L’histoire de cette photo ? Oh, eh bien, j’ai passé pratiquement tout un après-midi chez une amie, à moitié en cours, à moitié entrain de regarder une série.
Quand je suis partie – après avoir servi de balance pour peser 60 grammes de chocolat en poudre – je suis passée par un chemin totalement différent de d’habitude. Bien sûr, avec le couvre-feu, je ne suis pas allée bien loin, mais c’était largement suffisant (ça a fait les cuisses et les mollets… les jambes quoi).
Je suis passée par des rues étroites – certaines qui, par le passé, en avais-je déjà foulé le gravier – , ou encore sous ou sur des ponts, comme le montre la photo ci-dessus.
Traversant un des nombreux ponts surplombant le Doubs, j’ai passé mon temps à flâner sur les chemins de promenade ; à monter des escaliers dont la pancarte fixée devant, indiquait qu’il s’agissait d’une propriété privée, mais dont on ne voyait pas le sommet ; ou encore à grimper sur des blocs de béton perchés sur les abords de la rivière. C’est d’ailleurs sur l’un de ces blocs que mon regard a été attiré vers ce même pont que je venais de franchir.
Les branches encadrant une fois de plus mes photographies – j’en fais beaucoup des comme ça – ou encore, cet effet nuageux accordant seulement l’espace nécessaire afin de laisser ces quelques rayons de soleil embellir cette ville, font que toutes les photographies de paysages que je prends, et que je continuerai de prendre, se retrouvent liées entre-elles, par ces seules similitudes.
J’ai fini par retourner chez moi en longeant la rivière grâce aux rues parallèles.
« En pleine réflexion » : C’est dingue mais, ce blog m’apporte énormément de bonheur… peut-être parce que j’aime écrire. Vous croyez que cela peut avoir un lien ? Oui d’accord, je me tais.
Je pensais traduire les textes des photographies en espagnol et en russe, mais je ne pensais pas écrire autant non plus. Bon à voir. De toute façon, j’en ai envie, c’est juste que cela mettra plus de temps à apparaître sur le site. Je n’en ferai pas un par semaine quoi !
D’ailleurs, en y pensant, je vais peut-être retranscrire ce texte/cet article dans mon gigantesque carnet me servant de fourre-tout pour mes écrits – celui-là n’en fera pas exception !
Chronique d'Ange 