Accueil » The Witcher : Le Sorceleur

The Witcher : Le Sorceleur

Le résumé :

« «  Ici, à Wyzima, nous attendons un miracle et à chaque pleine lune, nous barricadons nos portes et ligotons des criminels à un pieu devant le manoir en escomptant que la bête, une fois repue, retournera dans son cercueil.

Ce n’est pas un mauvais moyen, dit le sorceleur en souriant. La criminalité a diminué ?

Pas le moins du monde. »

Cet album illustre la nouvelle inaugurale issue du Dernier Vœu, premier tome de la saga littéraire du Le Sorceleur.

Quand Geralt de Riv franchit les portes de la cité de Wyzima, c’est pour répondre à cet appel placardé partout dans le royaume : on offre 3 000 orins à qui désenvoûtera la fille du roi Foltest. Car si la princesse est morte le jour de sa naissance, voilà une dizaine d’années que, transformée en strige, elle sort de son caveau les nuits de pleine lune pour se repaître du sang des pauvres hères. Avant Geralt, nombre de savants, d’ermites, de pâtres, de chevaliers et autres sorceleurs ont tenté de relever ce défi. Tous ont échoué. Outre cette mission délicate, Geralt de Riv devra aussi déjouer les intrigues des dignitaires de Wyzima. Dans le monde du Sorceleur, la fourberie et l’ambition des hommes ne connaissent pas de limites. »

Tout d’abord, il faut que je vous fasse part de mon ignorance ! J’ai acheté ce livre, cet œuvre, ce… roman graphique dès sa sortie chez les libraires. Je suis tombée littéralement amoureuse des dessins ! De plus, étant donné qu’il s’agissait de fantasy, je me suis dit que tout était bénef’.

Et par la suite, la série est sortie sur Netflix. L’étourdie que je suis n’a pas fait le rapprochement entre ses deux œuvres… C’est un ami – à qui j’ai montré le livre – qui m’a éclairé. Si vous me dites que je ne suis pas futée, je serai bien dans l’obligation de vous croire 😅.

Que puis-je dire de ça ? L’histoire que l’on nous raconte de Geralt n’est pas banale. Tout d’abord, comment ce personnage est-il apparu dans nos vies ? Comme cela nous est expliqué à la fin de l’ouvrage : En 1985, Andrzej Sapkowsky (ou Андрей Сапковски si j’essaie de le retranscrire avec l’alphabet cyrillique) se voit l’opportunité de participer à un concours de nouvelles, dont il obtient la troisième  place. Puis, les lecteurs se sont rebellés sur les résultats du vote. Au final, cette nouvelle s’est vue attribuer le titre « meilleur nouvelle de l’année » dans les publications de décembre chez Fantastyka.

C’est un peu une première pour moi. C’était une bonne lecture, qui me donne envie d’en lire plus. Étant donné que tout descends d’un livre, je pense le lire un jour… Quand j’aurais écoulé plusieurs livres de ma PAL, pour la voir diminuer un peu, ce serait bien !

Laisser un commentaire