – commençant  seulement à devenir moins tabou – est encore à proscrire de la bouche de plusieurs familles. Voir son mariage échouer était un véritable échec, une calomnie. Le droit à l’erreur, où tout simplement au changement, n’existaient pas.

    Dans ce roman, nous avons le point de vue de plusieurs générations – sa grand-mère, par le biais de lettres, ou de secrets ; la mère et le père de Laura ; Laura elle-même, bien sûr ; et même Katie, sa fille. Ce qui donne à l’histoire des rebondissements sur un sujet qui pourtant, est plutôt plat.

    Je suis très heureuse d’avoir fait cette découverte, ce livre qui trainait dans ma bibliothèque depuis longtemps, et qui m’avait été offert pour l’achat de deux romans Pocket. Je m’en souviens encore 😂. Pour sûr, je le relirai avec grand plaisir.

  • Before I fall, de Lauren Oliver
    Image par Moshe Harosh de Pixabay

    Que feriez-vous si vous deviez refaire éternellement un jour de votre vie. Si vous ne compreniez pas pourquoi vous, et pas le reste du monde (du moins, à sa connaissance), si vous étiez persuadée qu’il fallait faire une chose en particulier, mais que vous ne saviez pas laquelle ?…

    La 4:

    « Samantha Kingstone a tout pour elle : le petit copain le plus craquant du monde, trois meilleures amies géniales, et une cote de popularité illimitée.

    Ce vendredi de février aurait donc dû être un jour parfait dans une vie parfaite. Pourtant ce vendredi de février est le dernier pour Sam. Ou le premier ? »

    … Eh bien, c’est ce qu’il lui est arrivée. Personnellement, je n’aimerais pas me retrouver dans cette situation. Rien que d’imaginer le fait de ne plus revoir les personnes qui me sont proches. Que je ne serais pas avec eux le lendemain matin. De les imaginer pleurants quelqu’un qui traversait leur vie sans cesse, et qui est parti sans prévenir. D’imaginer qu’ils continueraient de vivre, et que la mienne ne devrait plus avancer. Je ne le supporterais pas beaucoup…

    Ayant vu le film avant, c’était agréable d’avoir un semblant de visage pour chacun. Mais les émotions qui en sont ressorties en le lisant étaient les mêmes. Ce que j’en retiens – et ce dont j’étais déjà persuadée avant –, c’est que les mots ont un pouvoir, un pouvoir énorme, plus violent qu’on ne le pense. Ils ont le pouvoir de s’infiltrer à l’intérieur de nous, et de n’en ressortir qu’avec bien des difficultés. Ils sont parfois gravés à vie. Les mots sont une arme bien plus dangereuse qu’on ne voudrait le croire. Nous laissons certains mots glisser sur nous, sans que cela nous affecte, mais quand il s’agit d’une personne à qui on accorde un minimum d’importance, alors ils nous toucheront, qu’on le veuille ou non.

    Il s’agissait d’un film que j’ai particulièrement apprécié, donc forcément, le livre n’en était que plus beau. Je vous le conseille, c’est une belle histoire moralisatrice.

  • Harley Quinn complètement marteau

    Ok. Petit historique de ce personnage tant apprécié. Harley Quinn apparaît pour la première fois dans les aventures de Batman, créé par Paul Dini et Bruce Timm en 1992. C’est une ancienne psychiatre de l’asile d’Arkham. Elle devient la complice et la fameuse petite amie du Joker !

    Je vous mets le résumé, étant donné qu’il n’y a pas vraiment de 4:

    « L’ancienne psychiatre Harleen Quinzel n’est pas le genre de femme à se satisfaire d’une vie convenable et tranquille. Elle fuit la routine comme la peste et cherche par tous les moyens à faire de sa vie une aventure. Sa toute fraîche installation à Coney Island est donc l’occasion rêvée d’en commencer un nouveau chapitre ! Avec son entrée fracassante dans l’équipe locale de roller derby, l’approche de la Saint-Valentin et la découverte d’un contrat mis sur sa tête, la pétillante Harley Quinn aura beaucoup à faire. »

    Pour tout vous dire, je n’ai regardé aucun film, bien qu’il y en ait qui me tentent un peu, ce n’est pas ma tasse de thé. Autant, j’adore Harley Quinn avec son côté Bad girls, autant je ne supporte pas les Marvel. J’ai bien aimé le lire, ça fait passer le temps. Qu’en pensez-vous ? En avez-vous un en particulier à me conseiller ? Je suis tout ouïe !

  • Il faut sauver Zoé, d’Alyson Noël
    Image par Ulrike Leone de Pixabay

    J’ai eu peur du côté un peu ado du livre, et j’ai été agréablement étonnée de ce qu’il m’a révélé…

    La 4:

    « Écho a connu des jours meilleurs, et son entrée au lycée n’annonce aucune embellie… Car comment s’épanouir alors que le souvenir de sa sœur, Zoé, disparue un an plus tôt, continue de la hanter ?

    Quand on lui remet le journal intime de Zoé, Écho découvre, au fil des pages, les secrets que cette dernière a toujours voulu cacher. Et, entre les lignes, le seul moyen, pour Écho de se révéler… »

    Ce livre m’a bluffé. Je l’ai terminé il y a à peine quelques minutes et j’ai toujours l’esprit embrouillé, plein de cette histoire. Vivre par procuration : ce n’est pas quelque chose dont j’ai l’habitude de lire. Je pense d’ailleurs que c’est la première fois que je tombe sur cette thématique on va dire.

    La perte de sa sœur –  sans plus d’explications que les détails de son assassinat – plonge Écho dans un déni le plus complet. Les étapes du deuil sont enclenchées. Et pour pouvoir retracer le parcours de Zoé, et atteindre l’étape de l’acceptation, Écho va tenter de retrouver la paix à travers la vie de sa sœur. Ses loisirs, ses fréquentations, son petit ami. Elle va en tomber amoureuse, ou du moins le croire. Tout ce qui a un jour touché Zoé va devenir son quotidien, son moyen à elle de la faire vivre.

    En y pensant, c’est un peu glauque comme façon de faire et pourtant… C’est grâce à tout ça que la justice reprend ses droits. Prendre la vie de quelqu’un et jouer à sa place n’est jamais la solution. Cependant, dans ce genre de situation, il ne reste rien d’autre que nos souvenirs, que notre cerveau stocke comme il le peut. Mais ce n’est pas suffisant, ce ne sera jamais suffisant pour combler le vide que crée une personne en partant.

    Qu’en pensez-vous ? En ai-je bien fait honneur ?

  • Je suis d’ailleurs, de H. P. Lovecraft
    Image par Gérard JAWORSKI de Pixabay

    Ce livre m’a été prêté par un ami il y a deux ans. Et je dois avouer avoir eu énormément de mal à le lire.

    La 4:

    « C’était le reflet vampirique de la pourriture, des temps disparus et de la désolation; le phantasme, putride et gras d’égouttures, d’une révélation pernicieuse dont la terre pitoyable aurait dû pour toujours masquer l’apparence nue. Dieu sait que cette chose n’était pas de ce monde – ou n’était plus de ce monde – et pourtant au sein de mon effroi, je pus reconnaître dans sa matière rongée, rognée, où transparaissaient des os, comme un grotesque et ricanant travesti de la forme humaine. Il y avait, dans cet appareil pourrissant et décomposé, une sorte de qualité innommable qui me glaça encore plus. »

    Composé majoritairement de paragraphes de description, mon esprit s’en est trouvé démuni. En remarquant des troubles de la concentration, et cela depuis des années, j’ai mis – à partir de jour-là – beaucoup plus de temps à lire un livre. Et celui-là m’a donné pas mal de fil à retordre.

    Malgré cette lecture d’une intense labeur, la plume de cet auteur est très bien construite et m’a permise d’enrichir mon vocabulaire déjà bien fourni. Et donc, si l’on enlève cette difficulté, je peux tout de même affirmer que les nouvelles qui composent cet ouvrage sont sublimes.

    Pour ne pas vous laisser dans le flou, je vous nomme les nouvelles et vous fait part de mes trois préférées :

    • Je suis d’ailleurs
    • La musique D’Erich Zann
    • L’indicible
    • Air froid (❤️)
    • Le molosse
    • La maison maudite (❤️)
    • La tourbière hantée
    • Arthur Jermyn (❤️)
    • Le modèle de Pickman
    • La cité sans nom
    • La peur qui rôde

    Les dénouements sont spectaculaires et me donnent, évidemment, l’envie de lire davantage d’histoires dans ce genre-là. Ce n’est pas une lecture dont je suis habituée, et dont je m’arrêterai devant spontanément. Donc je suis très heureuse que ce soit un de mes amis qui me l’ait conseillé, et qui m’a donc « poussé » à le lire. Maintenant, quand je verrai le nom de cet auteur apparaître sur un livre, je m’arrêterai un moment, et peut-être même, le prendrais-je !

    Connaissiez-vous cet auteur ? Suis-je en retard d’un ou plusieurs wagons ?

  • The Walking Dead Tome 2 : « Cette vie derrière nous »
    Image par Pexels de Pixabay

    Ça y est, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise : Je suis accro ! Oui je sais, encore une longue série de livres à acheter, c’est une catastrophe ! Vivement que j’ai un travail autre que l’entreprise que je veux créer pour avoir un salaire décent… Parce que pour l’instant, ce n’est pas le cas !

    La 4:

    « Un fléau a transformé les morts en zombies errants à la recherche des derniers humains pour s’en repaître. Un groupe de rescapés, menés par Rick ancien policier de son état tente de s’en sortir dans ce monde devenu fou où une seule règle prévaut ? dorénavant : survivre à tout prix. Fuyant les zones urbaines infestées, les rescapés trouvent refuge dans une ferme aux ressources providentielles, mais qui recèle également de nouveaux dangers. »

    Je me sens complétement happée par la série en comics. Les relations entre les personnages diffèrent beaucoup de la série, ce qui est à la fois perturbant et ingénieux. De cette façon, j’ai l’impression de redécouvrir cette histoire sans avoir le sentiment de lassitude. À la fin, on arrive à la prison, donc il me tarde beaucoup de lire le troisième tome, qui, malheureusement, n’est pas dans ma bibliothèque. J’ai réussi à avoir le 4e et le 5e sur une brocante à moindre coût, mais ils n’avaient pas le 3e, donc j’attendrai un peu avant de continuer. Mais pas de panique ! J’ai encore beaucoup de BD, comics, et mangas à vous faire découvrir. Alors à la prochaine !

  • Les amants de la pleine lune, de Regan Forest
    Image par Pexels de Pixabay

    Mon tout premier livre de la Collection Harlequin. Un livre que j’ai d’ailleurs piqué à ma mère il y a déjà quelque temps. Mais chut ! Bon, elle lira probablement ces lignes donc c’est raté.

    La 4:

    « Nicholas Paul était l’homme parfait. L’homme dont toutes les femmes tombaient amoureuses. J’étais moi-même amoureuse de lui. Amoureuse en réalité du personnage que mon imagination de romancière avait créé, et qui avait pris forme, peu à peu, à travers les pages de mes livres. Je vivais, depuis, très heureuse en compagnie de cet homme idéal, voyageant avec lui aux autres coins du monde, lorsqu’un événement terrible, dans la touffeur d’une nuit espagnole, faillit me faire perdre tous sens de la réalité – ou de l’irréalité – des êtres et des choses…

    Ainsi commence, raconté à la première personne, le récit prenant, bouleversant de la rencontre entre Jay, une célèbre romancière et Brice Macklin, un inconnu rencontré par hasard. Par hasard ? Rien n’est moins sûr, car cet homme ressemble trait pour trait à… Nicholas Paul ! Et, à mesure qu’elle avance dans l’écriture de son nouveau livre, Jay se rend très vite compte que les faits et gestes de Brice – y compris ceux de son passé – sont l’exacte réplique de ceux qu’elle dicte à son personnage. Télépathie ? Envoûtement ? Comment expliquer autrement le sort fatal qui, un soir d’éclipse de lune, a tragiquement lié le destin de ces deux êtres ? Et pourront-ils jamais échapper à cette funeste emprise, à cette passion mortelle qui les condamne irrémédiablement à se perdre l’un l’autre ? »

    Pourquoi Les amants de la pleine lune ? Parce qu’au sein de ces pages, la lune va jouer un rôle important autour de nos deux personnages. Une planète qui prend vie dans les mains du lecteur, mais aussi toute la nature alentour. À tel point qu’elle en devient funeste pour nos deux protagonistes. Imaginez que tout ce qui vous entoure en cet instant vous écoutait. Qu’elle vous épiait en attendant que vous baissiez votre garde. C’est cette oppression que j’ai ressentie.

    L’histoire – dans sa globalité – ne m’a pas laissé hors d’haleine, ce n’était pas assez grandiose pour que je veuille le relire un jour. Cependant, on m’a fait don de 31 livres de cette même collection. Donc j’ai encore la possibilité d’apprécier ce type de lecture, et peut-être, d’en rester sur ma faim. Qui sait ?

  • Un été avec Victor Hugo, de Laura El Makki
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    Quand je suis arrivée au milieu du bouquin, je me suis demandée : « Était-il fou ? ».

    La 4:

    « Victor Hugo rêvait d’être « Chateaubriand ou rien ». Sa vie et son œuvre dépasseront cette ambition. Il sera un océan à lui seul : romancier, poète, dramaturge, pamphlétaire, académicien, pair de France, député. Tout en conservant le génie de l’enfance, Victor Hugo empoigna le XIXe siècle, combattit les injustices, la peine de mort, et toutes les formes d’aliénation. Il croyait au mouvement, au progrès. Son défi était de n’avoir jamais peur. Malgré les épreuves, les deuils familiaux, l’exil, Victor Hugo choisit de vivre : « Je suis celui que rien n’arrête/Celui qui va ». Il mit sa force, son souffle dans l’amour des siens, la conquête des femmes, la création et la passion de l’humanité : « Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis ; la destinée est une. »

    Passer un été avec Victor Hugo ce n’est pas seulement se reposer à l’ombre d’un géant mais aussi voyager en sa compagnie, aimer jusqu’à l’épuisement et partager son sens de l’humour loin de l’image scolaire »

    Un bien joli livre dédié aux idéaux de ce poète de renom. J’aimerais pouvoir vous dire tant de choses de cet ouvrage, et des mots qui le composent. Je l’idolâtrais, cet homme, qui en primaire m’avait tant fait aimer la poésie avec « Demain, dès l’aube ». Aujourd’hui encore, je me souviens de chaque vers, de chaque virgule, de chaque émotion qui ont traversé le temps par le biais d’une plume. Au collège, j’ai dû réciter Océano Nox, une poésie très complexe de par sa longueur, mais aussi par sa compréhension. Les mots qu’Hugo emploie sont très forts et nous amènent à réflexion.

    Dans ce livre, j’apprends qu’Hugo a été l’un des premiers pionniers à se battre pour les droits en général. Son arme ? Les mots, bien sûrs. Il a essayé d’abolir l’esclavage, en prétendant que la différence de teinte n’équivalait pas à une différence d’âme. Il dédaignait le règne de Louis Napoléon Bonaparte, à tel point qu’il l’a surnommé « Napoléon Le Petit ». Une insulte à la régence, prouvant qu’il ne plierait pas, le condamnant à l’exil. Un exil qu’il fit au côté de Juliette Drouet, son amante, qui demeurera auprès de lui pendant 50 ans, et acceptera avec le temps, les infidélités dont le poète fait preuve, bien que l’ironie de la situation n’en soit que plus grande.

    Victor Hugo défendait les femmes et leurs droits. Au départ, en s’insurgeant, toujours par le biais de sa plume, sur les violences commises sur les prostituées. Puis s’étendant au fur-et-à-mesure au reste du peuple, aux voleurs – volant pour se nourrir, aux pauvres – massacrant la parole des ministres et de leur égoïsme. Alors, avec tout ça, comment ai-je pu me demander s’il était fou ? Eh bien, justement à cause de cela. Il prétendait défendre les droits des femmes et leurs libertés, mais si l’on rappelle bien, il aimait tellement Juliette, cette fameuse amante, qu’il dit être sa muse, qu’il l’a mise sous clé, littéralement. Il l’enfermait à double tour dans son appartement à elle, pour qu’elle ne puisse s’enfuir. Et elle, elle l’aimait, de tout son être. À ce jour, on emploierait le terme « séquestration ».

    Pourquoi aurait-il fait cela ? Je m’interroge. Après avoir perdu Léopoldine – son enfant bien-aimée, perdue au fond de l’eau, à jamais dans les bras de son époux, qui perdit la vie avec elle – Victor eu peur. Peur de l’abandon. Tous ces combats, ne l’aurait-il pas fait dissoner avec le temps ? Il était remarquable. Il n’était pas parfait loin de là. Mais il est entré dans l’histoire, en ne cachant aucunement ses défauts, et en faisant son possible pour rester digne. C’était un écrivain sensationnel.

    PS : Le petit plus de ce livre, est que certains passages sont racontés oralement sur le site de France Inter !

    Qu’en pensez-vous ?

  • Monster Allergy Tome 2 : La Pyramide des Invulnérables

    Encore et toujours Monster Allergy. Et ça ne risque pas de se terminer si tôt, il y en a 24 des tomes (30 en tout mais les neuf derniers ont été regroupés en trois tomes, ce qu’on appelle les next gen). Soyez prêt à en voir quelques-uns cette année !

    La 4:

    « Vous imaginez une gentille histoire, faites de nouvelles amitiés, de bagarres quotidiennes et d’enfants introvertis ?

    Vous vous trompiez !

    Vous n’avez découvert qu’une toute petite partie du monde incroyable de Zick. Le pire vous attend !

    Créatures horribles et dangereuses, plantes géantes prêtes à dévorer les enfants, chats tondus sans pitié… En fait, ce monde est légèrement plus grand qu’il n’y paraît ! »

    Celui-là nous emporte dans la thématique « vente de tupperwares ». Non c’est faux, l’homme vend des casseroles, pas des tupperwares. En tout cas, il fait des démarchages grâce au bouche-à-oreille, c’est tout comme.

    D’ailleurs, il me semble qu’avec le tome 3, c’est celui que j’aime le moins de toute la série. Peut-être parce que je l’ai vu et revu. Dans ce tome, Elena a perdu son chat (qui crie par la fenêtre à qui le lui rendra…) et est persuadée que le vendeur de casseroles n’y est pas pour rien dans cette histoire. Zick et son amie vont donc faire en sorte de deviner où est-ce qu’ils sont passés, quitte à se mettre eux-mêmes en danger… mais, à quel point ?

    À dans deux semaines pour la chronique du Tome 2 de The Walking Dead ! Bisous !

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